Le hockey senior au Québec V
Hockey lundi, 28 févr. 2005. 17:35 dimanche, 2 mars 2025. 05:09
(LHSBSL/G) - N.D.L.R.: il y a quelques temps, nous vous soumettions nos constats touchant la situation du hockey dit 'senior' au Québec, non seulement dans l'Est du Québec, mais dans tout le Québec. Notre constat sévère est maintenant suivi de suggestions quant aux solutions à apporter. Après celles des dernières semaines, nous poursuivons, pour votre et notre réflexion, tout en vous remerciant des suites que vous donnez à nos écrits.
D'abord, nous vous précisons que les solutions suggérées à ce jour sont dans les dernières éditions de LE HOCKEYEUR, sur le site de la ligue... Nous poursuivons donc notre série d'articles sur la question, d'autant plus que ça se développe toujours et encore...
Cette fois, c'est le meilleur pointeur de la LNAH - Ligue nord-américaine de hockey - qui est venu ajouter de l'eau au moulin alors que - choisi 'joueur de la semaine' la semaine dernière, il a littéralement planté le circuit dans lequel il évolue, de même que les dirigeants de ce circuit.
Sur les ondes d'une station de radio de la Beauce, le joueur du Garaga n'y est pas allé avec le dos de la cuillère. " Ligue de broche à foin, arbitres incompétents, collusion entre propriétaires pour le show, la LNAH a manqué son coup avec le lock out de la LNH, si les partisans veulent voir des shows de lutte, même chose pour ceux qui veulent des soirées de boxe, il y a les soirées de lutte et les galas de boxe... " Il en a remis comme ça pendant trois minutes et a conclut en indiquant que plusieurs joueurs remettent en question leur participation dans cette ligue pour la saison prochaine...
Cela a fait le tour de la ligue, des équipes et des joueurs et si la LNAH a jugé bon d'acheminer une lettre dite 'de courtoisie' à l'organisation du Garaga pour les propos de son joueur, elle s'est au moins donnée un peu de gêne en ne pénalisant pas ledit joueur. Un peu de décence, enfin...
Sauf que Claude Morin a dit tout haut ce que bien des gens de cette ligue disent tout bas et ce que bien des analystes du hockey affirment depuis de nombreux mois. Morin s'est attiré les félicitations de l'éditorialiste sportif Maurice Dumas de Le Soleil, et ce, avec raison. " La LNAH a perdu un entraîneur comme Pierre Rioux parce qu'elle tolère encore trop d'indésirables. Elle n'est certainement pas dans une position pour perdre des patineurs de la trempe de Claude Morin " écrit Dumas.
Mais le message passera-t-il ? On a le droit de se poser la question. Car ce circuit a annulé - dans des moments où les questions se multiplient et où les réponses se font rarissimes - sa réunion semi-annuelle devant préparer les changements à sa structure, ses règles et donner le coup d'envoi aux prochaines saisons, réunion donc préparatoire à son assemblée annuelle. Certains propriétaires ont clairement laissé entendre que telle semi-annuelle n'avait pas - dans les circonstances actuelles - son utilité et que seule l'assemblée annuelle pourrait signifier quelque chose, pour peu qu'on donne enfin une valeur à cette assemblée annuelle et qu'on arrête de changer les règles quand ça ne fait pas l'affaire, n'importe quand dans l'année. Mettre de côté l'amateurisme et agir en professionnels, quoi ! Ça s'impose dans un circuit qui n'est professionnel que de nom, affirmait encore il y a quelques jours Pierre Rioux, ex-entraîneur du Garaga.
Cette semi-annuelle aurait pu aussi mettre en place un commencement de procédés visant à rassurer les joueurs et les amateurs qui se plaignent d'un calendrier trop long, trop exigeant et des prix d'entrée qui surpassent la capacité de payer. Mais non ! Les fuites veulent que la volonté de Me Gaudette - président de la LNAH - de voir un calendrier de 60 à 70 parties se réalise et que les prix à 14,00 $ (en saison régulière) de cette année soient maintenus la saison prochaine. Et nonobstant la fragilité - financière - des franchises actuelles, on cherche toujours une expansion dans les Maritimes et en Ontario. L'art de se moquer du monde.
Autre exemple de l'amateurisme de cette ligue :
- (tiré de journalsports.com) : " Sylvain Blouin du Radio X de Québec a offert ses excuses au marqueur de Trois-Rivières pour la taloche qu'il lui aurait donnée lors du dernier match entre les deux équipes à Trois-Rivières. Même si Blouin s'est excusé - et c'est tout à son honneur - il n'en reste pas moins que donner une taloche à un marqueur, c'est pas fort ! Avis à tout le personnel qui gravite autour d'une équipe : si vous recevez une claque, soyez rassuré! ... on s'excusera maintenant ! ... "
Ce seul fait est très indicateur de l'improvisation qui marque cette ligue. Qu'on se le tienne pour dit : les officiels mineurs ne sont pas en sécurité dans la LNAH !!! Il sert à quoi, le comité de discipline, dans ce circuit ? Dans le hockey relevant de fédérations sportives ou même qui se respecte, les marqueurs et autres officiels mineurs ont droit à la même protection, aux mêmes égards que les juges de lignes et arbitres. Blouin aurait du être chassé du match avec une pénalité de match pour avoir molesté un officiel et, du même coup, être suspendu pour un minimum de trois (3) parties. Mais il n'a RIEN EU. On s'excuse et c'est fini. On s'essuie et on recommence, comme dirait l'autre.
C'est pourtant le même Blouin qui a porté plainte au criminel pour un coup de bâton reçu cette saison à Thetford Mines. Et si, cette fois, le marqueur décidait de se rire des excuses de Blouin et décidait de porter plainte pour voies de faits, il s'en trouvera pour le blâmer. Pourtant, les officiels mineurs ne sont pas préparés à recevoir des claques sur la gueule du premier enragé venu.
Autres interrogations ?
- quel message lance-t-on aux autres circuits professionnels mineurs et aux joueurs que l'on y convoite, quant les entraîneurs adjoints détalent comme des lapins avec moins de 20 % du calendrier régulier à jouer comme c'est le cas de Pierre Rioux avec le Garaga de Saint-Georges et pour Serge Boisvert avec le Saint-François de Sherbrooke ? On peut croire en un 'cheminement de carrière', sauf que si le circuit était plus sérieux, plus crédible, plus annonciateur de bonnes choses dans sa planification et son développement, plus prometteur quant à son image de professionnalisme, se peut-il que les entraîneurs n'auraient pas comme priorité de chercher refuge et 'sécurité' ailleurs, et ce, même en des moments aussi cruciaux que les derniers matchs conduisant au championnat ou une position enviable en séries ?
- quel message lance-t-on aux autres circuits professionnels mineurs et aux joueurs que l'on y convoite, quant les entraîneurs doivent poursuivent leurs équipes - maintenant des employeurs selon Me Gaudette - pour récupérer leurs salaires de 300,00 $ par semaine pendant 19 semaines comme c'est le cas de Simon Boutin qui poursuit Trois-Rivières, entraîneur adjoint jusqu'à la fin de novembre ?
Ces questionnements, en plus de la 'sortie' de Claude Morin - meilleur pointeur de la ligue, qui suit les remarques sévères de Stéphane Richer il y a quelques jours au cibleradio.com avec l'ami Gilles Péloquin, les sondages TOUS négatifs à l'endroit de la LNAH sont autant de prétextes qui auraient du suggérer la tenue de la semi-annuelle que l'on a annulée dans ce circuit. À la préparation sérieuse, on semble privilégier l'improvisation dangereuse et hasardeuse. C'est le lot de ce circuit.
Dommage... Mais ça annonce rien de bon, cette situation là. Le pire : les circuits AAA et AA en subiront les contrecoups, car les joueurs mécontents de cette supposée grosse ligue continueront l'an prochain de déferler dans les circuits dits 'amateurs', écœurés qu'ils sont de jouer dans le circuit qu'on leur décrivait comme étant le 'paradis des hockeyeurs du Québec', l'endroit à privilégier au lieu des circuits professionnels mineurs des États-Unis ou encore des ligues d'Europe.
Et tant et aussi longtemps que les circuits AAA et AA devront accepter d'être les 'asiles' de ces pros mécontents, les circuits dits amateurs continueront de tourner en rond, incapables d'une planification à moyen et long terme, tributaires qu'ils sont de ce qui se passe plus haut. Et on continuera de voir la création de nouvelles équipes que l'on dira prometteuses, tandis que la ronde des fermetures d'autres équipes se poursuivra et que les équipes de la grosse ligue continueront de frôler la faillite et d'arracher les dizaines de milliers de dollars aux mécènes qui les supportent.
Qui a dit que la Ligue nationale de hockey était malade ? N'allez pas si loin ! Regardez dans votre cour. Vous y verrez que l'herbe n'est pas si verte ici...
ONZIÈME SOLUTION : pas trouvée... On y réfléchit encore. Mais d'ici là, on pourrait relire les 10 premières dans les éditions précédentes de LE HOCKEYEUR. Peut-être y verrons-nous déjà des 'remèdes' à nos bobos...
***
Voilà pour notre solution # 11 qui reste à venir. Comme toujours, nous espérons que chacun trouvera dans cette édition bonne matière à discussion et/ou réflexion. Nous vous rappelons que ces 'analyses et solutions' vous sont suggérées pour fins de discussions et d'action, dans le but d'assurer une suite positive, logique et rentable du hockey dit 'senior' au Québec sont faites sans prétentions, suite à un sérieux examen de la situation, en cours depuis le début de la saison 2004-2005, en regard de nos expériences et de nos contacts avec des intervenants des autres circuits dits 'amateur' et présumée 'professionnelle' de même qu'avec des gens de Hockey Québec et de Hockey Canada. Force est d'admettre que la situation n'est pas rose pour AUCUNE LIGUE DITE 'SENIOR' au Québec, professionnelle, ou pas. Il faut donc réagir, être proactif. Comme le dirait l'autre : " Occupons-nous de nos affaires avant que nos affaires s'occupent de nous ! "
- INFINI Communication inc
D'abord, nous vous précisons que les solutions suggérées à ce jour sont dans les dernières éditions de LE HOCKEYEUR, sur le site de la ligue... Nous poursuivons donc notre série d'articles sur la question, d'autant plus que ça se développe toujours et encore...
Cette fois, c'est le meilleur pointeur de la LNAH - Ligue nord-américaine de hockey - qui est venu ajouter de l'eau au moulin alors que - choisi 'joueur de la semaine' la semaine dernière, il a littéralement planté le circuit dans lequel il évolue, de même que les dirigeants de ce circuit.
Sur les ondes d'une station de radio de la Beauce, le joueur du Garaga n'y est pas allé avec le dos de la cuillère. " Ligue de broche à foin, arbitres incompétents, collusion entre propriétaires pour le show, la LNAH a manqué son coup avec le lock out de la LNH, si les partisans veulent voir des shows de lutte, même chose pour ceux qui veulent des soirées de boxe, il y a les soirées de lutte et les galas de boxe... " Il en a remis comme ça pendant trois minutes et a conclut en indiquant que plusieurs joueurs remettent en question leur participation dans cette ligue pour la saison prochaine...
Cela a fait le tour de la ligue, des équipes et des joueurs et si la LNAH a jugé bon d'acheminer une lettre dite 'de courtoisie' à l'organisation du Garaga pour les propos de son joueur, elle s'est au moins donnée un peu de gêne en ne pénalisant pas ledit joueur. Un peu de décence, enfin...
Sauf que Claude Morin a dit tout haut ce que bien des gens de cette ligue disent tout bas et ce que bien des analystes du hockey affirment depuis de nombreux mois. Morin s'est attiré les félicitations de l'éditorialiste sportif Maurice Dumas de Le Soleil, et ce, avec raison. " La LNAH a perdu un entraîneur comme Pierre Rioux parce qu'elle tolère encore trop d'indésirables. Elle n'est certainement pas dans une position pour perdre des patineurs de la trempe de Claude Morin " écrit Dumas.
Mais le message passera-t-il ? On a le droit de se poser la question. Car ce circuit a annulé - dans des moments où les questions se multiplient et où les réponses se font rarissimes - sa réunion semi-annuelle devant préparer les changements à sa structure, ses règles et donner le coup d'envoi aux prochaines saisons, réunion donc préparatoire à son assemblée annuelle. Certains propriétaires ont clairement laissé entendre que telle semi-annuelle n'avait pas - dans les circonstances actuelles - son utilité et que seule l'assemblée annuelle pourrait signifier quelque chose, pour peu qu'on donne enfin une valeur à cette assemblée annuelle et qu'on arrête de changer les règles quand ça ne fait pas l'affaire, n'importe quand dans l'année. Mettre de côté l'amateurisme et agir en professionnels, quoi ! Ça s'impose dans un circuit qui n'est professionnel que de nom, affirmait encore il y a quelques jours Pierre Rioux, ex-entraîneur du Garaga.
Cette semi-annuelle aurait pu aussi mettre en place un commencement de procédés visant à rassurer les joueurs et les amateurs qui se plaignent d'un calendrier trop long, trop exigeant et des prix d'entrée qui surpassent la capacité de payer. Mais non ! Les fuites veulent que la volonté de Me Gaudette - président de la LNAH - de voir un calendrier de 60 à 70 parties se réalise et que les prix à 14,00 $ (en saison régulière) de cette année soient maintenus la saison prochaine. Et nonobstant la fragilité - financière - des franchises actuelles, on cherche toujours une expansion dans les Maritimes et en Ontario. L'art de se moquer du monde.
Autre exemple de l'amateurisme de cette ligue :
- (tiré de journalsports.com) : " Sylvain Blouin du Radio X de Québec a offert ses excuses au marqueur de Trois-Rivières pour la taloche qu'il lui aurait donnée lors du dernier match entre les deux équipes à Trois-Rivières. Même si Blouin s'est excusé - et c'est tout à son honneur - il n'en reste pas moins que donner une taloche à un marqueur, c'est pas fort ! Avis à tout le personnel qui gravite autour d'une équipe : si vous recevez une claque, soyez rassuré! ... on s'excusera maintenant ! ... "
Ce seul fait est très indicateur de l'improvisation qui marque cette ligue. Qu'on se le tienne pour dit : les officiels mineurs ne sont pas en sécurité dans la LNAH !!! Il sert à quoi, le comité de discipline, dans ce circuit ? Dans le hockey relevant de fédérations sportives ou même qui se respecte, les marqueurs et autres officiels mineurs ont droit à la même protection, aux mêmes égards que les juges de lignes et arbitres. Blouin aurait du être chassé du match avec une pénalité de match pour avoir molesté un officiel et, du même coup, être suspendu pour un minimum de trois (3) parties. Mais il n'a RIEN EU. On s'excuse et c'est fini. On s'essuie et on recommence, comme dirait l'autre.
C'est pourtant le même Blouin qui a porté plainte au criminel pour un coup de bâton reçu cette saison à Thetford Mines. Et si, cette fois, le marqueur décidait de se rire des excuses de Blouin et décidait de porter plainte pour voies de faits, il s'en trouvera pour le blâmer. Pourtant, les officiels mineurs ne sont pas préparés à recevoir des claques sur la gueule du premier enragé venu.
Autres interrogations ?
- quel message lance-t-on aux autres circuits professionnels mineurs et aux joueurs que l'on y convoite, quant les entraîneurs adjoints détalent comme des lapins avec moins de 20 % du calendrier régulier à jouer comme c'est le cas de Pierre Rioux avec le Garaga de Saint-Georges et pour Serge Boisvert avec le Saint-François de Sherbrooke ? On peut croire en un 'cheminement de carrière', sauf que si le circuit était plus sérieux, plus crédible, plus annonciateur de bonnes choses dans sa planification et son développement, plus prometteur quant à son image de professionnalisme, se peut-il que les entraîneurs n'auraient pas comme priorité de chercher refuge et 'sécurité' ailleurs, et ce, même en des moments aussi cruciaux que les derniers matchs conduisant au championnat ou une position enviable en séries ?
- quel message lance-t-on aux autres circuits professionnels mineurs et aux joueurs que l'on y convoite, quant les entraîneurs doivent poursuivent leurs équipes - maintenant des employeurs selon Me Gaudette - pour récupérer leurs salaires de 300,00 $ par semaine pendant 19 semaines comme c'est le cas de Simon Boutin qui poursuit Trois-Rivières, entraîneur adjoint jusqu'à la fin de novembre ?
Ces questionnements, en plus de la 'sortie' de Claude Morin - meilleur pointeur de la ligue, qui suit les remarques sévères de Stéphane Richer il y a quelques jours au cibleradio.com avec l'ami Gilles Péloquin, les sondages TOUS négatifs à l'endroit de la LNAH sont autant de prétextes qui auraient du suggérer la tenue de la semi-annuelle que l'on a annulée dans ce circuit. À la préparation sérieuse, on semble privilégier l'improvisation dangereuse et hasardeuse. C'est le lot de ce circuit.
Dommage... Mais ça annonce rien de bon, cette situation là. Le pire : les circuits AAA et AA en subiront les contrecoups, car les joueurs mécontents de cette supposée grosse ligue continueront l'an prochain de déferler dans les circuits dits 'amateurs', écœurés qu'ils sont de jouer dans le circuit qu'on leur décrivait comme étant le 'paradis des hockeyeurs du Québec', l'endroit à privilégier au lieu des circuits professionnels mineurs des États-Unis ou encore des ligues d'Europe.
Et tant et aussi longtemps que les circuits AAA et AA devront accepter d'être les 'asiles' de ces pros mécontents, les circuits dits amateurs continueront de tourner en rond, incapables d'une planification à moyen et long terme, tributaires qu'ils sont de ce qui se passe plus haut. Et on continuera de voir la création de nouvelles équipes que l'on dira prometteuses, tandis que la ronde des fermetures d'autres équipes se poursuivra et que les équipes de la grosse ligue continueront de frôler la faillite et d'arracher les dizaines de milliers de dollars aux mécènes qui les supportent.
Qui a dit que la Ligue nationale de hockey était malade ? N'allez pas si loin ! Regardez dans votre cour. Vous y verrez que l'herbe n'est pas si verte ici...
ONZIÈME SOLUTION : pas trouvée... On y réfléchit encore. Mais d'ici là, on pourrait relire les 10 premières dans les éditions précédentes de LE HOCKEYEUR. Peut-être y verrons-nous déjà des 'remèdes' à nos bobos...
***
Voilà pour notre solution # 11 qui reste à venir. Comme toujours, nous espérons que chacun trouvera dans cette édition bonne matière à discussion et/ou réflexion. Nous vous rappelons que ces 'analyses et solutions' vous sont suggérées pour fins de discussions et d'action, dans le but d'assurer une suite positive, logique et rentable du hockey dit 'senior' au Québec sont faites sans prétentions, suite à un sérieux examen de la situation, en cours depuis le début de la saison 2004-2005, en regard de nos expériences et de nos contacts avec des intervenants des autres circuits dits 'amateur' et présumée 'professionnelle' de même qu'avec des gens de Hockey Québec et de Hockey Canada. Force est d'admettre que la situation n'est pas rose pour AUCUNE LIGUE DITE 'SENIOR' au Québec, professionnelle, ou pas. Il faut donc réagir, être proactif. Comme le dirait l'autre : " Occupons-nous de nos affaires avant que nos affaires s'occupent de nous ! "
- INFINI Communication inc