Le trio de Latendresse doit rebondir
Hockey dimanche, 20 janv. 2008. 16:32 jeudi, 12 déc. 2024. 16:58
Par Félix Séguin - Après la défaite contre les Penguins, Guy Carbonneau s'est montré insatisfait du travail du trio de Guillaume Latendresse, Bryan Smolinski et Michael Ryder.
Carbo a ajouté que c'est pour cette raison que les trois joueurs ont été moins utilisés en fin de match.
Pour sa part, Latendresse souhaite que son trio rebondisse lors du prochain match face aux Bruins de Boston.
"On a connu de bons matchs dernièrement, mais je pense que chaque trio vit une baisse de régime un jour ou l'autre. L'important est qu'on revienne fort et qu'on performe bien lors du prochain match. Si l'entraîneur trouve que nous n'avons pas bien joué hier, c'est à nous de rebondir et d'apporter quelque chose à l'équipe", confie Latendresse.
Par ailleurs, Francis Bouillon est complètement rétabli d'une blessure à la tête subie en première période contre les Penguins.
Sonné par cette mise en échec illégale de Georges Laraque, Bouillon n'a pas complété la première période, mais il est revenu au jeu en deuxième.
"Après le contact d'hier, ma vision était un peu floue, mais je me sentais bien physiquement. Je pense que c'était mieux pour moi de rester un peu à l'écart du jeu. Quand je suis revenu au jeu, je me sentais vraiment mieux", commente Bouillon.
De son côté, Steve Bégin attend toujours que son entraîneur fasse appel à ses services.
"Je suis prêt depuis les deux dernières parties. Je sais que c'est difficile de changer une formation gagnante. Je suis prêt et j'attends le signal pour embarquer sur la glace", explique Bégin.
Samedi face aux Penguins, le Canadien a livré un match très robuste.
Au total, les joueurs du Tricolore ont donné 40 mises en échec lors de cette défaite de 2-0.
Mike Komisarek et Tom Kostopoulos en ont chacun distribué 6.
"Ça fait partie d'un plan de match, il n'y a pas un entraîneur qui dirait de ne pas frapper. Il y a des soirées plus physiques que d'autres et samedi on était un peu frustré parce qu'on n'arrivait pas à marquer de buts et Sabourin jouait très bien", raconte Mathieu Dandenault.
"Ça dépend du style de match. On a commencé à frapper dès le début du match et on savait que tout le match serait physique. Lorsqu'on approche des séries, c'est le genre de hockey qu'on voit: plus physique et rapide", ajoute Maxim Lapierre.
Carbo a ajouté que c'est pour cette raison que les trois joueurs ont été moins utilisés en fin de match.
Pour sa part, Latendresse souhaite que son trio rebondisse lors du prochain match face aux Bruins de Boston.
"On a connu de bons matchs dernièrement, mais je pense que chaque trio vit une baisse de régime un jour ou l'autre. L'important est qu'on revienne fort et qu'on performe bien lors du prochain match. Si l'entraîneur trouve que nous n'avons pas bien joué hier, c'est à nous de rebondir et d'apporter quelque chose à l'équipe", confie Latendresse.
Par ailleurs, Francis Bouillon est complètement rétabli d'une blessure à la tête subie en première période contre les Penguins.
Sonné par cette mise en échec illégale de Georges Laraque, Bouillon n'a pas complété la première période, mais il est revenu au jeu en deuxième.
"Après le contact d'hier, ma vision était un peu floue, mais je me sentais bien physiquement. Je pense que c'était mieux pour moi de rester un peu à l'écart du jeu. Quand je suis revenu au jeu, je me sentais vraiment mieux", commente Bouillon.
De son côté, Steve Bégin attend toujours que son entraîneur fasse appel à ses services.
"Je suis prêt depuis les deux dernières parties. Je sais que c'est difficile de changer une formation gagnante. Je suis prêt et j'attends le signal pour embarquer sur la glace", explique Bégin.
Samedi face aux Penguins, le Canadien a livré un match très robuste.
Au total, les joueurs du Tricolore ont donné 40 mises en échec lors de cette défaite de 2-0.
Mike Komisarek et Tom Kostopoulos en ont chacun distribué 6.
"Ça fait partie d'un plan de match, il n'y a pas un entraîneur qui dirait de ne pas frapper. Il y a des soirées plus physiques que d'autres et samedi on était un peu frustré parce qu'on n'arrivait pas à marquer de buts et Sabourin jouait très bien", raconte Mathieu Dandenault.
"Ça dépend du style de match. On a commencé à frapper dès le début du match et on savait que tout le match serait physique. Lorsqu'on approche des séries, c'est le genre de hockey qu'on voit: plus physique et rapide", ajoute Maxim Lapierre.