Les arbitres attendent en coulisses
Hockey jeudi, 18 oct. 2012. 16:21 dimanche, 15 déc. 2024. 07:45
Marc Joanette est en mode attente. Arbitre dans la Ligue nationale depuis 1999, le Québécois de 43 ans garde la forme en attendant une entente entre les propriétaires et les joueurs. Joanette soutient que les 70 arbitres et juges de la Ligue nationale seront prêts, peu importe quand la saison prendra son envol.
« Nous avons la responsabilité d'être prêts mentalement et physiquement. Ne sachant on va reprendre le travail, il faut maintenir un niveau de conditionnement. On révise les règlements et on regarde des DVD de match pour rester dans le bain. »
Lors de l'arrêt de travail en 2004-2005, les officiels avaient été solidaires et n'avaient travaillé dans aucun autre circuit. Encore une fois, ils sont invités à faire la même chose.
« On suggère de ne pas arbitrer dans une autre ligue au Québec, en Amérique du Nord ou en Europe. Il n'y a pas de mot d'ordre. Il s'agit d'une décision personnelle, mais on suggère de rester loin de tout ça. »
C'est qu'il faut préciser que, comme ce fut le cas lors du dernier conflit, les arbitres et juges de ligne ne sont pas rémunérés pendant le présent lock-out. Pour certains, ils sont les grands oubliés.
« Je ne me considère pas comme un grand oublié. Il n'y a pas que nous qui sommes affectés par le conflit. Ça touche beaucoup de monde dans la LNH, et ce dans plusieurs champs d'activités. Ceux qui sont directement ou indirectement touchés souhaitent que ça dure le moins longtemps possible.
Lors du conflit de travail en 2004-2005, plusieurs officiels avaient dû se trouver un autre emploi afin de compenser l'argent perdu par le lock-out. Marc Joanette avait notamment travaillé pour une compagnie qui installait des systèmes d'alarme.
D'après un reportage de Féllix Séguin
« Nous avons la responsabilité d'être prêts mentalement et physiquement. Ne sachant on va reprendre le travail, il faut maintenir un niveau de conditionnement. On révise les règlements et on regarde des DVD de match pour rester dans le bain. »
Lors de l'arrêt de travail en 2004-2005, les officiels avaient été solidaires et n'avaient travaillé dans aucun autre circuit. Encore une fois, ils sont invités à faire la même chose.
« On suggère de ne pas arbitrer dans une autre ligue au Québec, en Amérique du Nord ou en Europe. Il n'y a pas de mot d'ordre. Il s'agit d'une décision personnelle, mais on suggère de rester loin de tout ça. »
C'est qu'il faut préciser que, comme ce fut le cas lors du dernier conflit, les arbitres et juges de ligne ne sont pas rémunérés pendant le présent lock-out. Pour certains, ils sont les grands oubliés.
« Je ne me considère pas comme un grand oublié. Il n'y a pas que nous qui sommes affectés par le conflit. Ça touche beaucoup de monde dans la LNH, et ce dans plusieurs champs d'activités. Ceux qui sont directement ou indirectement touchés souhaitent que ça dure le moins longtemps possible.
Lors du conflit de travail en 2004-2005, plusieurs officiels avaient dû se trouver un autre emploi afin de compenser l'argent perdu par le lock-out. Marc Joanette avait notamment travaillé pour une compagnie qui installait des systèmes d'alarme.
D'après un reportage de Féllix Séguin