Les attentes sont plus élevées à Ottawa
Hockey mardi, 15 janv. 2013. 19:32 dimanche, 15 déc. 2024. 13:49
Les attentes sont plus élevées cette année chez les Sénateurs d'Ottawa. (Photo PC)
OTTAWA - La saison dernière, la plupart des observateurs voyaient les Sénateurs d'Ottawa croupir dans les bas-fonds du classement de l'Association Est. Mais à la surprise générale, ils se sont qualifiés pour les séries et ont donné la frousse aux Rangers de New York en s'inclinant en sept parties au premier tour éliminatoire.
La grande question : pourront-ils répéter ce genre de rendement en cette saison écourtée?
L'an dernier, le jeune Erik Karlsson a été le meilleur défenseur de la Ligue nationale. Jason Spezza, lui, est redevenu l'un des attaquants dominants du circuit et Milan Michalek s'est affirmé comme un franc-tireur avec 35 buts.
Bref, tous ces ingrédients réunis - et bien d'autres - ont permis à l'équipe de la capitale nationale de surprendre les « experts ».
« Les attentes sont plus élevées, convient l'entraîneur Paul MacLean. Maintenant, nous devons prouver que nous sommes prêts à travailler encore plus fort pour continuer de s'améliorer en tant qu'équipe et être considérés comme une équipe qui aspire aux séries éliminatoires. »
« Le groupe est le même, nous devons simplement tenter de nous améliorer en nous servant des bases établies l'an passé, répète Spezza. Le système sera le même et rien ne sera trop compliqué, ce qui représente certainement un avantage. »
Afin de connaître une fois de plus du succès, les Sens misent sur la même philosophie.
« Je crois que nous avons trouvé notre identité, clame le capitaine Daniel Alfredsson. Nous avons compris comment nous devons jouer pour connaître du succès. Nous avons de bons patineurs et aimons mettre de la pression sur l'équipe adverse. Nous préférons provoquer les erreurs plutôt que d'attendre qu'elles ne soient commises. »
« Le plus difficile dans ce sport, c'est d'être constant et c'est ce que nous essayons de faire, que ce soit dans le message que nous voulons passer ou dans notre éthique de travail », spécifie MacLean.
La carte cachée des Sénateurs se trouve peut-être derrière le banc. MacLean est un homme apprécié et respecté qui était en nomination pour le titre d'entraîneur-chef de l'année l'an dernier.
*D'après un reportage de Félix Séguin.
La grande question : pourront-ils répéter ce genre de rendement en cette saison écourtée?
L'an dernier, le jeune Erik Karlsson a été le meilleur défenseur de la Ligue nationale. Jason Spezza, lui, est redevenu l'un des attaquants dominants du circuit et Milan Michalek s'est affirmé comme un franc-tireur avec 35 buts.
Bref, tous ces ingrédients réunis - et bien d'autres - ont permis à l'équipe de la capitale nationale de surprendre les « experts ».
« Les attentes sont plus élevées, convient l'entraîneur Paul MacLean. Maintenant, nous devons prouver que nous sommes prêts à travailler encore plus fort pour continuer de s'améliorer en tant qu'équipe et être considérés comme une équipe qui aspire aux séries éliminatoires. »
« Le groupe est le même, nous devons simplement tenter de nous améliorer en nous servant des bases établies l'an passé, répète Spezza. Le système sera le même et rien ne sera trop compliqué, ce qui représente certainement un avantage. »
Afin de connaître une fois de plus du succès, les Sens misent sur la même philosophie.
« Je crois que nous avons trouvé notre identité, clame le capitaine Daniel Alfredsson. Nous avons compris comment nous devons jouer pour connaître du succès. Nous avons de bons patineurs et aimons mettre de la pression sur l'équipe adverse. Nous préférons provoquer les erreurs plutôt que d'attendre qu'elles ne soient commises. »
« Le plus difficile dans ce sport, c'est d'être constant et c'est ce que nous essayons de faire, que ce soit dans le message que nous voulons passer ou dans notre éthique de travail », spécifie MacLean.
La carte cachée des Sénateurs se trouve peut-être derrière le banc. MacLean est un homme apprécié et respecté qui était en nomination pour le titre d'entraîneur-chef de l'année l'an dernier.
*D'après un reportage de Félix Séguin.