Les Capitals ont-ils du caractère?
Hockey mardi, 30 sept. 2003. 14:45 jeudi, 12 déc. 2024. 15:14
(RDS.ca) - Le propriétaire des Capitals de Washington Ted Leonsis n'a pas aimé la fin de saison abrupte de son équipe le printemps dernier. Les attentes de l'investisseur n'ont pas été atteintes et son équipe s'est inclinée en première ronde devant le Lightning de Tampa Bay.
Leonsis a vivement réagi à cette élimination et il a ordonné un gel du budget d'environ de 50 millions de dollars. Ainsi Ken Klee et Sergei Berezin ont quitté le bateau. Le vétéran de 16 ans avec l'équipe, le Suédois Calle Johansson a décidé d'accrocher ses patins.
Les Capitals feront appel à des joueurs des ligues mineures, Josef Boumedienne et Nolan Yonkman, pour combler les pertes des vétérans. On a aussi embauché L John Gruden, un défenseur qui a évolué en Allemagne la saison derrière et qui a déjà porté les couleurs des Bruins et des Sénateurs.
Le directeur général Geoges McPhee aurait bien aimé se départir de son joueur vedette Jaromir Jagr à la veille d'un potentiel conflit de travail. Il n'y a toutefois aucun preneur pour cette superstar qui touche un salaire annuel de 11 millions par saison. Jagr demeure toutefois la clé de tous les espoirs de cette équipe. Depuis son arrivée dans la capitale américaine toutefois, il a plutôt été la source de tous les malheurs du club.
Les Capitals misent toujours sur Olaf Kolzig pour protéger le filet. Même si Olie the goolie se veut toujours une valeur sûre, des rumeurs cet été l'envoyaient au Colorado dans une transaction à trois équipes avec les Red Wings de Detroit.
Âgé de 33 ans, Kolzig aura besoin de l'aide de ses attaquants pour connaître du succès puisque la défensive de l'équipe sera passablement inexpérimentée.
McPhee a exercé les options sur les contrats de Jeff Halpern et Peter Bondra, ce qui permettra à l'équipe de demeurer une menace en attaque.
Seulement quatre équipes dans l'Est ont marqué plus de buts que les Capitals (224) l'an dernier mais les observateurs croient qu'ils en accorderont plus cette saison, eux qui ont connu de gros ennuis en désavantage numérique l'an passé.
L'équipe a été bien ordinaire en avantage numérique. Malgré la présence de Jagr, Peter Bondra et Robert Lang. Le départ de Berezin mettra plus de pression sur Dainius Zubrus, que l'on croyait capable de marquer entre 25 et 30 buts par saison. Depuis le début de sa carrière toutefois, il n'a pu faire mieux que 17 buts en une campagne avec Philadelphie, Montréal et Washington.
Peut-on croire que Jagr pourra suffisamment inspirer ses coéquipiers pour guider les Capitals vers d'autres niveaux? Le vétéran n'a jamais prouvé par le passé qu'il pouvait jouer le rôle de leader au sein d'une formation. On l'a bien constaté à Pittsburgh avant le retour au jeu de Mario Lemieux.
Jagr a marqué respectivement 31 et 36 buts en deux saisons à Washington mais il n'a pas été en mesure de faire gagner son équipe en séries. Au début du camp, il s'est dit étonné de se retrouver encore avec l'équipe, lui qui a fait l'objet de rumeurs impliquant les Rangers de New York durant la saison morte.
Compte tenu de l'importance de son contrat, il ferait mieux de trouver le moyen de se plaire dans la capitale américaine car il n'est pas sur le point de quitter.
Leonsis a vivement réagi à cette élimination et il a ordonné un gel du budget d'environ de 50 millions de dollars. Ainsi Ken Klee et Sergei Berezin ont quitté le bateau. Le vétéran de 16 ans avec l'équipe, le Suédois Calle Johansson a décidé d'accrocher ses patins.
Les Capitals feront appel à des joueurs des ligues mineures, Josef Boumedienne et Nolan Yonkman, pour combler les pertes des vétérans. On a aussi embauché L John Gruden, un défenseur qui a évolué en Allemagne la saison derrière et qui a déjà porté les couleurs des Bruins et des Sénateurs.
Le directeur général Geoges McPhee aurait bien aimé se départir de son joueur vedette Jaromir Jagr à la veille d'un potentiel conflit de travail. Il n'y a toutefois aucun preneur pour cette superstar qui touche un salaire annuel de 11 millions par saison. Jagr demeure toutefois la clé de tous les espoirs de cette équipe. Depuis son arrivée dans la capitale américaine toutefois, il a plutôt été la source de tous les malheurs du club.
Les Capitals misent toujours sur Olaf Kolzig pour protéger le filet. Même si Olie the goolie se veut toujours une valeur sûre, des rumeurs cet été l'envoyaient au Colorado dans une transaction à trois équipes avec les Red Wings de Detroit.
Âgé de 33 ans, Kolzig aura besoin de l'aide de ses attaquants pour connaître du succès puisque la défensive de l'équipe sera passablement inexpérimentée.
McPhee a exercé les options sur les contrats de Jeff Halpern et Peter Bondra, ce qui permettra à l'équipe de demeurer une menace en attaque.
Seulement quatre équipes dans l'Est ont marqué plus de buts que les Capitals (224) l'an dernier mais les observateurs croient qu'ils en accorderont plus cette saison, eux qui ont connu de gros ennuis en désavantage numérique l'an passé.
L'équipe a été bien ordinaire en avantage numérique. Malgré la présence de Jagr, Peter Bondra et Robert Lang. Le départ de Berezin mettra plus de pression sur Dainius Zubrus, que l'on croyait capable de marquer entre 25 et 30 buts par saison. Depuis le début de sa carrière toutefois, il n'a pu faire mieux que 17 buts en une campagne avec Philadelphie, Montréal et Washington.
Peut-on croire que Jagr pourra suffisamment inspirer ses coéquipiers pour guider les Capitals vers d'autres niveaux? Le vétéran n'a jamais prouvé par le passé qu'il pouvait jouer le rôle de leader au sein d'une formation. On l'a bien constaté à Pittsburgh avant le retour au jeu de Mario Lemieux.
Jagr a marqué respectivement 31 et 36 buts en deux saisons à Washington mais il n'a pas été en mesure de faire gagner son équipe en séries. Au début du camp, il s'est dit étonné de se retrouver encore avec l'équipe, lui qui a fait l'objet de rumeurs impliquant les Rangers de New York durant la saison morte.
Compte tenu de l'importance de son contrat, il ferait mieux de trouver le moyen de se plaire dans la capitale américaine car il n'est pas sur le point de quitter.