Les hockeyeurs ont mauvaise réputation
Hockey vendredi, 28 déc. 2007. 20:11 samedi, 14 déc. 2024. 08:03
Un nouveau sondage de La Presse Canadienne et Harris/Decima indique que près de la moitié des Canadiens croient que plusieurs ou à tout le moins un bon nombre de joueurs de la Ligue nationale de hockey font usage de produits dopants.
Le sondage indique également que les Canadiens veulent que le tricheurs soient pris sur le fait et punis, même si on n'est pas tous d'accord sur les punitions à leur infliger.
Selon le sondage, 17 pour cent des Canadiens croient que plusieurs joueurs de la LNH utilisent des produits pour améliorer leurs performances, alors que 36 pour cent croient qu'un bon nombre d'entre eux en font usage. 32 pour cent croient qu'il n'y a que peu de joueurs qui en font usage et un pour cent seulement des Canadiens croient qu'aucun joueur en fait usage. 14 pour cent n'avaient pas d'opinion.
Le sondage indiquait également que 35 pour cent des Canadiens croyaient que beaucoup et 42 pour cent croyaient qu'un bon nombre de joueurs de la NFL faisaient usage de ces drogues.
Ce sondage a été effectué après la parution du rapport Mitchell au sujet de l'usage des stéroides anabolisants et des hormones de croissance dans le baseball majeur.
Dans ce rapport, on citait les noms de 88 joueurs, dont de grandes vedettes.
Toujours selon le sondage, 89 pour cent des répondants croyaient que la LNH devait mettre sur pied une enquête du même genre.
Les dirigeants de la LNH ont souvent répété qu'il n'y avait pas de problèmes de drogues dans le hockey. Ils ont même réagi violemment en 2005 quand Dick Pound, président de l'Agence mondiale anti-dopage, avait laissé entendre que le tiers des joueurs de la LNH utilisaient des drogues, surtout des stimulants.
Ceux qui ont répondu au sondage ont dit que les coupables devaient être punis. En fait, 46 pour cent ont dit que les records des tricheurs devaient être effacés alors que 41 pour cent disaient que les joueurs de baseball devaient être punis, mais que leurs records devaient demeurer.
Le sondage a été effectué par internet, auprès de 1169 Canadiens entre le 17 et le 19 décembre. Il y a une probabilité de 85 pour cent que les résultats contiennent une marge d'erreur de 3.1 pour cent.
Le sondage indique également que les Canadiens veulent que le tricheurs soient pris sur le fait et punis, même si on n'est pas tous d'accord sur les punitions à leur infliger.
Selon le sondage, 17 pour cent des Canadiens croient que plusieurs joueurs de la LNH utilisent des produits pour améliorer leurs performances, alors que 36 pour cent croient qu'un bon nombre d'entre eux en font usage. 32 pour cent croient qu'il n'y a que peu de joueurs qui en font usage et un pour cent seulement des Canadiens croient qu'aucun joueur en fait usage. 14 pour cent n'avaient pas d'opinion.
Le sondage indiquait également que 35 pour cent des Canadiens croyaient que beaucoup et 42 pour cent croyaient qu'un bon nombre de joueurs de la NFL faisaient usage de ces drogues.
Ce sondage a été effectué après la parution du rapport Mitchell au sujet de l'usage des stéroides anabolisants et des hormones de croissance dans le baseball majeur.
Dans ce rapport, on citait les noms de 88 joueurs, dont de grandes vedettes.
Toujours selon le sondage, 89 pour cent des répondants croyaient que la LNH devait mettre sur pied une enquête du même genre.
Les dirigeants de la LNH ont souvent répété qu'il n'y avait pas de problèmes de drogues dans le hockey. Ils ont même réagi violemment en 2005 quand Dick Pound, président de l'Agence mondiale anti-dopage, avait laissé entendre que le tiers des joueurs de la LNH utilisaient des drogues, surtout des stimulants.
Ceux qui ont répondu au sondage ont dit que les coupables devaient être punis. En fait, 46 pour cent ont dit que les records des tricheurs devaient être effacés alors que 41 pour cent disaient que les joueurs de baseball devaient être punis, mais que leurs records devaient demeurer.
Le sondage a été effectué par internet, auprès de 1169 Canadiens entre le 17 et le 19 décembre. Il y a une probabilité de 85 pour cent que les résultats contiennent une marge d'erreur de 3.1 pour cent.