Les Olympiques se sont bien battus
Hockey jeudi, 22 mai 2008. 01:31 vendredi, 13 déc. 2024. 21:46
Stéphane Leroux
L'aventure des Olympiques de Gatineau au Tournoi de la coupe Memorial est maintenant terminée. C'est la première fois depuis 1999 que les champions de la Ligue junior majeur du Québec rentrent à la maison avec une fiche d'aucune victoire et trois revers.
Il est évident que de quitter Kitchener après seulement trois matchs n'était pas le scénario prévu pour les Olympiques de Gatineau. Après tout, les champions des dernières séries du circuit Courteau s'étaient présentés au tournoi avec un dossier de 16 victoires en 19 matchs, le meilleur des quatre formations participant à la compétition.
Il faut être honnête, la défensive des Olympiques était hypothéquée et les meilleurs joueurs de la formation n'ont pas été en mesure d'offrir le même rendement qu'au cours des séries. On pense notamment à Claude Giroux qui termine le tournoi avec seulement deux points en trois matchs et une fiche de moins-7. Le rapide Paul Byron, qui avait été étourdissant durant les séries éliminatoires en marquant 21 buts, n'était plus le même joueur à Kitchener.
Toutefois, un joueur comme Michael Stinziani peut sortir la tête haute avec ses cinq points en trois matchs. Lui et plusieurs autres bons jeunes joueurs des Olympiques ont connu un excellent tournoi. On pense à Hubert Labrie, qui a fait preuve d'un courage hors du commun en disputant le match de lundi soir sur une seule jambe, ou à Steven Delisle en défensive pour ne nommer que ceux-là. Les jeunes ont pris de l'expérience et 16 porte-couleurs des Olympiques sont admissibles à revenir avec l'équipe l'an prochain.
Pour l'entraîneur-chef Benoît Groulx, il est maintenant zéro en trois à la coupe Memorial après les échecs en finale de 2003 et de 2004. Mais en dépit de tout ça, il est quand même fier de l'édition actuelle des Olympiques qui s'est battue avec l'énergie du désespoir. La grande question est maintenant de savoir si Groulx sera de retour l'an prochain avec les Olympiques ou s'il fera finalement le saut dans les rangs professionnels. Groulx, qui a toujours deux ans à son contrat, est en contact avec au moins trois organisations de la LNH.
Il serait temps qu'une équipe lui donne sa chance, avec trois coupes du Président en six ans, il n'a plus rien à prouver au niveau junior et il est prêt pour un niveau supérieur...
Il est évident que de quitter Kitchener après seulement trois matchs n'était pas le scénario prévu pour les Olympiques de Gatineau. Après tout, les champions des dernières séries du circuit Courteau s'étaient présentés au tournoi avec un dossier de 16 victoires en 19 matchs, le meilleur des quatre formations participant à la compétition.
Il faut être honnête, la défensive des Olympiques était hypothéquée et les meilleurs joueurs de la formation n'ont pas été en mesure d'offrir le même rendement qu'au cours des séries. On pense notamment à Claude Giroux qui termine le tournoi avec seulement deux points en trois matchs et une fiche de moins-7. Le rapide Paul Byron, qui avait été étourdissant durant les séries éliminatoires en marquant 21 buts, n'était plus le même joueur à Kitchener.
Toutefois, un joueur comme Michael Stinziani peut sortir la tête haute avec ses cinq points en trois matchs. Lui et plusieurs autres bons jeunes joueurs des Olympiques ont connu un excellent tournoi. On pense à Hubert Labrie, qui a fait preuve d'un courage hors du commun en disputant le match de lundi soir sur une seule jambe, ou à Steven Delisle en défensive pour ne nommer que ceux-là. Les jeunes ont pris de l'expérience et 16 porte-couleurs des Olympiques sont admissibles à revenir avec l'équipe l'an prochain.
Pour l'entraîneur-chef Benoît Groulx, il est maintenant zéro en trois à la coupe Memorial après les échecs en finale de 2003 et de 2004. Mais en dépit de tout ça, il est quand même fier de l'édition actuelle des Olympiques qui s'est battue avec l'énergie du désespoir. La grande question est maintenant de savoir si Groulx sera de retour l'an prochain avec les Olympiques ou s'il fera finalement le saut dans les rangs professionnels. Groulx, qui a toujours deux ans à son contrat, est en contact avec au moins trois organisations de la LNH.
Il serait temps qu'une équipe lui donne sa chance, avec trois coupes du Président en six ans, il n'a plus rien à prouver au niveau junior et il est prêt pour un niveau supérieur...
