LNH à Hamilton : un problème politique
Hockey mercredi, 7 juil. 2010. 17:34 jeudi, 12 déc. 2024. 03:40
Dans sa série de reportages visant à déterminer le marché canadien le plus propice à accueillir une équipe de la LNH, notre station sœur TSN a fait un arrêt à Hamilton.
Avec les trois millions d'habitants qui se trouvent à l'intérieur d'un rayon de 50 kilomètres de son centre-ville, cette ville du sud de l'Ontario apparaît comme la candidate idéale pour devenir la septième concession canadienne.
Le hic, c'est que les dirigeants de la LNH, le commissaire Gary Bettman en tête, ne semblent pas porter Hamilton dans leur coeur.
"Le gros défi pour la ville de Hamilton, c'est qu'elle se trouve dans un marché qui accueille déjà deux équipes de la LNH, soit Buffalo et Toronto, observe Norm O'Reilly, un expert du monde des affaires spécialisé dans le sport. Le problème en est donc un politique."
"S'il doit vraiment y avoir une deuxième équipe dans le sud de l'Ontario, Hamilton est-elle vraiment la ville toute désignée?, se demande Bettman. Peut-être que ce serait London ou encore Waterloo, qui sait? Personne n'a jamais étudié la question."
Avec les trois millions d'habitants qui se trouvent à l'intérieur d'un rayon de 50 kilomètres de son centre-ville, cette ville du sud de l'Ontario apparaît comme la candidate idéale pour devenir la septième concession canadienne.
Le hic, c'est que les dirigeants de la LNH, le commissaire Gary Bettman en tête, ne semblent pas porter Hamilton dans leur coeur.
"Le gros défi pour la ville de Hamilton, c'est qu'elle se trouve dans un marché qui accueille déjà deux équipes de la LNH, soit Buffalo et Toronto, observe Norm O'Reilly, un expert du monde des affaires spécialisé dans le sport. Le problème en est donc un politique."
"S'il doit vraiment y avoir une deuxième équipe dans le sud de l'Ontario, Hamilton est-elle vraiment la ville toute désignée?, se demande Bettman. Peut-être que ce serait London ou encore Waterloo, qui sait? Personne n'a jamais étudié la question."