LNH: Les espoirs en ont pédalé un coup
Hockey vendredi, 1 juin 2012. 18:15 dimanche, 15 déc. 2024. 05:00
Les espoirs de la LNH ne l'ont pas eu facile à leurs dernières épreuves physiques de la rencontre d'évaluation des espoirs de la LNH, vendredi à Toronto. Sauts en longueur, en hauteur et surtout, endurance VO2 max. Les jeunes trouvent cela difficile, surtout qu'il n'y a pas deux chances de faire bonne impression.
« C'est un petit peu intimidant. De nous voir en camisole et de pédaler le plus vite possible en voyant des directeurs généraux, TSN, RDS, c'est un peu plus stressant », a confié l'attaquant Francis Beauvillier, classé 56e meilleur espoir en Amérique du Nord.
« C'est sûr que c'est vraiment épuisant, mais j'ai fait mes devoirs. Ça fait plusieurs semaines que je m'entraîne pour le Combine. C'est dur, mais si on est préparé, ce n'est pas trop pire », a quant à lui soufflé l'attaquant Stefan Matteau, classé 17e.
Pour les nombreux recruteurs présents, ces épreuves donnent une chance de voir une autre facette de la personnalité des individus.
« Ça nous permet de voir quel est le degré d'implication, mais surtout le degré de volonté de l'individu pour réussir », a indiqué Claude Carrier, recruteur des Devils du New Jersey.
« C'est ma première expérience au Combine. C'est difficile à évaluer, parce qu'il y a des gars qui ont terminé la saison il y a un mois et demi. Ils se sont déjà entraînés en fonction du Combine. D'autres joueurs, qui ont participé à la Coupe Memorial, n'ont pas eu le temps de suivre ces mêmes exercices », a ajouté le dépisteur de Canadien Serge Boisvert.
Trevor Timmins, directeur du recrutement chez le Tricolore, soutient pour sa part que ces tests sont importants afin de tenter de projeter ce que ces jeunes auront l'air physiquement, dans quelques années.
« Ça nous permet d'avoir une meilleure idée de leur potentiel athlétique, de leur croissance physique et de leur propension à se blesser », a-t-il fait savoir.
Toujours aux prises avec sa mononucléose, l'attaquant des Remparts de Québec Mikhail Grigorenko n'a pas pris part aux tests physiques, ce qui ne l'a pas empêché de rencontrer 25 équipes de la Ligue nationale au cours des derniers jours.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux
« C'est un petit peu intimidant. De nous voir en camisole et de pédaler le plus vite possible en voyant des directeurs généraux, TSN, RDS, c'est un peu plus stressant », a confié l'attaquant Francis Beauvillier, classé 56e meilleur espoir en Amérique du Nord.
« C'est sûr que c'est vraiment épuisant, mais j'ai fait mes devoirs. Ça fait plusieurs semaines que je m'entraîne pour le Combine. C'est dur, mais si on est préparé, ce n'est pas trop pire », a quant à lui soufflé l'attaquant Stefan Matteau, classé 17e.
Pour les nombreux recruteurs présents, ces épreuves donnent une chance de voir une autre facette de la personnalité des individus.
« Ça nous permet de voir quel est le degré d'implication, mais surtout le degré de volonté de l'individu pour réussir », a indiqué Claude Carrier, recruteur des Devils du New Jersey.
« C'est ma première expérience au Combine. C'est difficile à évaluer, parce qu'il y a des gars qui ont terminé la saison il y a un mois et demi. Ils se sont déjà entraînés en fonction du Combine. D'autres joueurs, qui ont participé à la Coupe Memorial, n'ont pas eu le temps de suivre ces mêmes exercices », a ajouté le dépisteur de Canadien Serge Boisvert.
Trevor Timmins, directeur du recrutement chez le Tricolore, soutient pour sa part que ces tests sont importants afin de tenter de projeter ce que ces jeunes auront l'air physiquement, dans quelques années.
« Ça nous permet d'avoir une meilleure idée de leur potentiel athlétique, de leur croissance physique et de leur propension à se blesser », a-t-il fait savoir.
Toujours aux prises avec sa mononucléose, l'attaquant des Remparts de Québec Mikhail Grigorenko n'a pas pris part aux tests physiques, ce qui ne l'a pas empêché de rencontrer 25 équipes de la Ligue nationale au cours des derniers jours.
*D'après un reportage de Stéphane Leroux