Le conseil de ville de Glendale se réunit mardi soir, mais l'offre de Greg Jamison pour acheter les Coyotes, ne sera pas à l'ordre du jour. Selon une conseillère, nous pourrions devoir attendre encore quelques semaines avant de connaître les détails d'une entente conclue entre les deux parties. Pour sa part, le maire de Québec Régis Labeaume refuse de tourner la page sur la possible venue des Coyotes à Québec.

"Je n'ai pas compris hier que le dossier était clos. C'est la première chose. Deuxième chose, à la Ville de Québec, nous ne changerons rien à nos plans. Tant et si bien que nous tentons de voter dès mercredi prochain au comité exécutif l'appel d'offres pour les changements à apporter au Colisée Pepsi. Donc, nous ne changerons rien à notre plan."

"D'ici deux ou trois ans, il est fort possible qu'on revienne à la case départ et qu'on se demande : que fait-on avec les Coyotes? s'est demandé le professeur en marketing sportif, André Richelieu. Possiblement qu'on va les déménager si la situation de fond n'est pas réglée. À mon avis, on attend secrètement à la Ligue nationale que Seattle soit prête. Pour justement accorder une franchise dans le nord-ouest des États-Unis pour le marché corporatif extrêmement lucratif dans cette région ainsi que pour le marché de télévision.

"Je pense qu'un projet à 300 ou 325 millions de dollars, 15 ou 16 000 sièges serait largement suffisant pour les besoins actuels et futurs de Québec. On pourrait penser à attirer une équipe de la Ligue américaine comme l'on fait les gens de Winnipeg avant d'avoir une équipe de la Ligue nationale."