Markov en impressionne plus d'un à Hull
Hockey mardi, 31 oct. 2000. 17:20 jeudi, 12 déc. 2024. 23:48
Michel Therrien n'a pas hésité un seul instant. Interrogé après la défaite de 5-2 des recrues du Canadien contre celles du Lightning de Tampa Bay lundi à Hull à savoir si un ou des joueurs avaient retenu son attention, l'entraîneur a immédiatement lancé le nom du défenseur Andrei Markov, auteur d'un but et d'une passe sur celui de Mike Ribeiro.
"On a tous été en mesure de voir le talent de Markov, a noté l'entraîneur de la filiale des Citadelles de Québec. Il a dominé ce match par son intelligence et son talent."
Il n'y a qu'un petit problème dans son cas: le Russe ne parle pas un mot d'anglais ni évidemment de français.
"La semaine dernière, on avait des Russes comme (Oleg) Petrov et (Gennady) Razine dans son entourage, mais ici à Hull, il n'y a personne", a raconté Therrien.
Alors qu'est-ce qu'on fait dans un cas semblable?
"On le laisse jouer, a répondu Therrien en souriant. Il a quand même pratiqué notre système la semaine dernière et c'est un gars très intelligent sur la glace. Ca aide beaucoup."
Therrien n'est pas le seul à avoir été impressionné par le 162e choix du repêchage de 1998, qui possède un avantage marqué cependant: c'est une recrue de bientôt 22 ans (le 20 décembre) et il a joué dans la Ligue nationale de Russie, avec des hommes.
Éric Chouinard, le premier choix du Canadien cette année-là et le 16e en tout, ne cachait pas son admiration: "Il a un bon lancer et il fait de bonnes passes. C'est un joueur talentueux, tu le vois tout de suite."
C'est peut-être le véritable quart-arrière que se cherche le Canadien depuis des lunes. Il se déplace bien en territoire adverse et il donne l'impression d'un joueur qui veut toujours la rondelle.
Est-il assez bon pour faire le saut avec le Canadien dès cette année?
"Ce n'est pas à moi de décider ça", a répondu prudemment Therrien, avant de rappeler qu'on en n'était encore qu'aux premiers jours du camp des recrues.
"On a tous été en mesure de voir le talent de Markov, a noté l'entraîneur de la filiale des Citadelles de Québec. Il a dominé ce match par son intelligence et son talent."
Il n'y a qu'un petit problème dans son cas: le Russe ne parle pas un mot d'anglais ni évidemment de français.
"La semaine dernière, on avait des Russes comme (Oleg) Petrov et (Gennady) Razine dans son entourage, mais ici à Hull, il n'y a personne", a raconté Therrien.
Alors qu'est-ce qu'on fait dans un cas semblable?
"On le laisse jouer, a répondu Therrien en souriant. Il a quand même pratiqué notre système la semaine dernière et c'est un gars très intelligent sur la glace. Ca aide beaucoup."
Therrien n'est pas le seul à avoir été impressionné par le 162e choix du repêchage de 1998, qui possède un avantage marqué cependant: c'est une recrue de bientôt 22 ans (le 20 décembre) et il a joué dans la Ligue nationale de Russie, avec des hommes.
Éric Chouinard, le premier choix du Canadien cette année-là et le 16e en tout, ne cachait pas son admiration: "Il a un bon lancer et il fait de bonnes passes. C'est un joueur talentueux, tu le vois tout de suite."
C'est peut-être le véritable quart-arrière que se cherche le Canadien depuis des lunes. Il se déplace bien en territoire adverse et il donne l'impression d'un joueur qui veut toujours la rondelle.
Est-il assez bon pour faire le saut avec le Canadien dès cette année?
"Ce n'est pas à moi de décider ça", a répondu prudemment Therrien, avant de rappeler qu'on en n'était encore qu'aux premiers jours du camp des recrues.