Matchs annulés jusqu'au 30 décembre
Hockey lundi, 10 déc. 2012. 12:41 mercredi, 11 déc. 2024. 19:24
NEW YORK, États-Unis - La LNH a annulé une autre série de matches de saison régulière, cette fois jusqu'au 30 décembre.
Cela enlève 104 matches de plus au calendrier. Le total de matches annulés est donc de 526 depuis le début du lock-out, à la mi-septembre. Ça représente environ 43 pour cent du calendrier régulier.
Un peu plus tard lundi, plusieurs sources révélaient que la ligue et l'Association des joueurs allaient reprendre les discussions mercredi.
La Classique hivernale au Michigan et le match des étoiles à Columbus, prévus en janvier, ont déjà été rayés de la carte.
La ligue et les joueurs donnaient l'impression de s'approcher d'une entente avant un nouvel échec des négociations, la semaine dernière.
Le commissaire Gary Bettman a déjà mentionné qu'il faudrait une saison d'au moins 48 matches pour conserver l'intégrité d'une campagne, ce qui signifie qu'une nouvelle convention collective devra vraisemblablement être ratifiée d'ici le mois prochain.
«Quand on atteindra le point où on ne pourra plus disputer une saison avec intégrité, avec un calendrier significatif, alors ce sera la fin, a dit Bettman. Si vous vous rappelez bien, je crois que nous avons disputé 48 matchs en 1994-95. Je ne peux imaginer une saison plus courte que ça.»
La LNH est devenue en 2004-05 le premier circuit majeur nord-américain à perdre une saison complète à cause d'un conflit de travail. À l'époque, la LNH et l'AJLNH avaient négocié jusqu'en février et tentaient d'en arriver à une entente qui aurait permis aux équipes de prendre part à seulement 28 matchs.
Ce type de scénario est désormais exclu.
Quand la LNH a présenté une saison écourtée de 48 matchs après le lock-out de 1994-95, les parties avaient conclu une entente le 11 janvier et les activités avaient repris le 20. La saison régulière s'était terminée le 3 mai, et la Coupe Stanley avait été remise le 24 juin grâce au balayage de quatre des sept dernières séries éliminatoires.
Jeudi soir dernier, le directeur exécutif de l'AJLNH, Donald Fehr, a d'abord dit que les deux parties s'étaient mises d'accord sur presque tous les enjeux majeurs. Un peu plus tard, par contre, la ligue a rejeté l'offre et a retiré sa proposition de la table des négociations. Le patron du syndicat croit toujours qu'une entente est à portée de main.
«Mes commentaires formulés il y a quelques jours sont toujours valables», a dit Fehr samedi, après avoir rencontré les Travailleurs canadiens de l'automobile. «Je crois que nous sommes très près.»
D'un côté comme de l'autre, on se disait intéressés à reprendre les pourparlers cette semaine. Les principaux dirigeants de chaque partie devraient cependant être présents à la table des négociations lorsque celles-ci reprendront.
C'est particulièrement important pour les joueurs, qui ont reçu un accueil plutôt glacial des propriétaires la semaine dernière après avoir suggéré que Fehr se joigne aux réunions.
«Je ne peux m'imaginer un scénario dans lequel on ne demande pas l'aide des médiateurs ou notre leadership, afin de conclure une entente», a dit le défenseur des Jets de Winnipeg Ron Hainsey la semaine dernière. «Je ne vois pas comment nous pourrions y arriver.»
Cela enlève 104 matches de plus au calendrier. Le total de matches annulés est donc de 526 depuis le début du lock-out, à la mi-septembre. Ça représente environ 43 pour cent du calendrier régulier.
Un peu plus tard lundi, plusieurs sources révélaient que la ligue et l'Association des joueurs allaient reprendre les discussions mercredi.
La Classique hivernale au Michigan et le match des étoiles à Columbus, prévus en janvier, ont déjà été rayés de la carte.
La ligue et les joueurs donnaient l'impression de s'approcher d'une entente avant un nouvel échec des négociations, la semaine dernière.
Le commissaire Gary Bettman a déjà mentionné qu'il faudrait une saison d'au moins 48 matches pour conserver l'intégrité d'une campagne, ce qui signifie qu'une nouvelle convention collective devra vraisemblablement être ratifiée d'ici le mois prochain.
«Quand on atteindra le point où on ne pourra plus disputer une saison avec intégrité, avec un calendrier significatif, alors ce sera la fin, a dit Bettman. Si vous vous rappelez bien, je crois que nous avons disputé 48 matchs en 1994-95. Je ne peux imaginer une saison plus courte que ça.»
La LNH est devenue en 2004-05 le premier circuit majeur nord-américain à perdre une saison complète à cause d'un conflit de travail. À l'époque, la LNH et l'AJLNH avaient négocié jusqu'en février et tentaient d'en arriver à une entente qui aurait permis aux équipes de prendre part à seulement 28 matchs.
Ce type de scénario est désormais exclu.
Quand la LNH a présenté une saison écourtée de 48 matchs après le lock-out de 1994-95, les parties avaient conclu une entente le 11 janvier et les activités avaient repris le 20. La saison régulière s'était terminée le 3 mai, et la Coupe Stanley avait été remise le 24 juin grâce au balayage de quatre des sept dernières séries éliminatoires.
Jeudi soir dernier, le directeur exécutif de l'AJLNH, Donald Fehr, a d'abord dit que les deux parties s'étaient mises d'accord sur presque tous les enjeux majeurs. Un peu plus tard, par contre, la ligue a rejeté l'offre et a retiré sa proposition de la table des négociations. Le patron du syndicat croit toujours qu'une entente est à portée de main.
«Mes commentaires formulés il y a quelques jours sont toujours valables», a dit Fehr samedi, après avoir rencontré les Travailleurs canadiens de l'automobile. «Je crois que nous sommes très près.»
D'un côté comme de l'autre, on se disait intéressés à reprendre les pourparlers cette semaine. Les principaux dirigeants de chaque partie devraient cependant être présents à la table des négociations lorsque celles-ci reprendront.
C'est particulièrement important pour les joueurs, qui ont reçu un accueil plutôt glacial des propriétaires la semaine dernière après avoir suggéré que Fehr se joigne aux réunions.
«Je ne peux m'imaginer un scénario dans lequel on ne demande pas l'aide des médiateurs ou notre leadership, afin de conclure une entente», a dit le défenseur des Jets de Winnipeg Ron Hainsey la semaine dernière. «Je ne vois pas comment nous pourrions y arriver.»