Mayrand et Rasmussen accusés d'extorsion
Hockey jeudi, 7 oct. 2004. 22:28 mercredi, 11 déc. 2024. 19:28
SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU (PC) - Deux durs à cuire de la Ligue nord-américaine de hockey, anciennement la ligue semi-pro, ont été accusés en cour criminelle pour une affaire d'extorsion.
Dean Mayrand et Brian Rasmussen, deux solides gaillards, sont accusés d'avoir joué les gros bras en intimidant un commerçant de Longueuil.
Les gestes qu'on leur reproche seraient survenus mercredi au domicile d'un troisième accusé, Julius Esterson, 66 ans.
Selon l'enquête policière, ce dernier aurait contracté une dette de 94 000 $ envers un vendeur d'autos d'occasion. Esterson aurait convoqué son créancier chez lui pour régler leurs comptes.
Sous la menace de Mayrand et de Rasmussen, deux hockeyeurs reconnus essentiellement pour leur talent pugilistique, le vendeur d'auto aurait été contraint de signer des documents lui faisant renoncer à sa créance.
Jeudi, Dean Mayrand a été accusé de séquestration et d'intimidation. Brian Rasmussen fait face aux mêmes accusations en plus de deux autres chefs de voies de fait. Tout comme Julius Esterson, qui serait à l'origine de toute l'affaire. Celui-ci est accusé en outre de menaces de mort.
Dean Mayrand et Brian Rasmussen, deux solides gaillards, sont accusés d'avoir joué les gros bras en intimidant un commerçant de Longueuil.
Les gestes qu'on leur reproche seraient survenus mercredi au domicile d'un troisième accusé, Julius Esterson, 66 ans.
Selon l'enquête policière, ce dernier aurait contracté une dette de 94 000 $ envers un vendeur d'autos d'occasion. Esterson aurait convoqué son créancier chez lui pour régler leurs comptes.
Sous la menace de Mayrand et de Rasmussen, deux hockeyeurs reconnus essentiellement pour leur talent pugilistique, le vendeur d'auto aurait été contraint de signer des documents lui faisant renoncer à sa créance.
Jeudi, Dean Mayrand a été accusé de séquestration et d'intimidation. Brian Rasmussen fait face aux mêmes accusations en plus de deux autres chefs de voies de fait. Tout comme Julius Esterson, qui serait à l'origine de toute l'affaire. Celui-ci est accusé en outre de menaces de mort.