McSorley n'est pas le bienvenu en Europe, mais pourrait jouer
Hockey mardi, 5 déc. 2000. 15:21 dimanche, 15 déc. 2024. 14:55
LAUSANNE (AP) - Le président de la Fédération internationale de hockey, Rene Fasel, ne veut pas que Marty McSorley puisse jouer en Europe mais il souligne qu'il n'y a probablement aucun motif légal pour l'empêcher de jouer.
La LNH, qui a suspendu pour un an l'ancien joueur des Bruins de Boston à la suite du coup de bâton qu'il a asséné à Donald Brashear des Canucks de Vancouver la saison dernière, a laissé à Fasel la décision d'autoriser ou de refuser que McSorley joue en Europe.
"J'ai eu des discussions avec la LNH et le commissaire Gary Bettman, a dit Fasel. Ils m'ont dit que la décision m'appartenait.
"Je ne veux pas lui permettre de jouer ici mais légalement, nous pourrions être obligé de le faire. A mes yeux, il est suspendu et je ne pense pas qu'on devrait l'autoriser à jouer en Europe. Mais il y a l'aspect légal et nous devons parler à nos avocats."
Il n'y a aucune entente entre la Fédération internationale de hockey et la Ligue nationale pour empêcher une équipe européenne de mettre sous contrat un joueur qui est suspendu en Amérique du Nord. Mais Fasel espère que des modifications seront apportées.
"Je vais leur en parler. Je pense que dans notre prochain contrat, nous devrions avoir une entente à ce sujet."
McSorley, un joueur autonome sans compensation, sera admissible à reprendre l'entraînement avec une équipe de la LNH le 1er janvier. Mais son frère, Chris, le directeur général d'une équipe professionnelle en Angleterre, a révélé la semaine dernière que McSorley préférerait retrouver la forme en Allemagne et en Suisse.
Fasel a estimé que McSorley pourrait s'en sortir facilement.
"Si un joueur est suspendu en Europe ou en Amérique du Nord, il ne devait avoir aucune façon de s'en sortir, a dit Fasel. C'est trop facile."
La LNH, qui a suspendu pour un an l'ancien joueur des Bruins de Boston à la suite du coup de bâton qu'il a asséné à Donald Brashear des Canucks de Vancouver la saison dernière, a laissé à Fasel la décision d'autoriser ou de refuser que McSorley joue en Europe.
"J'ai eu des discussions avec la LNH et le commissaire Gary Bettman, a dit Fasel. Ils m'ont dit que la décision m'appartenait.
"Je ne veux pas lui permettre de jouer ici mais légalement, nous pourrions être obligé de le faire. A mes yeux, il est suspendu et je ne pense pas qu'on devrait l'autoriser à jouer en Europe. Mais il y a l'aspect légal et nous devons parler à nos avocats."
Il n'y a aucune entente entre la Fédération internationale de hockey et la Ligue nationale pour empêcher une équipe européenne de mettre sous contrat un joueur qui est suspendu en Amérique du Nord. Mais Fasel espère que des modifications seront apportées.
"Je vais leur en parler. Je pense que dans notre prochain contrat, nous devrions avoir une entente à ce sujet."
McSorley, un joueur autonome sans compensation, sera admissible à reprendre l'entraînement avec une équipe de la LNH le 1er janvier. Mais son frère, Chris, le directeur général d'une équipe professionnelle en Angleterre, a révélé la semaine dernière que McSorley préférerait retrouver la forme en Allemagne et en Suisse.
Fasel a estimé que McSorley pourrait s'en sortir facilement.
"Si un joueur est suspendu en Europe ou en Amérique du Nord, il ne devait avoir aucune façon de s'en sortir, a dit Fasel. C'est trop facile."