Murray va faire confiance à Gerber
Hockey mercredi, 12 mars 2008. 20:26 dimanche, 15 déc. 2024. 08:35
OTTAWA - L'entraîneur Bryan Murray a entendu plusieurs critiques envers Martin Gerber, mais ça ne l'empêchera pas de lui témoigner sa confiance, mettant ainsi fin au débat sur les gardiens des Sénateurs d'Ottawa.
Gerber sera de retour devant le filet, jeudi soir, alors que les Sénateurs et le Canadien s'affronteront à Montréal dans un match de première importance pour la section Nord-Est.
Il s'agira d'un septième départ d'affilée pour Gerber, soit la plus longue séquence pour un gardien des Sénateurs cette saison.
Gerber, 33 ans, s'est imposé comme meilleur joueur des siens jusqu'ici en mars, et c'est en bonne partie grâce à lui si les Sénateurs continuent de livrer bataille au CH pour le premier rang de la section.
Les Sénateurs ont récemment enfilé deux gains d'affilée pour la première fois en plus d'un mois, ayant gagné 4-2 à Phoenix, samedi, puis battu Boston 4-1 à domicile, mardi.
Par ailleurs, Ray Emery a parlé aux journalistes pour la première fois depuis le congédiement de John Paddock, le 27 février, disant regretter les actions ayant fait la manchette cette saison. Mais étant donné le haut niveau de jeu de Gerber, ça ne suffira pas pour que Murray change d'idée.
"(Emery) obtiendra quelques matches, a dit Murray. Mais je demeure de l'avis que Martin semble être un gardien qui pourrait nous amener loin."
Il reste que l'on a souvent remis en question la confiance montrée par Gerber depuis son acquisition des Hurricanes, à l'été 2006.
Murray n'est toutefois pas inquiet de ne pas voir Gerber répondre aux attentes.
"Je me suis informé de lui auprès de plusieurs personnes, a dit Murray. Comme (l'ancien Capital) Bengt Gustafsson, un gars que je respecte et qui a joué pour moi. Il l'a dirigé dans la ligue suédoise (avec Farjestads BK Karlstad en 2001-02 et 2004-05, quand l'équipe a gagné le championnat et perdu en finale, respectivement). Peu importe le niveau où vous jouez, il y la pression de gagner, et (Gerber) a bien composé avec cette pression-là.
"En fait, il a été la vedette de la marche vers les séries de ces équipes à l'époque. Je sais qu'il est capable d'accepter la pression. Ce n'est pas un problème."
Gerber sera de retour devant le filet, jeudi soir, alors que les Sénateurs et le Canadien s'affronteront à Montréal dans un match de première importance pour la section Nord-Est.
Il s'agira d'un septième départ d'affilée pour Gerber, soit la plus longue séquence pour un gardien des Sénateurs cette saison.
Gerber, 33 ans, s'est imposé comme meilleur joueur des siens jusqu'ici en mars, et c'est en bonne partie grâce à lui si les Sénateurs continuent de livrer bataille au CH pour le premier rang de la section.
Les Sénateurs ont récemment enfilé deux gains d'affilée pour la première fois en plus d'un mois, ayant gagné 4-2 à Phoenix, samedi, puis battu Boston 4-1 à domicile, mardi.
Par ailleurs, Ray Emery a parlé aux journalistes pour la première fois depuis le congédiement de John Paddock, le 27 février, disant regretter les actions ayant fait la manchette cette saison. Mais étant donné le haut niveau de jeu de Gerber, ça ne suffira pas pour que Murray change d'idée.
"(Emery) obtiendra quelques matches, a dit Murray. Mais je demeure de l'avis que Martin semble être un gardien qui pourrait nous amener loin."
Il reste que l'on a souvent remis en question la confiance montrée par Gerber depuis son acquisition des Hurricanes, à l'été 2006.
Murray n'est toutefois pas inquiet de ne pas voir Gerber répondre aux attentes.
"Je me suis informé de lui auprès de plusieurs personnes, a dit Murray. Comme (l'ancien Capital) Bengt Gustafsson, un gars que je respecte et qui a joué pour moi. Il l'a dirigé dans la ligue suédoise (avec Farjestads BK Karlstad en 2001-02 et 2004-05, quand l'équipe a gagné le championnat et perdu en finale, respectivement). Peu importe le niveau où vous jouez, il y la pression de gagner, et (Gerber) a bien composé avec cette pression-là.
"En fait, il a été la vedette de la marche vers les séries de ces équipes à l'époque. Je sais qu'il est capable d'accepter la pression. Ce n'est pas un problème."