"On manque de passion"
Hockey lundi, 15 janv. 2007. 22:55 dimanche, 2 mars 2025. 20:35
(PC) - Mathieu Dandenault avait mis 2000 $ sur la table afin d'inspirer ses coéquipiers face à son ancienne équipe. L'entraîneur Guy Carbonneau avait ajouté 1000 $, et le défenseur Mike Komisarek, 500 $. Malgré les dollars, le Canadien s'est incliné face aux Red Wings.
"On manque de passion, celle qu'on avait en début de saison", a fait valoir David Aebischer. Le gardien suisse a fait face à 39 tirs. Il a été déjoué par deux tirs qu'il aurait pu stopper. "Nous sommes tous dans le même bateau, a noté Aebischer. Il faut retrouver le chemin de la victoire, il faut retrouver notre envie de jouer. Je pense que c'est assez. Qu'on gagne 8-6 ou 1-0 en fusillade, ça n'a pas d'importance."
Chris Higgins a admis que le jeu de l'équipe manque d'éclat. "On a besoin d'une étincelle, d'un bond favorable, a-t-il dit. On l'a cherché en vain durant toute la soirée. "Notre niveau d'énergie est aussi très bas. Il importe qu'on retrouve notre confiance au plus tôt."
Guillaume Latendresse a livré un bon match, tout comme Tomas Plekanec. "J'ai obtenu des chances. J'ai même frappé un poteau en troisième. Depuis quelques matchs, on n'arrive pas à acheter un but."
Dandenault affrontait ses anciens coéquipiers des Red Wings pour la première fois depuis son transfert à Montréal. Il a dit avoir retrouvé l'équipe qu'il a laissée il y a deux ans. "Ils sont toujours en bonne position, a-t-il expliqué. Ils sont aussi patients. C'est une équipe qui joue de façon intelligente. C'est une équipe qui a aussi du talent. "Ça fait 10 ou 12 ans qu'ils jouent comme ça. De notre côté, on manque de confiance. On joue trop sur les talons."
Latendresse jouait contre les Red Wings pour la première fois de sa carrière. Il a été impressionné. "Detroit donne très peu d'espace. Leurs joueurs ne craignent pas de faire des passes devant le filet. On voit qu'ils roulent leur bosse dans la ligue depuis des années."
Higgins a eu le même commentaire. "Ils sont intelligents. C'est dur de les affronter. Ils commettent très peu d'erreurs."
L'attaque à cinq du Canadien n'a rien produit en cinq supériorités numériques.
"On manque de passion, celle qu'on avait en début de saison", a fait valoir David Aebischer. Le gardien suisse a fait face à 39 tirs. Il a été déjoué par deux tirs qu'il aurait pu stopper. "Nous sommes tous dans le même bateau, a noté Aebischer. Il faut retrouver le chemin de la victoire, il faut retrouver notre envie de jouer. Je pense que c'est assez. Qu'on gagne 8-6 ou 1-0 en fusillade, ça n'a pas d'importance."
Chris Higgins a admis que le jeu de l'équipe manque d'éclat. "On a besoin d'une étincelle, d'un bond favorable, a-t-il dit. On l'a cherché en vain durant toute la soirée. "Notre niveau d'énergie est aussi très bas. Il importe qu'on retrouve notre confiance au plus tôt."
Guillaume Latendresse a livré un bon match, tout comme Tomas Plekanec. "J'ai obtenu des chances. J'ai même frappé un poteau en troisième. Depuis quelques matchs, on n'arrive pas à acheter un but."
Dandenault affrontait ses anciens coéquipiers des Red Wings pour la première fois depuis son transfert à Montréal. Il a dit avoir retrouvé l'équipe qu'il a laissée il y a deux ans. "Ils sont toujours en bonne position, a-t-il expliqué. Ils sont aussi patients. C'est une équipe qui joue de façon intelligente. C'est une équipe qui a aussi du talent. "Ça fait 10 ou 12 ans qu'ils jouent comme ça. De notre côté, on manque de confiance. On joue trop sur les talons."
Latendresse jouait contre les Red Wings pour la première fois de sa carrière. Il a été impressionné. "Detroit donne très peu d'espace. Leurs joueurs ne craignent pas de faire des passes devant le filet. On voit qu'ils roulent leur bosse dans la ligue depuis des années."
Higgins a eu le même commentaire. "Ils sont intelligents. C'est dur de les affronter. Ils commettent très peu d'erreurs."
L'attaque à cinq du Canadien n'a rien produit en cinq supériorités numériques.