Pas assez sévères selon les Québécois
Hockey mercredi, 26 mars 2008. 09:32 jeudi, 12 déc. 2024. 01:18
MONTREAL - Les Québécois ne sont guère impressionnés par les sanctions imposées par la Ligue de hockey junior majeur du Québec à Jonathan et Patrick Roy, s'il on en croit un sondage réalisé mardi par la maison Léger Marketing pour le compte du Journal de Montréal.
Soixante-huit pour cent des répondants ont estimé que la suspension de sept matchs dont a écopé le gardien des Remparts de Québec Jonathan Roy n'est pas assez sévère. Presque autant, soit 64 pour cent, étaient d'avis que celle de cinq rencontres servie à son père, entraîneur et directeur général Patrick Roy n'était pas non plus assez sévère.
De plus, 51 pour cent ont indiqué que toute l'affaire avait changé négativement la perception qu'ils avaient de l'ancien gardien étoile du Canadien de Montréal et de l'Avalanche du Colorado. Presque autant de gens -- 48 pour cent -- ont conservé l'idée qu'ils se faisaient de lui.
Et 85 pour cent des répondants ont dit avoir été choqués par les événements.
Les trois quarts estiment que les bagarres devraient être interdites dans la LHJMQ. Mais 60 pour cent ne font pas confiance à la Ligue pour qu'elle mette un terme à la violence récurrente.
Ce sondage a été mené par le biais d'Internet auprès de 507 personnes au fait des incidents de samedi dernier. Un tel échantillon présente une marge d'erreur de 4 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
Soixante-huit pour cent des répondants ont estimé que la suspension de sept matchs dont a écopé le gardien des Remparts de Québec Jonathan Roy n'est pas assez sévère. Presque autant, soit 64 pour cent, étaient d'avis que celle de cinq rencontres servie à son père, entraîneur et directeur général Patrick Roy n'était pas non plus assez sévère.
De plus, 51 pour cent ont indiqué que toute l'affaire avait changé négativement la perception qu'ils avaient de l'ancien gardien étoile du Canadien de Montréal et de l'Avalanche du Colorado. Presque autant de gens -- 48 pour cent -- ont conservé l'idée qu'ils se faisaient de lui.
Et 85 pour cent des répondants ont dit avoir été choqués par les événements.
Les trois quarts estiment que les bagarres devraient être interdites dans la LHJMQ. Mais 60 pour cent ne font pas confiance à la Ligue pour qu'elle mette un terme à la violence récurrente.
Ce sondage a été mené par le biais d'Internet auprès de 507 personnes au fait des incidents de samedi dernier. Un tel échantillon présente une marge d'erreur de 4 points de pourcentage, 19 fois sur 20.