Pas exactement le scénario souhaité
Hockey dimanche, 12 avr. 2009. 15:29 mercredi, 11 déc. 2024. 21:50
MONTRÉAL - Les séries ont beau marquer le début d'une toute nouvelle saison, encore faut-il qu'une équipe s'y attaque en ayant trouvé un bon rythme de croisière ou du moins sur une apparence de lancée. Une maigre récolte d'un point sur une possibilité de huit au cours de la dernière semaine d'activités n'était sûrement pas le scénario souhaité pour le Canadien, à l'aube de sa série contre les Bruins de Boston, les champions d'association.
L'entraîneur Bob Gainey l'a fait remarquer, samedi, au terme de la défaite de 3-1 contre les Penguins de Pittsburgh.
"Nous n'avons pas connu une bonne dernière semaine, a-t-il souligné. Nous avons joué sous une forte pression ces derniers temps. Nous disposons maintenant de quatre jours, je crois, avant d'affronter les Bruins. C'est une bonne pause pour nous. Nous allons pouvoir centrer tous nos efforts sur notre préparation."
La pression ne sera pas moins forte en séries, mais elle va l'être davantage sur les Bruins parce qu'ils seront les grands favoris pour l'emporter.
Le rôle de négligés du Canadien fait parfaitement l'affaire de Maxim Lapierre.
"Quand on entre en séries par la porte arrière, on peut surprendre", a-t-il affirmé, samedi, en débitant tous les clichés ayant comme thématique que les équipes repartent toutes sur un pied d'égalité en séries.
En cette saison du centenaire, le Canadien possède l'avantage psychologique en raison des succès historiques face aux Bruins en séries. Il a enlevé les honneurs de 24 des 31 séries entre les équipes, incluant la dernière, disputée la saison dernière.
La situation de cette année est semblable à celle de 2004, quand les Bruins avaient affronté le Canadien au premier tour, en étant les favoris. Ils avaient terminé au deuxième rang de l'association et le CH en septième place.
En retard 3-1 dans la série, le Canadien a orchestré une remontée qu'il a couronnée en remportant le septième match, une première dans son histoire.
L'équipe a dans ses rangs un bon noyau de joueurs qui ont participé à l'exploit. Cinq en fait, en excluant l'entraîneur Claude Julien et Michael Ryder qui sont passés dans le camp de l'ennemi. Il s'agit des Saku Koivu, Alex Kovalev, Andrei Markov, Mike Komisarek, Patrice Brisebois et Francis Bouillon. Patrice Bergeron, qui était un joueur recrue, et P.J. Axelsson sont les autres membres des Bruins qui sont toujours là.
La saison dernière, les Bruins ont failli créer la surprise en poussant la série à la limite. Le jeune gardien Carey Price les a blanchis dans la dernière rencontre.
Le vétéran joueur de centre du Canadien, Glen Metropolit, faisait partie des Bruins, la saison dernière.
"C'est le scénario inverse pour moi cette année, encore comme membre de l'équipe de huitième place, a-t-il relevé. Je sais combien la rivalité est forte. On doit aborder les matchs un à la fois, tout peut arriver. Je m'attends à une longue série, très physique. On va être prêt et rivaliser avec eux. On verra bien le résultat."
S'il veut augmenter ses chances de réussite, le Canadien va devoir miser sur son défenseur vedette, Andrei Markov, qui a raté les quatre derniers matchs en raison d'une blessure.
L'entraîneur Bob Gainey l'a fait remarquer, samedi, au terme de la défaite de 3-1 contre les Penguins de Pittsburgh.
"Nous n'avons pas connu une bonne dernière semaine, a-t-il souligné. Nous avons joué sous une forte pression ces derniers temps. Nous disposons maintenant de quatre jours, je crois, avant d'affronter les Bruins. C'est une bonne pause pour nous. Nous allons pouvoir centrer tous nos efforts sur notre préparation."
La pression ne sera pas moins forte en séries, mais elle va l'être davantage sur les Bruins parce qu'ils seront les grands favoris pour l'emporter.
Le rôle de négligés du Canadien fait parfaitement l'affaire de Maxim Lapierre.
"Quand on entre en séries par la porte arrière, on peut surprendre", a-t-il affirmé, samedi, en débitant tous les clichés ayant comme thématique que les équipes repartent toutes sur un pied d'égalité en séries.
En cette saison du centenaire, le Canadien possède l'avantage psychologique en raison des succès historiques face aux Bruins en séries. Il a enlevé les honneurs de 24 des 31 séries entre les équipes, incluant la dernière, disputée la saison dernière.
La situation de cette année est semblable à celle de 2004, quand les Bruins avaient affronté le Canadien au premier tour, en étant les favoris. Ils avaient terminé au deuxième rang de l'association et le CH en septième place.
En retard 3-1 dans la série, le Canadien a orchestré une remontée qu'il a couronnée en remportant le septième match, une première dans son histoire.
L'équipe a dans ses rangs un bon noyau de joueurs qui ont participé à l'exploit. Cinq en fait, en excluant l'entraîneur Claude Julien et Michael Ryder qui sont passés dans le camp de l'ennemi. Il s'agit des Saku Koivu, Alex Kovalev, Andrei Markov, Mike Komisarek, Patrice Brisebois et Francis Bouillon. Patrice Bergeron, qui était un joueur recrue, et P.J. Axelsson sont les autres membres des Bruins qui sont toujours là.
La saison dernière, les Bruins ont failli créer la surprise en poussant la série à la limite. Le jeune gardien Carey Price les a blanchis dans la dernière rencontre.
Le vétéran joueur de centre du Canadien, Glen Metropolit, faisait partie des Bruins, la saison dernière.
"C'est le scénario inverse pour moi cette année, encore comme membre de l'équipe de huitième place, a-t-il relevé. Je sais combien la rivalité est forte. On doit aborder les matchs un à la fois, tout peut arriver. Je m'attends à une longue série, très physique. On va être prêt et rivaliser avec eux. On verra bien le résultat."
S'il veut augmenter ses chances de réussite, le Canadien va devoir miser sur son défenseur vedette, Andrei Markov, qui a raté les quatre derniers matchs en raison d'une blessure.