Pas impossible dit Dryden
Hockey jeudi, 31 mai 2007. 19:43 samedi, 14 déc. 2024. 21:55
OTTAWA - Seulement trois équipes ont réussi à remporter la coupe Stanley après avoir accusé un déficit de 0-2 dans une série quatre de sept. Et celui qui était le gardien de la dernière équipe à réaliser l'exploit, l'édition 1971 du Canadien de Montréal, est d'avis que les Sénateurs d'Ottawa ne devraient pas être considérés comme étant au tapis, au moment où la série finale s'amène dans la capitale canadienne pour le troisième match, samedi soir.
"Chaque série a sa propre dynamique, a dit le gardien membre du Panthéon Ken Dryden, jeudi, de son poste actuel comme membre élu du Parlement.
"Tout n'a pas été négatif dans les deux premiers matches, et en ce moment les Sénateurs développent un plan pour approcher le troisième match de façon différente. Ca ne prend pas grand-chose pour changer le cours d'une série, surtout que les deux matches ont été décidés par un seul but."
Selon la Ligue nationale, les autres occasions où une équipe a gagné la coupe Stanley après avoir perdu les deux premiers matches sont le Canadien en 1966 et les Maple Leafs de Toronto en 1942.
Les Ducks d'Anaheim ont dominé pour ce qui est de l'échec-avant et du jeu physique lors des deux premiers matches, amenant plusieurs observateurs à donner peu de chances aux Sénateurs.
Les équipes amorçant la série finale à l'étranger ont perdu les deux premiers matches à 30 reprises, et il n'est arrivé qu'une seule fois que la vapeur a été renversée.
Dryden était une recrue inconnue qui n'avait même pas passé une saison complète comme substitut dans la LNH lorsqu'on il s'est établi devant le filet montréalais au printemps 1971.
En finale cette année-là, le Tricolore s'est incliné lors des deux premiers matches face aux Blackhawks à Chicago, a remporté les deux suivants à Montréal, a perdu le cinquième à l'étranger, a gagné une fois de plus à domicile puis a remporté la coupe lors du septième match au Chicago Stadium.
Dryden a mentionné avoir été impressionné par les jeunes Corey Perry et Ryan Getzlaf des Ducks, mais il ajoute qu'Ottawa est l'équipe plus rapide et talentueuse, par comparaison au jeu plus physique et défensif d'Anaheim.
"C'est un beau contraste de styles, a dit Dryden. La vitesse est habituellement une façon de répondre à la taille et la force. Vous pouvez faire mal paraître une équipe de ce genre-là avec votre rapidité."
"Chaque série a sa propre dynamique, a dit le gardien membre du Panthéon Ken Dryden, jeudi, de son poste actuel comme membre élu du Parlement.
"Tout n'a pas été négatif dans les deux premiers matches, et en ce moment les Sénateurs développent un plan pour approcher le troisième match de façon différente. Ca ne prend pas grand-chose pour changer le cours d'une série, surtout que les deux matches ont été décidés par un seul but."
Selon la Ligue nationale, les autres occasions où une équipe a gagné la coupe Stanley après avoir perdu les deux premiers matches sont le Canadien en 1966 et les Maple Leafs de Toronto en 1942.
Les Ducks d'Anaheim ont dominé pour ce qui est de l'échec-avant et du jeu physique lors des deux premiers matches, amenant plusieurs observateurs à donner peu de chances aux Sénateurs.
Les équipes amorçant la série finale à l'étranger ont perdu les deux premiers matches à 30 reprises, et il n'est arrivé qu'une seule fois que la vapeur a été renversée.
Dryden était une recrue inconnue qui n'avait même pas passé une saison complète comme substitut dans la LNH lorsqu'on il s'est établi devant le filet montréalais au printemps 1971.
En finale cette année-là, le Tricolore s'est incliné lors des deux premiers matches face aux Blackhawks à Chicago, a remporté les deux suivants à Montréal, a perdu le cinquième à l'étranger, a gagné une fois de plus à domicile puis a remporté la coupe lors du septième match au Chicago Stadium.
Dryden a mentionné avoir été impressionné par les jeunes Corey Perry et Ryan Getzlaf des Ducks, mais il ajoute qu'Ottawa est l'équipe plus rapide et talentueuse, par comparaison au jeu plus physique et défensif d'Anaheim.
"C'est un beau contraste de styles, a dit Dryden. La vitesse est habituellement une façon de répondre à la taille et la force. Vous pouvez faire mal paraître une équipe de ce genre-là avec votre rapidité."