Patrick Roy ou le bonheur tranquille
Hockey mercredi, 28 juin 2006. 19:13 vendredi, 13 déc. 2024. 20:54
MONTREAL (PC) - Patrick Roy a réagi très sobrement à son intronisation au Temple de la renommée du hockey lors d'un point de presse télévisé partout au Québec mercredi.
A ceux qui semblaient s'en étonner, il a expliqué: "Peut-être que je garde ça à l'intérieur. C'est la façon dont je suis. Mais je suis vraiment très heureux.
"C'est une année que je n'oublierai jamais", a-t-il ajouté en rappelant la conquête de la coupe Memorial par ses Remparts, dont il est à la fois copropriétaire, directeur général et entraîneur.
"Je me rappelle de ma première journée dans le vestiaire du Canadien quand j'ai vu sur un mur tous ces visages de joueurs qui étaient au Temple de la renommée. J'étais loin de penser que ça pourrait m'arriver un jour. La première étape pour moi était de survivre dans la Ligue nationale et voilà où j'en suis 21 ans plus tard", a déclaré Roy en acceptant de revenir sur son passé.
Ses quatre conquêtes de la coupe Stanley, deux à Montréal et deux au Colorado, demeurent les moments les plus importants de sa carrière professionnelle, a-t-il assuré.
"J'ai aussi eu la chance d'avoir des coéquipiers extraordinaires, a-t-il ajouté, et de jouer pour deux organisations qui avaient beaucoup de classe.
"Je me considère privilégié et extrêmement chanceux. J'ai joué 18 ans dans la Ligue nationale et encore aujourd'hui, je suis impliqué dans le hockey dans une organisation aussi extraordinaire que les Remparts." Chez lui en plus.
Encore une fois, Roy a tenu à rendre hommage à deux anciens gardiens, Daniel Bouchard et Rogatien Vachon, "qui ont eu beaucoup d'influence sur ma carrière".
Le temps efface bien des choses et, a dit Roy, "je pense qu'avec les années, les gens à Montréal vont se rappeler beaucoup plus toutes mes années passées là-bas plutôt que mon dernier soir..." Quant à lui, il sera honoré, si un jour on décide de retirer son chandail numéro 33 au Centre Bell.
De même, il souhaite que le public du Colorado garde lui aussi un bon souvenir de lui.
Comme il l'a dit et répété lors du tournoi de la coupe Memorial, Roy a assuré qu'un poste de dirigeant dans la LNH n'est pas une option pour lui présentement.
"Il faudrait une situation idéale pour que je retourne dans la Ligue nationale. J'ai parlé avec certaines organisations, a-t-il avoué, et peut-être qu'un jour ça arrivera, mais pour le moment mon but n'est pas de retourner dans la Ligue nationale mais de travailler avec les Remparts à long terme.
"Je suis excessivement bien dans la situation où je suis. Je suis proche de mes enfants, je ne peux pas demander mieux."
[[PUBPC]]
A ceux qui semblaient s'en étonner, il a expliqué: "Peut-être que je garde ça à l'intérieur. C'est la façon dont je suis. Mais je suis vraiment très heureux.
"C'est une année que je n'oublierai jamais", a-t-il ajouté en rappelant la conquête de la coupe Memorial par ses Remparts, dont il est à la fois copropriétaire, directeur général et entraîneur.
"Je me rappelle de ma première journée dans le vestiaire du Canadien quand j'ai vu sur un mur tous ces visages de joueurs qui étaient au Temple de la renommée. J'étais loin de penser que ça pourrait m'arriver un jour. La première étape pour moi était de survivre dans la Ligue nationale et voilà où j'en suis 21 ans plus tard", a déclaré Roy en acceptant de revenir sur son passé.
Ses quatre conquêtes de la coupe Stanley, deux à Montréal et deux au Colorado, demeurent les moments les plus importants de sa carrière professionnelle, a-t-il assuré.
"J'ai aussi eu la chance d'avoir des coéquipiers extraordinaires, a-t-il ajouté, et de jouer pour deux organisations qui avaient beaucoup de classe.
"Je me considère privilégié et extrêmement chanceux. J'ai joué 18 ans dans la Ligue nationale et encore aujourd'hui, je suis impliqué dans le hockey dans une organisation aussi extraordinaire que les Remparts." Chez lui en plus.
Encore une fois, Roy a tenu à rendre hommage à deux anciens gardiens, Daniel Bouchard et Rogatien Vachon, "qui ont eu beaucoup d'influence sur ma carrière".
Le temps efface bien des choses et, a dit Roy, "je pense qu'avec les années, les gens à Montréal vont se rappeler beaucoup plus toutes mes années passées là-bas plutôt que mon dernier soir..." Quant à lui, il sera honoré, si un jour on décide de retirer son chandail numéro 33 au Centre Bell.
De même, il souhaite que le public du Colorado garde lui aussi un bon souvenir de lui.
Comme il l'a dit et répété lors du tournoi de la coupe Memorial, Roy a assuré qu'un poste de dirigeant dans la LNH n'est pas une option pour lui présentement.
"Il faudrait une situation idéale pour que je retourne dans la Ligue nationale. J'ai parlé avec certaines organisations, a-t-il avoué, et peut-être qu'un jour ça arrivera, mais pour le moment mon but n'est pas de retourner dans la Ligue nationale mais de travailler avec les Remparts à long terme.
"Je suis excessivement bien dans la situation où je suis. Je suis proche de mes enfants, je ne peux pas demander mieux."
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