Plus ça change
Nashville Predators mercredi, 25 avr. 2012. 00:15 jeudi, 12 déc. 2024. 08:57
Le deuxième tour des séries éliminatoires dans l'Association de l'Ouest opposera quatre franchises qui n'ont jamais remporté la coupe Stanley.
Dans l'Est, les Sénateurs, de l'ère moderne, les Panthers et les Capitals, qui ne l'ont jamais gagné non plus, joueront un match décisif dans leurs confrontations respectives. Force est d'admettre qu'il y a changement de garde au sein des équipes aspirant aux grands honneurs.
Dans l'Ouest, où les prochains affrontements sont déjà connus, une constante saute aux yeux : la qualité du travail des gardiens des équipes encore en vie. Si Quick et Rinne ont été dominants toute la saison, Smith et Elliott ont confirmé leurs solides statistiques de la campagne régulière avec des performances inspirantes face à Chicago et San Jose.
Kings c. Blues
Jonathan Quick a été le roc tout au cours d'une saison où les Kings ont eu de la difficulté à marquer des buts. Il a été égal à lui-même face aux Canucks alors que ses coéquipiers ont réussi à élever leur jeu d'un cran. En demi-finale d'association, malgré la présence des Kopitar, Richards, Carter et Stoll, Quick se retrouvera possiblement dans une situation semblable aux 82 premiers matchs contre des Blues plutôt avares en défensive.
Parlant des Blues, Brian Elliott n'a pas bronché lorsqu'appelé en relève à Jaroslav Halak, blessé, qui avait lui-même très bien amorcé la série face aux Sharks. Les rôles pourraient être inversés éventuellement alors qu'il ne fait aucun doute que l'entraîneur Ken Hitchkock se sent à l'aise avec le gardien qui lui offre les meilleures performances dans le moment présent. Pour l'instant, avec Halak toujours sur la touche, c'est à Elliott que revient la tâche de se montrer tout aussi constant et en contrôle que lors des derniers matchs afin de propulser les Blues au troisième tour.
Predators c. Coyotes
Dans l'autre confrontation, la présence de Pekka Rinne n'est pas une grande surprise. Il est, en compagnie de Weber et Suter, la pierre angulaire d'une équipe bâtie savamment par David Poile qui n'a pas hésité à y aller le tout pour le tout en 2012. Son côté athlétique très développé pour un gardien de sa stature le rend spectaculaire au possible. Son travail acharné avec son entraîneur des gardiens, Mitch Korn, lui permet de ne pas trop se fier sur ses attributs innés. Voilà pourquoi il permet à son équipe de partir favorite pour accéder à la finale de leur association.
Le dernier, et non le moindre, n'aurait probablement même pas fait partie des candidats, il y a un an à peine, au titre de gardien titulaire d'une des huit meilleures équipes de la LNH tant il revient de loin. Dans le cas de Mike Smith, Sean Burke, son entraîneur des gardiens mérite beaucoup de crédit aussi pour avoir calmé et stabilisé un gardien au talent brut qui avait connu des ratés à Tampa et à Dallas. Les Coyotes ont trouvé en Smith un gardien habille au maniement de la rondelle et qui s'impose par sa simple présence dans le demi-cercle.
Les équipes ont beau changer année après année, outre quelques exceptions qui viennent confirmer la règle (ex : Leighton vs. Niemi!!!), un facteur demeure : les hommes masqués reviennent toujours le point central des discussions quand le printemps arrive
Dans l'Est, les Sénateurs, de l'ère moderne, les Panthers et les Capitals, qui ne l'ont jamais gagné non plus, joueront un match décisif dans leurs confrontations respectives. Force est d'admettre qu'il y a changement de garde au sein des équipes aspirant aux grands honneurs.
Dans l'Ouest, où les prochains affrontements sont déjà connus, une constante saute aux yeux : la qualité du travail des gardiens des équipes encore en vie. Si Quick et Rinne ont été dominants toute la saison, Smith et Elliott ont confirmé leurs solides statistiques de la campagne régulière avec des performances inspirantes face à Chicago et San Jose.
Kings c. Blues
Jonathan Quick a été le roc tout au cours d'une saison où les Kings ont eu de la difficulté à marquer des buts. Il a été égal à lui-même face aux Canucks alors que ses coéquipiers ont réussi à élever leur jeu d'un cran. En demi-finale d'association, malgré la présence des Kopitar, Richards, Carter et Stoll, Quick se retrouvera possiblement dans une situation semblable aux 82 premiers matchs contre des Blues plutôt avares en défensive.
Parlant des Blues, Brian Elliott n'a pas bronché lorsqu'appelé en relève à Jaroslav Halak, blessé, qui avait lui-même très bien amorcé la série face aux Sharks. Les rôles pourraient être inversés éventuellement alors qu'il ne fait aucun doute que l'entraîneur Ken Hitchkock se sent à l'aise avec le gardien qui lui offre les meilleures performances dans le moment présent. Pour l'instant, avec Halak toujours sur la touche, c'est à Elliott que revient la tâche de se montrer tout aussi constant et en contrôle que lors des derniers matchs afin de propulser les Blues au troisième tour.
Predators c. Coyotes
Dans l'autre confrontation, la présence de Pekka Rinne n'est pas une grande surprise. Il est, en compagnie de Weber et Suter, la pierre angulaire d'une équipe bâtie savamment par David Poile qui n'a pas hésité à y aller le tout pour le tout en 2012. Son côté athlétique très développé pour un gardien de sa stature le rend spectaculaire au possible. Son travail acharné avec son entraîneur des gardiens, Mitch Korn, lui permet de ne pas trop se fier sur ses attributs innés. Voilà pourquoi il permet à son équipe de partir favorite pour accéder à la finale de leur association.
Le dernier, et non le moindre, n'aurait probablement même pas fait partie des candidats, il y a un an à peine, au titre de gardien titulaire d'une des huit meilleures équipes de la LNH tant il revient de loin. Dans le cas de Mike Smith, Sean Burke, son entraîneur des gardiens mérite beaucoup de crédit aussi pour avoir calmé et stabilisé un gardien au talent brut qui avait connu des ratés à Tampa et à Dallas. Les Coyotes ont trouvé en Smith un gardien habille au maniement de la rondelle et qui s'impose par sa simple présence dans le demi-cercle.
Les équipes ont beau changer année après année, outre quelques exceptions qui viennent confirmer la règle (ex : Leighton vs. Niemi!!!), un facteur demeure : les hommes masqués reviennent toujours le point central des discussions quand le printemps arrive