Retour sur l'an 1 de Pierre Gauthier
Hockey mardi, 8 févr. 2011. 16:44 dimanche, 15 déc. 2024. 13:36
BROSSARD, Qc - Un peu plus, et le premier anniversaire de l'arrivée en poste de Pierre Gauthier, en remplacement de Bob Gainey comme directeur général du Canadien, passait inaperçu, mardi.
C'est que Gauthier et Gainey sont comme les doigts de la main. Le premier était l'adjoint du second, et on a inversé les rôles depuis l'entrée en scène de Gauthier. Ajoutez à cela que les deux hommes sont d'une grande discrétion, et c'est comme si c'est «bonnet blanc, blanc bonnet».
N'empêche, Gauthier a su imprégner sa touche personnelle, comme l'a affirmé l'entraîneur Jacques Martin.
«La philosophie d'organisation n'a pas changé, a-t-il élaboré. Pierre travaillait de façon très étroite avec Bob, et il y a une belle continuité en se sens. Mais chaque individu a une approche différente.»
Martin a rappelé que Gauthier a été impliqué dans les décisions qu'a prises Gainey, incluant celle de son embauche comme entraîneur en 2009. C'est maintenant au tour de Gainey d'agir à titre d'adjoint de Gauthier.
«Bob fait partie du groupe. Son opinion est très respectée de Pierre et de moi», a-t-il souligné.
La plus grande décision de Gauthier a été d'échanger le chouchou du public Jaroslav Halak aux Blues de St. Louis.
«Carey Price est notre homme de confiance», avait-il déclaré, au moment de la transaction, en juin.
Invité à cibler une décision en particulier, Martin a plutôt souligné que Gauthier n'hésite pas à bouger quand la situation l'exige, comme il l'a démontré dernièrement en faisant l'acquisition du défenseur James Wisniewski, des Islanders de New York. L'équipe était dans le besoin à la suite de la perte de Josh Gorges.
«Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous nous parlons à tous les jours ou presque, a repris Martin. Il existe une bonne communication entre nous. Nous centrons tous les efforts afin d'améliorer l'équipe.»
L'entraîneur a dit que la complicité n'est pas différente qu'à l'époque où les deux hommes s'acquittaient des mêmes tâches, il y a 14 ans, chez les Sénateurs d'Ottawa.
«Pierre a évolué au fil des années, comme tout le monde. D'avoir côtoyé Bob Gainey ces dernières années lui a été bénéfique. Il a subi l'influence de Bob autant que moi depuis mon arrivée. Ça nous aide dans notre travail de tous les jours.»
Martin a acquiescé quand on a suggéré que le Tricolore demeurait un peu beaucoup l'équipe de Bob Gainey.
«Ça l'est, a-t-il mentionné. Bob, c'est un maître-leader. Il faisait beaucoup appel aux gens de son entourage, quand il était en poste. Pierre avait son mot à dire dans les décisions qu'il prenait. Les deux travaillaient bien ensemble et ils continuent de le faire.»
C'est que Gauthier et Gainey sont comme les doigts de la main. Le premier était l'adjoint du second, et on a inversé les rôles depuis l'entrée en scène de Gauthier. Ajoutez à cela que les deux hommes sont d'une grande discrétion, et c'est comme si c'est «bonnet blanc, blanc bonnet».
N'empêche, Gauthier a su imprégner sa touche personnelle, comme l'a affirmé l'entraîneur Jacques Martin.
«La philosophie d'organisation n'a pas changé, a-t-il élaboré. Pierre travaillait de façon très étroite avec Bob, et il y a une belle continuité en se sens. Mais chaque individu a une approche différente.»
Martin a rappelé que Gauthier a été impliqué dans les décisions qu'a prises Gainey, incluant celle de son embauche comme entraîneur en 2009. C'est maintenant au tour de Gainey d'agir à titre d'adjoint de Gauthier.
«Bob fait partie du groupe. Son opinion est très respectée de Pierre et de moi», a-t-il souligné.
La plus grande décision de Gauthier a été d'échanger le chouchou du public Jaroslav Halak aux Blues de St. Louis.
«Carey Price est notre homme de confiance», avait-il déclaré, au moment de la transaction, en juin.
Invité à cibler une décision en particulier, Martin a plutôt souligné que Gauthier n'hésite pas à bouger quand la situation l'exige, comme il l'a démontré dernièrement en faisant l'acquisition du défenseur James Wisniewski, des Islanders de New York. L'équipe était dans le besoin à la suite de la perte de Josh Gorges.
«Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous nous parlons à tous les jours ou presque, a repris Martin. Il existe une bonne communication entre nous. Nous centrons tous les efforts afin d'améliorer l'équipe.»
L'entraîneur a dit que la complicité n'est pas différente qu'à l'époque où les deux hommes s'acquittaient des mêmes tâches, il y a 14 ans, chez les Sénateurs d'Ottawa.
«Pierre a évolué au fil des années, comme tout le monde. D'avoir côtoyé Bob Gainey ces dernières années lui a été bénéfique. Il a subi l'influence de Bob autant que moi depuis mon arrivée. Ça nous aide dans notre travail de tous les jours.»
Martin a acquiescé quand on a suggéré que le Tricolore demeurait un peu beaucoup l'équipe de Bob Gainey.
«Ça l'est, a-t-il mentionné. Bob, c'est un maître-leader. Il faisait beaucoup appel aux gens de son entourage, quand il était en poste. Pierre avait son mot à dire dans les décisions qu'il prenait. Les deux travaillaient bien ensemble et ils continuent de le faire.»