Robitaille veut encore jouer
Hockey mardi, 17 mai 2005. 19:28 dimanche, 15 déc. 2024. 16:26
(RDS) - Si plusieurs hockeyeurs de la LNH ont joué avec différentes équipes européennes pendant le lock-out, certains ont préféré garder la forme au gymnase et en patinant avec des coéquipiers. C'est le cas de Luc Robitaille, des Kings de Los Angeles.
Même s'il n'a pas endossé d'uniforme au cours de la saison, RobItaille n'en a pas moins été très occupé. Il a visité le gymnase régulièrement et a travaillé activement dans le domaine immobilier. Il a aussi passé beaucoup de temps avec une équipe de hockey junior Tier 1 de la USHL, les Lancers d'Omaha, dont il est partenaire financier. C'est d'ailleurs avec eux qu'il aimerait relancer le hockey junior dans la région de Montréal.
"C'est un groupe qui est très fort financièrement. On n'arriverait pas là en ayant besoin de couper partout. On regarde la chose avec beaucoup de sérieux. Nous ne sommes pas prêts aujourd'hui, mais on prend ça très au sérieux. Pour moi, ce serait quelque chose de spécial", a souligné Robitaille.
Lorsqu'on lui parle du lock-out, ça le met en rogne. Selon lui, les deux parties ont perdu beaucoup de temps dans les négociations.
On aurait dû concéder les 24% au mois de février ou encore au mois de janvier. Je crois que ça aurait fait avancer les choses plus rapidement. Quand Bettman a reçu cette concession, il a dit merci beaucoup et on va attendre un autre deux mois", a déclaré le célèbre numéro 20.
En éternel optimiste, Robitaille ne croit pas que le hockey en sortira perdant aux États-Unis. Toutefois, Il y a, selon lui, beaucoup de travail à faire pour rehausser la qualité du jeu.
"Je pense qu'on est en mesure de sauver le sport. Le hockey était, en bon québécois, plate en maudit au cours des cinq ou six dernières années. C'est vraiment sans intérêt de regarder des parties. Elles se terminent toujours 2 à 1. Tout le monde joue la trappe. Si tout le monde travaille ensemble, on pourrait améliorer grandement le hockey."
Robitaille n'est pas en désaccord avec ceux qui visent les gardiens de buts dans les solutions apportées pour améliorer le jeu.
"J'ai joué un match pour une oeuvre caritative récemment avec Claude Lemieux. C'est un petit comique et il avait ajouté trois pouces de chaque côté des poteaux et trois pouces en hauteur. En regardant le filet de la patinoire, on n'arrivait pas à voir la différence. Mais, on la notait lorsque le gardien était devant son filet. Sean Burke était là et il se fâchait en disant que c'était stupide. Je lui ai dit qu'en 1988, il était de la même grandeur et de la même grosseur, mais c'est de ça qu'il avait l'air devant son filet."
Si le lock-out prend fin, les amateurs de hockey vont avoir la chance d'applaudir à nouveau les exploits de Robitaille car il aimerait bien jouer une dernière fois contre le Canadien. Il serait triste que la carrière du sympathique et plus prolifique ailier gauche de l'histoire de la LNH prenne fin en raison d'un bête lock-out.
Même s'il n'a pas endossé d'uniforme au cours de la saison, RobItaille n'en a pas moins été très occupé. Il a visité le gymnase régulièrement et a travaillé activement dans le domaine immobilier. Il a aussi passé beaucoup de temps avec une équipe de hockey junior Tier 1 de la USHL, les Lancers d'Omaha, dont il est partenaire financier. C'est d'ailleurs avec eux qu'il aimerait relancer le hockey junior dans la région de Montréal.
"C'est un groupe qui est très fort financièrement. On n'arriverait pas là en ayant besoin de couper partout. On regarde la chose avec beaucoup de sérieux. Nous ne sommes pas prêts aujourd'hui, mais on prend ça très au sérieux. Pour moi, ce serait quelque chose de spécial", a souligné Robitaille.
Lorsqu'on lui parle du lock-out, ça le met en rogne. Selon lui, les deux parties ont perdu beaucoup de temps dans les négociations.
On aurait dû concéder les 24% au mois de février ou encore au mois de janvier. Je crois que ça aurait fait avancer les choses plus rapidement. Quand Bettman a reçu cette concession, il a dit merci beaucoup et on va attendre un autre deux mois", a déclaré le célèbre numéro 20.
En éternel optimiste, Robitaille ne croit pas que le hockey en sortira perdant aux États-Unis. Toutefois, Il y a, selon lui, beaucoup de travail à faire pour rehausser la qualité du jeu.
"Je pense qu'on est en mesure de sauver le sport. Le hockey était, en bon québécois, plate en maudit au cours des cinq ou six dernières années. C'est vraiment sans intérêt de regarder des parties. Elles se terminent toujours 2 à 1. Tout le monde joue la trappe. Si tout le monde travaille ensemble, on pourrait améliorer grandement le hockey."
Robitaille n'est pas en désaccord avec ceux qui visent les gardiens de buts dans les solutions apportées pour améliorer le jeu.
"J'ai joué un match pour une oeuvre caritative récemment avec Claude Lemieux. C'est un petit comique et il avait ajouté trois pouces de chaque côté des poteaux et trois pouces en hauteur. En regardant le filet de la patinoire, on n'arrivait pas à voir la différence. Mais, on la notait lorsque le gardien était devant son filet. Sean Burke était là et il se fâchait en disant que c'était stupide. Je lui ai dit qu'en 1988, il était de la même grandeur et de la même grosseur, mais c'est de ça qu'il avait l'air devant son filet."
Si le lock-out prend fin, les amateurs de hockey vont avoir la chance d'applaudir à nouveau les exploits de Robitaille car il aimerait bien jouer une dernière fois contre le Canadien. Il serait triste que la carrière du sympathique et plus prolifique ailier gauche de l'histoire de la LNH prenne fin en raison d'un bête lock-out.