Roy refuse de commenter et Brisebois est invisible
Hockey mardi, 13 févr. 2001. 23:44 vendredi, 13 déc. 2024. 19:56
MONTRÉAL (PC) Deux joueurs ont fait la nouvelle chacun à sa façon lors du seul affrontement entre le Canadien et l'Avalanche cette saison, Patrick Roy par sa virulente sortie contre un journaliste montréalais en matinée et Patrice Brisebois, coupable lors des deux derniers buts de l'Avalanche, victorieux 3-2 en prolongation.
Roy, qui a porté sa fiche à 7-1-1 contre son ancienne équipe, a carrément refusé de parler des événements qui n'étaient pas reliés au match, tandis que Brisebois, habituellement le plus coopératif des joueurs du Canadien, avait disparu.
Restait Michel Therrien, venu rencontrer les médias comme d'habitude, et qui a bien aimé le match, malgré la défaite, qui a néanmoions procuré un point à son équipe.
"Ce fut un excellent match contre une formation qui a des chances de gagner la coupe Stanley", a noté l'entraîneur en reprenant à sa façon les propos de José Théodore qui disait que lorsque le Canadien s'applique à respecter son système de jeu, il peut tenir tête à n'importe quel adversaire.
"Les gars ont travaillé d'une manière exemplaire. Il y avait une ambiance extrordinaire dans le Centre Molson et beaucoup d'émotion chez les deux équipes. Donc tout un spectacle", a résumé l'entraîneur, qui a semblé exagérer un peu.
"Chaque espace était difficile à aller chercher. C'était un match type des séries éliminatoires et on était bien préparé. On a ramassé un point mais on a joué pour en mériter deux."
Therrien n'a pas voulu critiquer Brisebois.
"À quatre contre quatre, ça donne du jeu ouvert. C'est excitant", s'est-il contenté de répondre en contournant la question à savoir si on pouvait blâmer le défenseur pour le but victorieux de Joe Sakic, après qu'il eut perdu la rondelle devant ce dernier à la ligne bleue de l'Avalanche.
Appelé ensuite à commenter le jeu de son défenseur, qui s'est laissé contourner par Milan Hejduk et n'a pu empêcher ce dernier de prendre son retour pour marquer le deuxième but de l'Avalanche, Therrien a répondu qu'il préférait se rappeler que son défenseur avait fait le jeu qui a mené au but égalisateur de Trevor Linden... marqué par Raymond Bourque!
C'était le 300e dans la LNH de Linden, qui était peu excité par cette statistique. "C'est encore très loin des meilleurs", a-t-il dit en résumé.
Therrien a bien sûr noté la présence du nouveau propriétaire George Gillett derrière le banc des joueurs.
"Il était très excité, il encourageait les joueurs, c'était beau de voir ça."
Roy, qui a porté sa fiche à 7-1-1 contre son ancienne équipe, a carrément refusé de parler des événements qui n'étaient pas reliés au match, tandis que Brisebois, habituellement le plus coopératif des joueurs du Canadien, avait disparu.
Restait Michel Therrien, venu rencontrer les médias comme d'habitude, et qui a bien aimé le match, malgré la défaite, qui a néanmoions procuré un point à son équipe.
"Ce fut un excellent match contre une formation qui a des chances de gagner la coupe Stanley", a noté l'entraîneur en reprenant à sa façon les propos de José Théodore qui disait que lorsque le Canadien s'applique à respecter son système de jeu, il peut tenir tête à n'importe quel adversaire.
"Les gars ont travaillé d'une manière exemplaire. Il y avait une ambiance extrordinaire dans le Centre Molson et beaucoup d'émotion chez les deux équipes. Donc tout un spectacle", a résumé l'entraîneur, qui a semblé exagérer un peu.
"Chaque espace était difficile à aller chercher. C'était un match type des séries éliminatoires et on était bien préparé. On a ramassé un point mais on a joué pour en mériter deux."
Therrien n'a pas voulu critiquer Brisebois.
"À quatre contre quatre, ça donne du jeu ouvert. C'est excitant", s'est-il contenté de répondre en contournant la question à savoir si on pouvait blâmer le défenseur pour le but victorieux de Joe Sakic, après qu'il eut perdu la rondelle devant ce dernier à la ligne bleue de l'Avalanche.
Appelé ensuite à commenter le jeu de son défenseur, qui s'est laissé contourner par Milan Hejduk et n'a pu empêcher ce dernier de prendre son retour pour marquer le deuxième but de l'Avalanche, Therrien a répondu qu'il préférait se rappeler que son défenseur avait fait le jeu qui a mené au but égalisateur de Trevor Linden... marqué par Raymond Bourque!
C'était le 300e dans la LNH de Linden, qui était peu excité par cette statistique. "C'est encore très loin des meilleurs", a-t-il dit en résumé.
Therrien a bien sûr noté la présence du nouveau propriétaire George Gillett derrière le banc des joueurs.
"Il était très excité, il encourageait les joueurs, c'était beau de voir ça."