Savard est toujours dans le portrait
Hockey mercredi, 8 avr. 2009. 11:37 mercredi, 11 déc. 2024. 13:22
Depuis quelques jours, la vente possible du Canadien de Montréal alimente les discussions. Même s'il ne figure pas sur la liste des acheteurs éventuels du groupe BMO, RDS maintient que Serge Savard demeure un acheteur potentiel du Canadien de Montréal. Et d'autre part, un autre joueur important vient de manifester son intention.
D'abord, ceux qui croient que Savard n'achètera pas le Canadien parce qu'il ne fait pas partie de la liste des acheteurs potentiels de la Banque de Montréal se trompent. Le groupe Thibault-Messier-Savard n'a pas besoin d'être sur cette liste, puisque George Gillett sait très bien que l'ancien directeur général du Canadien est prêt à lui faire une offre.
Ce groupe est maintenant secondé par André Bérard, un homme d'affaires très influent au Québec et au Canada.
Savard est d'ailleurs un home populaire dans le milieu des affaires et du hockey. Les visiteurs du RDS.ca ont d'ailleurs répondu dans l'affirmative dans une proportion de 86% lorsqu'on leur a demandé si Savard serait le propriétaire idéal pour le Canadien.
Mais Savard n'est pas seul. Québécor révise ses positions et devrait envoyer une lettre d'intention d'achat cette semaine, munie toutefois d'une clause importante. L'empire de Pierre-Karl Péladeau tentera de savoir s'il est possible de sortir de l'entente qui lie la compagnie Bell à l'amphithéâtre qui porte son nom pour encore une bonne douzaine d'années.
Marcel Aubut, qui est avocat pour M. Gillet, a aussi confirmé à RDS que si un jour le Canadien était à vendre, il formera un groupe pour tenter d'acheter le Tricolore afin de s'assurer que l'équipe appartienne à des Québécois.
C'est un secret de polichinelle, mais si George Gillett est en mesure de vendre son équipe de soccer à Liverpool, il gardera le Canadien dans sa famille.
Du côté de la Ligue nationale, on dit qu'on est en communication avec le proprio du Tricolore, mais qu'on ne fera aucun commentaire avec que celui ne dévoile ses intentions.
Une bonne affaire
Le dirigeant du département de sciences économiques de l'Université de Montréal, Michel Poitevin, estime que le Club de hockey Canadien de Montréal représente une suffisamment bonne affaire pour que la vente de la célèbre équipe de la Ligue nationale de hockey provoque une guerre d'enchères parmi les éventuels acheteurs, même en cette période de récession.
L'actionnaire majoritaire du Canadien, George Gillett, a demandé à des sociétés financières au Canada et à l'étranger de le conseiller quant aux façons de tirer profit au maximum de ses différentes propriétés, parmi lesquelles figure également le Centre Bell, où le club dispute ses matchs locaux.
La direction du Canadien demeure muette quant à ses intentions, mais des médias ont rapporté que 10 grandes entreprises ou individus ont signé des ententes de confidentialité avec BMO Marchés des capitaux afin de pouvoir jeter un coup d'oeil sur les livres comptables de l'équipe.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie, avec des informations de la Presse Canadienne.
D'abord, ceux qui croient que Savard n'achètera pas le Canadien parce qu'il ne fait pas partie de la liste des acheteurs potentiels de la Banque de Montréal se trompent. Le groupe Thibault-Messier-Savard n'a pas besoin d'être sur cette liste, puisque George Gillett sait très bien que l'ancien directeur général du Canadien est prêt à lui faire une offre.
Ce groupe est maintenant secondé par André Bérard, un homme d'affaires très influent au Québec et au Canada.
Savard est d'ailleurs un home populaire dans le milieu des affaires et du hockey. Les visiteurs du RDS.ca ont d'ailleurs répondu dans l'affirmative dans une proportion de 86% lorsqu'on leur a demandé si Savard serait le propriétaire idéal pour le Canadien.
Mais Savard n'est pas seul. Québécor révise ses positions et devrait envoyer une lettre d'intention d'achat cette semaine, munie toutefois d'une clause importante. L'empire de Pierre-Karl Péladeau tentera de savoir s'il est possible de sortir de l'entente qui lie la compagnie Bell à l'amphithéâtre qui porte son nom pour encore une bonne douzaine d'années.
Marcel Aubut, qui est avocat pour M. Gillet, a aussi confirmé à RDS que si un jour le Canadien était à vendre, il formera un groupe pour tenter d'acheter le Tricolore afin de s'assurer que l'équipe appartienne à des Québécois.
C'est un secret de polichinelle, mais si George Gillett est en mesure de vendre son équipe de soccer à Liverpool, il gardera le Canadien dans sa famille.
Du côté de la Ligue nationale, on dit qu'on est en communication avec le proprio du Tricolore, mais qu'on ne fera aucun commentaire avec que celui ne dévoile ses intentions.
Une bonne affaire
Le dirigeant du département de sciences économiques de l'Université de Montréal, Michel Poitevin, estime que le Club de hockey Canadien de Montréal représente une suffisamment bonne affaire pour que la vente de la célèbre équipe de la Ligue nationale de hockey provoque une guerre d'enchères parmi les éventuels acheteurs, même en cette période de récession.
L'actionnaire majoritaire du Canadien, George Gillett, a demandé à des sociétés financières au Canada et à l'étranger de le conseiller quant aux façons de tirer profit au maximum de ses différentes propriétés, parmi lesquelles figure également le Centre Bell, où le club dispute ses matchs locaux.
La direction du Canadien demeure muette quant à ses intentions, mais des médias ont rapporté que 10 grandes entreprises ou individus ont signé des ententes de confidentialité avec BMO Marchés des capitaux afin de pouvoir jeter un coup d'oeil sur les livres comptables de l'équipe.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie, avec des informations de la Presse Canadienne.