Souray n'a pas de pitié pour Théo
Colorado Avalanche samedi, 21 oct. 2006. 23:50 dimanche, 15 déc. 2024. 00:57
MONTRÉAL (PC) - Sheldon Souray n'affichait pas de sympathie à l'endroit de son ancien coéquipier, José Théodore, après qu'il eut accordé huit buts au Canadien.
«Pourquoi en aurais-je?, a répondu le défenseur à la question d'un journaliste. Nous, on voulait les deux points au classement et éviter de subir deux défaites de suite.»
À côté de lui, Craig Rivet en a exprimé quelque peu, de la sympathie.
«José est dans le camp adverse. Il est un excellent gardien et une très bonne personne. Ca fait mal un peu de le voir être malmené de la sorte.»
Cela dit, le Canadien s'est assuré d'un quatrième gain cette saison grâce à l'efficacité de ses unités spécialisées. Il a réussi quatre buts en huit occasions en supériorité numérique, tout en n'en cédant qu'un à l'Avalanche qui a pu déployer sept attaques massives.
Les tirs foudroyants de Souray ont replacé le Tricolore dans le coup, à compter du début de la deuxième période.
«C'est la recette de nos succès jusqu'à maintenant, a relevé l'entraîneur Guy Carbonneau. On n'aurait pas pu espérer combler un retard de 3-0 ou marquer huit buts en jouant à cinq contre cinq.»
Carbonneau a beau afficher son désaccord face à certaines décisions des arbitres, il n'en demeure pas moins que c'est ce qui fait la beauté de la nouvelle LNH, comme il l'a souligné.
«Aucune avance n'est insurmontable. J'étais fâché après le troisième but de l'Avalanche, a-t-il avoué. Je suis un gars émotif et je déteste perdre. Je jugeais que l'effort n'y était pas et qu'on était en voie de se battre nous-mêmes. On avait fait cadeau de trois buts à nos rivaux. Je l'ai laissé savoir aux gars. Je suis content de la façon dont ils ont réagi.»
Le gardien David Aebischer a également apprécié le redressement de situation.
«C'était réellement spécial d'affronter d'anciens coéquipiers comme Joe Sakic avec lesquels j'ai évolué pendant plusieurs saisons, a-t-il dit. Je n'étais pas nerveux samedi matin, mais ça m'a frappé au cours de la période de réchauffement d'avant-match.
«Les gars ont réussi de gros buts à des moments cruciaux, a-t-il enchaîné. Après le septième but, j'ai commencé à croire en nos chances de l'emporter. On ne sait jamais, mais j'étais confiant qu'on n'échappe pas cette avance.»
«Pourquoi en aurais-je?, a répondu le défenseur à la question d'un journaliste. Nous, on voulait les deux points au classement et éviter de subir deux défaites de suite.»
À côté de lui, Craig Rivet en a exprimé quelque peu, de la sympathie.
«José est dans le camp adverse. Il est un excellent gardien et une très bonne personne. Ca fait mal un peu de le voir être malmené de la sorte.»
Cela dit, le Canadien s'est assuré d'un quatrième gain cette saison grâce à l'efficacité de ses unités spécialisées. Il a réussi quatre buts en huit occasions en supériorité numérique, tout en n'en cédant qu'un à l'Avalanche qui a pu déployer sept attaques massives.
Les tirs foudroyants de Souray ont replacé le Tricolore dans le coup, à compter du début de la deuxième période.
«C'est la recette de nos succès jusqu'à maintenant, a relevé l'entraîneur Guy Carbonneau. On n'aurait pas pu espérer combler un retard de 3-0 ou marquer huit buts en jouant à cinq contre cinq.»
Carbonneau a beau afficher son désaccord face à certaines décisions des arbitres, il n'en demeure pas moins que c'est ce qui fait la beauté de la nouvelle LNH, comme il l'a souligné.
«Aucune avance n'est insurmontable. J'étais fâché après le troisième but de l'Avalanche, a-t-il avoué. Je suis un gars émotif et je déteste perdre. Je jugeais que l'effort n'y était pas et qu'on était en voie de se battre nous-mêmes. On avait fait cadeau de trois buts à nos rivaux. Je l'ai laissé savoir aux gars. Je suis content de la façon dont ils ont réagi.»
Le gardien David Aebischer a également apprécié le redressement de situation.
«C'était réellement spécial d'affronter d'anciens coéquipiers comme Joe Sakic avec lesquels j'ai évolué pendant plusieurs saisons, a-t-il dit. Je n'étais pas nerveux samedi matin, mais ça m'a frappé au cours de la période de réchauffement d'avant-match.
«Les gars ont réussi de gros buts à des moments cruciaux, a-t-il enchaîné. Après le septième but, j'ai commencé à croire en nos chances de l'emporter. On ne sait jamais, mais j'étais confiant qu'on n'échappe pas cette avance.»