St-Louis et Lecavalier ont une influence positive
Hockey samedi, 4 sept. 2004. 21:25 samedi, 14 déc. 2024. 19:48
TORONTO (PC) - La Coupe du monde aurait pu être une expérience intimidante pour Martin St-Louis, Brad Richards et Vincent Lecavalier s'ils n'avaient pas connu une expérience fort enrichissante il y a moins de trois mois.
Les trois joueurs du Lightning de Tampa Bay ont appris leurs leçons à la suite de leur triomphe en finale de la coupe Stanley, en juin dernier, si bien qu'ils sont présentement des membres influents au sein d'Equipe Canada.
Les trois en sont pourtant tous à leur première présence à un événement international de premier niveau avec le Canada, qu'il s'agisse de la Coupe du monde ou des Jeux olympiques.
"Chaque fois que tu as la chance de gagner la coupe Stanley, tu gagnes en maturité, a déclaré St-Louis, samedi, quelques heures avant le match de l'équipe canadienne face à la Russie. Aucun doute que ça nous aide, pas seulement pour ce tournoi, mais pour le reste de nos carrières.
"Tu apprends ce qu'il faut faire pour gagner. C'est surtout ça."
La coupe Stanley était un boni pour les sélectionneurs d'Equipe Canada, qui ont le sentiment que le tout a ajouté à la valeur de St-Louis et Richards, qui avaient été choisis avant même la conquête du championnat par le Lightning.
La performance de Lecavalier dans les séries est cependant ce qui a incité les dirigeants de l'équipe à le choisir à titre de remplaçant à Steve Yzerman.
Lecavalier est en mission depuis le premier jour du camp d'entraînement, qui s'est amorcé le 20 août. Non content d'obtenir un poste au sein de la formation partante, il a si bien fait qu'il s'est retrouvé au sein du jeu de puissance, en compagnie de Mario Lemieux et Jarome Iginla, en plus de pivoter un trio complété par Dany Heatley et Ryan Smyth.
"C'est le même genre de hockey au point de vue de l'intensité, a affirmé Lecavalier. Surtout après deux ou trois mois sans patiner, ça m'a aidé de retrouver la même attitude qu'on a quand on dispute les séries."
Le directeur exécutif de l'équipe canadienne Wayne Gretzky avait reconnu la semaine dernière que Lecavalier n'avait pas été choisi au départ parce qu'on s'interrogeait au sujet de ses capacités en défensive. Le grand attaquant a toutefois effacé les doutes au cours des séries.
"Évidemment, il faut que je produise offensivement, mais je sais maintenant que c'est aussi important pour l'équipe de bien jouer défensivement, a déclaré le Québécois de 24 ans. J'ai travaillé sur ma défensive depuis mes débuts dans la ligue et je m'améliore d'année en année."
St-Louis a connu une saison éclatante en 2003-2004, remportant le championnat des marqueurs, le trophée Hart remis au joueur le plus utile à son équipe et la coupe Stanley.
Il a gardé le rythme depuis le début de la Coupe du monde, récoltant un but et une aide dans chacune des deux premières victoires du Canada.
"Les choses se sont bien déroulées pour moi, a dit St-Louis. Je cogne sur du bois, j'essaie de ne pas trop y penser et j'essaie de profiter des bons moments qui passent."
Les trois joueurs du Lightning de Tampa Bay ont appris leurs leçons à la suite de leur triomphe en finale de la coupe Stanley, en juin dernier, si bien qu'ils sont présentement des membres influents au sein d'Equipe Canada.
Les trois en sont pourtant tous à leur première présence à un événement international de premier niveau avec le Canada, qu'il s'agisse de la Coupe du monde ou des Jeux olympiques.
"Chaque fois que tu as la chance de gagner la coupe Stanley, tu gagnes en maturité, a déclaré St-Louis, samedi, quelques heures avant le match de l'équipe canadienne face à la Russie. Aucun doute que ça nous aide, pas seulement pour ce tournoi, mais pour le reste de nos carrières.
"Tu apprends ce qu'il faut faire pour gagner. C'est surtout ça."
La coupe Stanley était un boni pour les sélectionneurs d'Equipe Canada, qui ont le sentiment que le tout a ajouté à la valeur de St-Louis et Richards, qui avaient été choisis avant même la conquête du championnat par le Lightning.
La performance de Lecavalier dans les séries est cependant ce qui a incité les dirigeants de l'équipe à le choisir à titre de remplaçant à Steve Yzerman.
Lecavalier est en mission depuis le premier jour du camp d'entraînement, qui s'est amorcé le 20 août. Non content d'obtenir un poste au sein de la formation partante, il a si bien fait qu'il s'est retrouvé au sein du jeu de puissance, en compagnie de Mario Lemieux et Jarome Iginla, en plus de pivoter un trio complété par Dany Heatley et Ryan Smyth.
"C'est le même genre de hockey au point de vue de l'intensité, a affirmé Lecavalier. Surtout après deux ou trois mois sans patiner, ça m'a aidé de retrouver la même attitude qu'on a quand on dispute les séries."
Le directeur exécutif de l'équipe canadienne Wayne Gretzky avait reconnu la semaine dernière que Lecavalier n'avait pas été choisi au départ parce qu'on s'interrogeait au sujet de ses capacités en défensive. Le grand attaquant a toutefois effacé les doutes au cours des séries.
"Évidemment, il faut que je produise offensivement, mais je sais maintenant que c'est aussi important pour l'équipe de bien jouer défensivement, a déclaré le Québécois de 24 ans. J'ai travaillé sur ma défensive depuis mes débuts dans la ligue et je m'améliore d'année en année."
St-Louis a connu une saison éclatante en 2003-2004, remportant le championnat des marqueurs, le trophée Hart remis au joueur le plus utile à son équipe et la coupe Stanley.
Il a gardé le rythme depuis le début de la Coupe du monde, récoltant un but et une aide dans chacune des deux premières victoires du Canada.
"Les choses se sont bien déroulées pour moi, a dit St-Louis. Je cogne sur du bois, j'essaie de ne pas trop y penser et j'essaie de profiter des bons moments qui passent."