Tretiak a l'appui de Poutine et Harper
Hockey mercredi, 28 mars 2007. 12:09 samedi, 14 déc. 2024. 12:28
OTTAWA - Vladislav Tretiak affirme avoir obtenu le support tant du président russe, Vladimir Poutine, que du premier ministre canadien, Stephen Harper, pour l'organisation d'une série de matchs de hockey opposant les meilleurs joueurs du Canada et de la Russie, 35 ans après la tenue de l'inoubliable Série du siècle entre le Canada et l'Union soviétique.
Hockey Canada aurait également manifesté de l'enthousiasme à l'égard du projet de Tretiak, qui gardait le filet de l'équipe de l'URSS en 1972. Cependant, une mésentente entre la Ligue nationale et la Fédération de hockey sur glace de Russie bloquerait la conclusion d'un accord. En fait la présentation d'un tel tournoi en août apparaît pour le moins irréaliste.
"En bout de ligne, c'est quelque chose qui concerne la LNH, l'Association des joueurs et les différents organismes de hockey, a déclaré le premier ministre canadien. Mais j'encourage certes tout le monde à considérer ce projet. Il y a peut-être même de l'argent à faire."
Tretiak avait fait état de son projet cet hiver, à Montréal, en marge de la cérémonie du retrait du dossard 29 de son vis-à-vis canadien de 1972, Ken Dryden.
L'éventuelle nouvelle série entre les deux équipes nationales présenterait, comme il y a 35 ans, un total de huit matchs: quatre au Canada, et quatre en Russie.
En 1972, le Canada avait gagné la série in extremis, à Moscou, grâce à une victoire en toute fin de huitième match.
Interrogé sur l'endossement du projet par la LNH, Tretyak s'est lancé dans une tirade sur l'impasse qui règne entre la ligue nord-américain et la fédération russe, dont il est le président, concernant la reconnaissance des contrats des joueurs.
Tretiak en veut clairement aux équipes de la LNH qui, selon lui, braconnent le jeune talent de son pays sans verser de compensations aux clubs avec lesquels les joueurs sont pourtant liés par contrat.
Tretiak a ajouté que cette dispute devra être réglée si on veut présenter cette nouvelle Série du siècle et il mise sur la passion des Canadiens pour le hockey pour y parvenir.
"J'espère que les amateurs canadiens vont nous aider à conclure une bonne entente afin qu'on puisse affronter Equipe Canada cette année", a-t-il dit dans son anglais hésitant.
Hockey Canada aurait également manifesté de l'enthousiasme à l'égard du projet de Tretiak, qui gardait le filet de l'équipe de l'URSS en 1972. Cependant, une mésentente entre la Ligue nationale et la Fédération de hockey sur glace de Russie bloquerait la conclusion d'un accord. En fait la présentation d'un tel tournoi en août apparaît pour le moins irréaliste.
"En bout de ligne, c'est quelque chose qui concerne la LNH, l'Association des joueurs et les différents organismes de hockey, a déclaré le premier ministre canadien. Mais j'encourage certes tout le monde à considérer ce projet. Il y a peut-être même de l'argent à faire."
Tretiak avait fait état de son projet cet hiver, à Montréal, en marge de la cérémonie du retrait du dossard 29 de son vis-à-vis canadien de 1972, Ken Dryden.
L'éventuelle nouvelle série entre les deux équipes nationales présenterait, comme il y a 35 ans, un total de huit matchs: quatre au Canada, et quatre en Russie.
En 1972, le Canada avait gagné la série in extremis, à Moscou, grâce à une victoire en toute fin de huitième match.
Interrogé sur l'endossement du projet par la LNH, Tretyak s'est lancé dans une tirade sur l'impasse qui règne entre la ligue nord-américain et la fédération russe, dont il est le président, concernant la reconnaissance des contrats des joueurs.
Tretiak en veut clairement aux équipes de la LNH qui, selon lui, braconnent le jeune talent de son pays sans verser de compensations aux clubs avec lesquels les joueurs sont pourtant liés par contrat.
Tretiak a ajouté que cette dispute devra être réglée si on veut présenter cette nouvelle Série du siècle et il mise sur la passion des Canadiens pour le hockey pour y parvenir.
"J'espère que les amateurs canadiens vont nous aider à conclure une bonne entente afin qu'on puisse affronter Equipe Canada cette année", a-t-il dit dans son anglais hésitant.