Wickenheiser veut voir des progrès
Hockey jeudi, 26 août 2010. 10:16 samedi, 14 déc. 2024. 22:29
TORONTO - La vedette du hockey féminin Hayley Wickenheiser dit qu'elle saura si son sport a progressé d'après le genre de questions qu'on lui posera aux Jeux de 2014 à Sotchi, en Russie.
La Canadienne était capitaine de l'équipe couronnée d'or aux Jeux de Vancouver, plus tôt cette année. Après une courte entrevue à la télé au terme du triomphe, elle a rencontré un groupe de journalistes, et l'orientation des questions ne lui était que trop familière.
"Ça tournait toujours autour de 'croyez-vous que le hockey féminin a vraiment sa place aux Jeux olympiques?", a dit Wickenheiser.
L'attaquante d'expérience a dit avoir trouvé "très décevant" d'entendre ce genre de questions si rapidement après la récolte de l'or. Elle espère que des événements comme le sommet mondial du hockey aideront à donner une meilleure visibilité au hockey féminin, pour que l'on se concentre ensuite à rehausser le niveau global de compétition.
L'allocution de Wickenheiser était la pièce de résistance d'une séance consacrée au hockey féminin. Elle veut voir son sport profiter du succès olympique à Vancouver, et s'épanouir lors des quatre prochaines années.
Les Jeux de 2014 seront peut-être le dernier tournoi olympique de la carrière de l'athlète de 32 ans, qui fait partie de l'équipe canadienne depuis 17 ans.
"Je ne sais pas si je vais continuer de jouer ou me retirer (après Sotchi), a mentionné Wickenheiser. C'est trop loin dans le futur. Je peux quand même vous dire que je vais continuer à jouer d'ici là."
Lors de la séance, on a aussi entendu l'entraîneuse de l'équipe canadienne, Melody Davidson, son vis-à-vis de l'équipe américaine, Mark Johnson, et Arto Sieppi, le numéro un du hockey féminin finlandais. On a abordé comment augmenter le nombre de joueuses au niveau mondial, la question du rôle des fédérations nationales, ainsi que le meilleur moyen de rehausser le niveau de jeu des ligues plus faibles.
La Canadienne était capitaine de l'équipe couronnée d'or aux Jeux de Vancouver, plus tôt cette année. Après une courte entrevue à la télé au terme du triomphe, elle a rencontré un groupe de journalistes, et l'orientation des questions ne lui était que trop familière.
"Ça tournait toujours autour de 'croyez-vous que le hockey féminin a vraiment sa place aux Jeux olympiques?", a dit Wickenheiser.
L'attaquante d'expérience a dit avoir trouvé "très décevant" d'entendre ce genre de questions si rapidement après la récolte de l'or. Elle espère que des événements comme le sommet mondial du hockey aideront à donner une meilleure visibilité au hockey féminin, pour que l'on se concentre ensuite à rehausser le niveau global de compétition.
L'allocution de Wickenheiser était la pièce de résistance d'une séance consacrée au hockey féminin. Elle veut voir son sport profiter du succès olympique à Vancouver, et s'épanouir lors des quatre prochaines années.
Les Jeux de 2014 seront peut-être le dernier tournoi olympique de la carrière de l'athlète de 32 ans, qui fait partie de l'équipe canadienne depuis 17 ans.
"Je ne sais pas si je vais continuer de jouer ou me retirer (après Sotchi), a mentionné Wickenheiser. C'est trop loin dans le futur. Je peux quand même vous dire que je vais continuer à jouer d'ici là."
Lors de la séance, on a aussi entendu l'entraîneuse de l'équipe canadienne, Melody Davidson, son vis-à-vis de l'équipe américaine, Mark Johnson, et Arto Sieppi, le numéro un du hockey féminin finlandais. On a abordé comment augmenter le nombre de joueuses au niveau mondial, la question du rôle des fédérations nationales, ainsi que le meilleur moyen de rehausser le niveau de jeu des ligues plus faibles.