Windsor pourrait réécrire l'histoire
Hockey samedi, 23 mai 2009. 14:53 jeudi, 12 déc. 2024. 11:03
RIMOUSKI - Les Spitfires de Windsor pourraient réaliser une première à l'occasion de la finale de la coupe Memorial, dimanche, au Colisée de Rimouski. Jamais une équipe ayant disputé le match de bris d'égalité n'a remporté le trophée remis aux champions du hockey junior majeur canadien, mais les hommes de Bob Boughner tenteront de réaliser le coup aux dépens des Rockets de Kelowna.
"On en a parlé avec les joueurs ces derniers jours, a indiqué Boughner, samedi. On a vécu la même chose dans la Ligue de l'Ontario cette année, alors qu'on a établi quelques records et premières. C'est la coupe Memorial qui est l'enjeu principal à nos yeux, et si on devait établir une première en même temps, ce serait un boni, sans plus.
"C'est à la coupe Memorial qu'on pense. C'est là le rêve que les jeunes ont eu toute leur vie."
S'il est si difficile de remporter le tournoi après avoir disputé le bris d'égalité, c'est souvent à cause d'une question de repos. L'équipe qui a atteint la finale par la grande porte est toujours reposée, ayant eu droit à un congé de deux ou trois jours. Cette année, les Rockets disputeront la finale après quatre jours sans match. Leur dernière rencontre remonte à mardi.
"C'était important d'avoir un bon repos, a noté Ryan Huska, l'entraîneur des Rockets. La première journée de congé a permis aux joueurs de se reposer mentalement. Ensuite, on a pu travailler sur les aspects du jeu que nous avions besoin d'améliorer."
De son côté, l'équipe qui a disputé le bris d'égalité a toujours deux ou trois matchs rapprochés dans le corps au moment de disputer la finale. Jadis, quand on disputait la demi-finale le samedi soir, le bris d'égalité avait lieu le vendredi. Ce qui signifie que lorsqu'une équipe passait par la petite porte pour se rendre jusqu'en finale, elle devait disputer trois matchs en trois jours. Une tâche quasi impossible.
Mais là, les Spitfires auront eu droit à une journée de congé, samedi, après avoir battu l'Océanic de Rimouski, jeudi dans le bris d'égalité, puis les Voltigeurs de Drummondville, vendredi, en demi-finale.
"On a congé (samedi), les joueurs pourront oublier le hockey un peu, puis on aura une réunion en soirée, et ce sera de retour à notre journée normale de travail (dimanche)", a affirmé l'entraîneur des champions de l'Ontario, samedi.
"Nous avons trouvé notre rythme, nous avons retrouvé le niveau de de jeu qui a fait notre succès cette saison, a par ailleurs estimé Boughner. Le repos pourrait aider Kelowna au fur et à mesure que le match avancera, mais ce sera à nous de tenter de prendre l'avance tôt dans le match.
"Reste que ce sera le dernier match pour les deux équipes. Les joueurs vont pouvoir donner tout ce qu'il leur reste dans le réservoir", a ajouté le pilote des Spitfires, dont la profondeur à l'attaque pourrait s'avérer un atout.
"On en a parlé avec les joueurs ces derniers jours, a indiqué Boughner, samedi. On a vécu la même chose dans la Ligue de l'Ontario cette année, alors qu'on a établi quelques records et premières. C'est la coupe Memorial qui est l'enjeu principal à nos yeux, et si on devait établir une première en même temps, ce serait un boni, sans plus.
"C'est à la coupe Memorial qu'on pense. C'est là le rêve que les jeunes ont eu toute leur vie."
S'il est si difficile de remporter le tournoi après avoir disputé le bris d'égalité, c'est souvent à cause d'une question de repos. L'équipe qui a atteint la finale par la grande porte est toujours reposée, ayant eu droit à un congé de deux ou trois jours. Cette année, les Rockets disputeront la finale après quatre jours sans match. Leur dernière rencontre remonte à mardi.
"C'était important d'avoir un bon repos, a noté Ryan Huska, l'entraîneur des Rockets. La première journée de congé a permis aux joueurs de se reposer mentalement. Ensuite, on a pu travailler sur les aspects du jeu que nous avions besoin d'améliorer."
De son côté, l'équipe qui a disputé le bris d'égalité a toujours deux ou trois matchs rapprochés dans le corps au moment de disputer la finale. Jadis, quand on disputait la demi-finale le samedi soir, le bris d'égalité avait lieu le vendredi. Ce qui signifie que lorsqu'une équipe passait par la petite porte pour se rendre jusqu'en finale, elle devait disputer trois matchs en trois jours. Une tâche quasi impossible.
Mais là, les Spitfires auront eu droit à une journée de congé, samedi, après avoir battu l'Océanic de Rimouski, jeudi dans le bris d'égalité, puis les Voltigeurs de Drummondville, vendredi, en demi-finale.
"On a congé (samedi), les joueurs pourront oublier le hockey un peu, puis on aura une réunion en soirée, et ce sera de retour à notre journée normale de travail (dimanche)", a affirmé l'entraîneur des champions de l'Ontario, samedi.
"Nous avons trouvé notre rythme, nous avons retrouvé le niveau de de jeu qui a fait notre succès cette saison, a par ailleurs estimé Boughner. Le repos pourrait aider Kelowna au fur et à mesure que le match avancera, mais ce sera à nous de tenter de prendre l'avance tôt dans le match.
"Reste que ce sera le dernier match pour les deux équipes. Les joueurs vont pouvoir donner tout ce qu'il leur reste dans le réservoir", a ajouté le pilote des Spitfires, dont la profondeur à l'attaque pourrait s'avérer un atout.