Jacques Rogge loue les efforts grecs pour la sécurité des Jeux
Jeux olympiques dimanche, 28 sept. 2003. 12:19 jeudi, 12 déc. 2024. 16:57
ATHENES (AFP) - Le gouvernement grec a fait les efforts "les meilleurs possibles" en matière de sécurité, a affirmé le président du Comité international olympique (CIO) Jacques Rogge, dans une interview publiée dimanche par l'agence de presse nationale grecque ANA.
Ses déclarations, faites vendredi dernier à Lausanne à des chaînes de télévision grecques et à l'ANA, interviennent alors qu'une nouvelle polémique a surgi en Grèce après la publication d'articles de la presse américaine et britannique mettant en cause la préparation sécuritaire des JO de 2004.
"Les rapports que je reçois pour la question de la sécurité sont positifs", a déclaré M. Rogge, rappelant que "la sécurité est la première priorité des Jeux olympiques" et que "le gouvernement grec a investi beaucoup d'argent pour la sécurité".
La Grèce a prévu une enveloppe globale de 730 millions de dollars pour la sécurité des Jeux.
"Personne ne peut donner des garanties à 100% sur les questions de sécurité. En tout cas, le gouvernement grec a, sans aucun doute, fait les efforts les meilleurs possibles pour la sécurité", a ajouté le président du CIO assurant qu'il avait "confiance".
Samedi, le porte-parole du gouvernement Christos Protopapas avait
dénoncé "des articles de presse développant des scénarios qui n'ont rien à voir avec la réalité".
Pressions
"Il existe des intérêts qui pensent pouvoir exercer des pressions sur nous, nous les ignorons naturellement, et nous avançons pour organiser des Jeux olympiques les plus sûrs jamais réalisés", a souligné M. Protopapas.
Il a rappelé que la Grèce coopère au sein d'un "Conseil pour la sécurité des Jeux" avec les experts de sept pays (Allemagne, Australie, Espagne, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne et Israël).
Selon la presse grecque, "la nouvelle attaque contre la Grèce" provient du journal américain "Washington Post" qui a affirmé, en citant des sources provenant de services secrets, que les mesures de sécurité présentent des manques importants.
Ces informations ont été reprises dimanche par des médias américain et britannique.
Déjà, en août dernier le gouvernement grec et la présidente du comité organisateur des jeux Olympiques d'Athènes (ATHOC), Gianna Angelopoulos-Daskalaki, avaient dénoncé "une attaque" de presse contenant de "fausses accusations fondées sur des sources anonymes" contre l'organisation de la sécurité des jeux, à la suite d'"un article provocant" paru dans le journal britannique The Guardian.
Ses déclarations, faites vendredi dernier à Lausanne à des chaînes de télévision grecques et à l'ANA, interviennent alors qu'une nouvelle polémique a surgi en Grèce après la publication d'articles de la presse américaine et britannique mettant en cause la préparation sécuritaire des JO de 2004.
"Les rapports que je reçois pour la question de la sécurité sont positifs", a déclaré M. Rogge, rappelant que "la sécurité est la première priorité des Jeux olympiques" et que "le gouvernement grec a investi beaucoup d'argent pour la sécurité".
La Grèce a prévu une enveloppe globale de 730 millions de dollars pour la sécurité des Jeux.
"Personne ne peut donner des garanties à 100% sur les questions de sécurité. En tout cas, le gouvernement grec a, sans aucun doute, fait les efforts les meilleurs possibles pour la sécurité", a ajouté le président du CIO assurant qu'il avait "confiance".
Samedi, le porte-parole du gouvernement Christos Protopapas avait
dénoncé "des articles de presse développant des scénarios qui n'ont rien à voir avec la réalité".
Pressions
"Il existe des intérêts qui pensent pouvoir exercer des pressions sur nous, nous les ignorons naturellement, et nous avançons pour organiser des Jeux olympiques les plus sûrs jamais réalisés", a souligné M. Protopapas.
Il a rappelé que la Grèce coopère au sein d'un "Conseil pour la sécurité des Jeux" avec les experts de sept pays (Allemagne, Australie, Espagne, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne et Israël).
Selon la presse grecque, "la nouvelle attaque contre la Grèce" provient du journal américain "Washington Post" qui a affirmé, en citant des sources provenant de services secrets, que les mesures de sécurité présentent des manques importants.
Ces informations ont été reprises dimanche par des médias américain et britannique.
Déjà, en août dernier le gouvernement grec et la présidente du comité organisateur des jeux Olympiques d'Athènes (ATHOC), Gianna Angelopoulos-Daskalaki, avaient dénoncé "une attaque" de presse contenant de "fausses accusations fondées sur des sources anonymes" contre l'organisation de la sécurité des jeux, à la suite d'"un article provocant" paru dans le journal britannique The Guardian.