La dernière journée des Jeux olympiques de Rio ne s'est pas déroulée sans une autre controverse, celle-là en finale de la lutte libre, où le travail des arbitres a été fortement critiqué dimanche.

Deux entraîneurs de la Mongolie ont retiré leurs vêtements et leurs souliers et les ont projetés sur le tatami pour protester la décision finale d'un combat pour la médaille de bronze chez les moins de 65 kg.

Bayaraa ByambarinchinTout a commencé lorsque Ikhtiyor Navruzov, de l'Ouzbékistan, semblait avoir perdu son affrontement aux mains de Mandakhnaran Ganzorig par le score de 7-6.

Les responsables de l'Ouzbékistan ont protesté le verdict, croyant que le Mongol se sauvait plutôt que de combattre parce qu'il avait déjà commencé à célébrer sa victoire avec moins de dix secondes à faire au duel.

Navruzov, dont le match de quarts de finale avait mené à l'exclusion des trois officiels impliqués en raison d'une décision douteuse en fin de combat, a remporté son protêt et le match.

Ganzorig s'est laissé choir sur ses genoux par dépit et déception.