Kenteris-Thanou: Les Grecs n'y croient pas
Jeux olympiques dimanche, 22 août 2004. 09:00 dimanche, 15 déc. 2024. 01:33
ATHENES (AFP) - Près de 70% des Grecs estiment que l'accident dont ont fait état les sprinteurs grecs Costas Kenteris et Ekaterini Thanou, qui ont renoncé aux JO-2004 après avoir éludé un contrôle antidopage, est "une mise en scène", selon un sondage paru dimanche dans un quotidien grec.
Pour 14% des sondés cet accident de moto était "plutôt vrai", tandis que 16,8% affirment qu'ils n'ont pas d'avis sur cet incident et 2,3% n'ont pas répondu, selon le sondage de la société grecque VPRC effectué sur un échantillon de 800 personnes à travers le pays les 19 et 20 août et paru dans l'édition dominicale d'Elefthérotypia.
Menacés d'être exclus des Jeux pour cette violation du règlement antidopage, les deux athlètes avaient préféré y renoncer de leur propre chef six jours après cet accident (le 12 août) et leur hospitalisation pour des blessures légères.
Ils sont 58,3% de sondés à croire que Kenteris (1er sur 200 m messieurs des JO-2000) et Ekaterini Thanou (2e sur 100 m dames aux JO-2000) avaient utilisé des substances interdites, tandis que 25% affirment le contraire. 15% des sondés n'ont pas d'avis et 1,7% ne répondent pas.
Pour 59,6% des sondés, les deux athlètes auraient dû déposer devant la commission de discipline du Comité international olympique (CIO) avant de se retirer des Jeux, tandis que 30,5% estiment qu'ils auraient dû se retirer "plus tôt".
Pour la majorité des sondés (43,4%), la responsabilité de cet incident qui a terni l'image du milieu sportif grec, appartient à Christos Tzékos, leur entraîneur, dont la société avait commercialisé des compléments alimentaires illicites en Grèce.
Pour 9,5% des sondés, la responsabilité incombe aux deux athlètes, 5,2%, aux responsables politiques en charge du sport en Grèce, 4,2 au Comité olympique grec (COG), 2,6% à la Fédération hellénique d'athlétisme (SEGAS), tandis que 17,8% estiment que la responsabilité est "collective".
Pour 14% des sondés cet accident de moto était "plutôt vrai", tandis que 16,8% affirment qu'ils n'ont pas d'avis sur cet incident et 2,3% n'ont pas répondu, selon le sondage de la société grecque VPRC effectué sur un échantillon de 800 personnes à travers le pays les 19 et 20 août et paru dans l'édition dominicale d'Elefthérotypia.
Menacés d'être exclus des Jeux pour cette violation du règlement antidopage, les deux athlètes avaient préféré y renoncer de leur propre chef six jours après cet accident (le 12 août) et leur hospitalisation pour des blessures légères.
Ils sont 58,3% de sondés à croire que Kenteris (1er sur 200 m messieurs des JO-2000) et Ekaterini Thanou (2e sur 100 m dames aux JO-2000) avaient utilisé des substances interdites, tandis que 25% affirment le contraire. 15% des sondés n'ont pas d'avis et 1,7% ne répondent pas.
Pour 59,6% des sondés, les deux athlètes auraient dû déposer devant la commission de discipline du Comité international olympique (CIO) avant de se retirer des Jeux, tandis que 30,5% estiment qu'ils auraient dû se retirer "plus tôt".
Pour la majorité des sondés (43,4%), la responsabilité de cet incident qui a terni l'image du milieu sportif grec, appartient à Christos Tzékos, leur entraîneur, dont la société avait commercialisé des compléments alimentaires illicites en Grèce.
Pour 9,5% des sondés, la responsabilité incombe aux deux athlètes, 5,2%, aux responsables politiques en charge du sport en Grèce, 4,2 au Comité olympique grec (COG), 2,6% à la Fédération hellénique d'athlétisme (SEGAS), tandis que 17,8% estiment que la responsabilité est "collective".