La FIFA choisit son stade et sert une mise en garde
Jeux olympiques lundi, 9 déc. 2002. 11:35 jeudi, 12 déc. 2024. 14:53
ATHENES (AFP) - Une délégation de la Fédération internationale de football (FIFA) a tranché en faveur du stade de Karaïskaki pour accueillir la finale du tournoi de football des jeux Olympiques de 2004, tout en mettant en garde contre tout retard, lors d'une visite qui s'est achevée lundi à Athènes.
Dirigée par le Camerounais Issa Hayatou, président de la commission d'organisation des tournois olympiques de la FIFA, cette délégation a indiqué avoir abouti à ce choix après avoir écarté l'autre stade proposé, celui de Rizoupoli (ouest), à l'issue d'une réunion au siège du comité organisateur des Jeux (ATHOC).
M. Hayatou, dont les propos ont été repris dans un communiqué de l'ATHOC, a toutefois souligné que la FIFA était "un peu inquiète en ce qui concerne les délais", le stade de Karaïskaki, situé près du port du Pirée, devant être "détruit et reconstruit" d'ici les Jeux.
Annonçant une prochaine visite en mars ou avril pour contrôler les progrès des travaux, il a souligné que c'est seulement "à ce moment là que je pourrai dire que nous ne sommes plus inquiets".
"Nous avons trouvé une solution satisfaisante, qui peut garantir le succès, à condition bien sûr que toutes les conditions soient respectées", a-t-il insisté, relevant par ailleurs que l'organisation du tournoi ne posait pas de problèmes dans les autres villes concernées.
L'accueil de la finale et de tous les matches de football devant se jouer à Athènes, prévue dès l'origine à Karaïskaki, avait tourné au casse-tête en raison de problèmes bureaucratiques et de divergences entre les membres du consortium chargé des travaux. Le Comité international olympique avait indiqué en novembre que la décision finale reviendrait à la FIFA.
Le Comité olympique grec (HOC) a débloqué l'impasse la semaine dernière en cédant cette installation au gouvernement, qui en confiera l'utilisation à l'Olympiakos Le Pirée (1re div. grecque), en échange de sa rénovation. Le stade devrait atteindre une capacité de 25.000 places.
La tenue des délais implique notamment que l'accord final pour la cession du stade soit conclue avec Olympiakos d'ici le 10 janvier, "ce que la FIFA veut aussi" a pour sa part souligné le secrétaire général aux jeux Olympiques, Costas Cartalis. Il a relevé s'être engagé auprès de la délégation à ce que toutes les procédures avancent "très vite".
Dirigée par le Camerounais Issa Hayatou, président de la commission d'organisation des tournois olympiques de la FIFA, cette délégation a indiqué avoir abouti à ce choix après avoir écarté l'autre stade proposé, celui de Rizoupoli (ouest), à l'issue d'une réunion au siège du comité organisateur des Jeux (ATHOC).
M. Hayatou, dont les propos ont été repris dans un communiqué de l'ATHOC, a toutefois souligné que la FIFA était "un peu inquiète en ce qui concerne les délais", le stade de Karaïskaki, situé près du port du Pirée, devant être "détruit et reconstruit" d'ici les Jeux.
Annonçant une prochaine visite en mars ou avril pour contrôler les progrès des travaux, il a souligné que c'est seulement "à ce moment là que je pourrai dire que nous ne sommes plus inquiets".
"Nous avons trouvé une solution satisfaisante, qui peut garantir le succès, à condition bien sûr que toutes les conditions soient respectées", a-t-il insisté, relevant par ailleurs que l'organisation du tournoi ne posait pas de problèmes dans les autres villes concernées.
L'accueil de la finale et de tous les matches de football devant se jouer à Athènes, prévue dès l'origine à Karaïskaki, avait tourné au casse-tête en raison de problèmes bureaucratiques et de divergences entre les membres du consortium chargé des travaux. Le Comité international olympique avait indiqué en novembre que la décision finale reviendrait à la FIFA.
Le Comité olympique grec (HOC) a débloqué l'impasse la semaine dernière en cédant cette installation au gouvernement, qui en confiera l'utilisation à l'Olympiakos Le Pirée (1re div. grecque), en échange de sa rénovation. Le stade devrait atteindre une capacité de 25.000 places.
La tenue des délais implique notamment que l'accord final pour la cession du stade soit conclue avec Olympiakos d'ici le 10 janvier, "ce que la FIFA veut aussi" a pour sa part souligné le secrétaire général aux jeux Olympiques, Costas Cartalis. Il a relevé s'être engagé auprès de la délégation à ce que toutes les procédures avancent "très vite".