La Grèce est reconnaissante
Jeux olympiques samedi, 4 sept. 2004. 11:39 jeudi, 12 déc. 2024. 01:37
ATHENES (AFP) - La Grèce est "reconnaissante" aux pays de la Ligue arabe, à l'Albanie et à la Macédoine pour leur aide apportée à la sécurité des jeux Olympiques d'Athènes, a indiqué samedi le ministre de l'Ordre public, Georges Voulgarakis.
"Il faut que je vous dise que je me sens reconnaissant face aux pays de la Ligue arabe car ils ont pris une position claire dans une période très difficile pour nous", a déclaré M. Voulgarakis dans une interview au quotidien Elefthérotypia.
"Je dois dire aussi que le gouvernement albanais a beaucoup aidé au contrôle des frontières, ainsi que l'ancienne république yougoslave de Macédoine", a ajouté le ministre.
M. Voulgarakis affirme que la Grèce a "réussi à créer un environnement le plus possible hostile au terrorisme international", précisant qu'elle "ne fait pas partie des pays où la menace terroriste est élevée pour des raisons politiques, historiques et géographiques".
Il estime que la Grèce "peut jouer un rôle décisif dans la coordination et la formation des autres pays" en matière de sécurité après "l'efficacité de l'application du plus grand plan de sécurité qui ait été fait ces dernières années dans le monde".
Il a assuré qu'après les jeux Paralympiques (17-28 septembre), il organisera avec tous les partis une discussion sur l'emploi de tous les systèmes de surveillance mis en place pendant les Jeux. "Je ne permettrai pas la limitation des droits de l'individu et des libertés constitutionnelles", a-t-il souligné.
Le parti communiste et plusieurs groupes de gauche ont protesté ces derniers jours sur l'emploi des centaines de caméras placées dans les rues d'Athènes pour la sécurité des Jeux. Plusieurs dizaines de militants communistes ont manifesté vendredi soir en plusieurs points d'Athènes exigeant "le démantèlement immédiat" des caméras.
M. Voulgarakis a indiqué que le coût définitif de la sécurité des Jeux sera fixé à la fin des jeux Paralympiques, mais qu'il l'évaluait "autour de un milliard d'euros".
"Il faut que je vous dise que je me sens reconnaissant face aux pays de la Ligue arabe car ils ont pris une position claire dans une période très difficile pour nous", a déclaré M. Voulgarakis dans une interview au quotidien Elefthérotypia.
"Je dois dire aussi que le gouvernement albanais a beaucoup aidé au contrôle des frontières, ainsi que l'ancienne république yougoslave de Macédoine", a ajouté le ministre.
M. Voulgarakis affirme que la Grèce a "réussi à créer un environnement le plus possible hostile au terrorisme international", précisant qu'elle "ne fait pas partie des pays où la menace terroriste est élevée pour des raisons politiques, historiques et géographiques".
Il estime que la Grèce "peut jouer un rôle décisif dans la coordination et la formation des autres pays" en matière de sécurité après "l'efficacité de l'application du plus grand plan de sécurité qui ait été fait ces dernières années dans le monde".
Il a assuré qu'après les jeux Paralympiques (17-28 septembre), il organisera avec tous les partis une discussion sur l'emploi de tous les systèmes de surveillance mis en place pendant les Jeux. "Je ne permettrai pas la limitation des droits de l'individu et des libertés constitutionnelles", a-t-il souligné.
Le parti communiste et plusieurs groupes de gauche ont protesté ces derniers jours sur l'emploi des centaines de caméras placées dans les rues d'Athènes pour la sécurité des Jeux. Plusieurs dizaines de militants communistes ont manifesté vendredi soir en plusieurs points d'Athènes exigeant "le démantèlement immédiat" des caméras.
M. Voulgarakis a indiqué que le coût définitif de la sécurité des Jeux sera fixé à la fin des jeux Paralympiques, mais qu'il l'évaluait "autour de un milliard d'euros".