Le CIO prêt à tout pour la lutte antidopage
Jeux olympiques dimanche, 5 août 2007. 11:23 jeudi, 12 déc. 2024. 08:42
BERLIN - L'Allemand Thomas Bach, vice-président du Comité international olympique (CIO), a prévenu dans la presse allemande dimanche que le CIO ne se fixait aucune limite en matière financière pour lutter contre le dopage lors des jeux Olympiques 2008.
"L'argent ne jouera aucun rôle", a assuré M. Bach dans un entretien à l'édition dominicale du quotidien Die Welt.
M. Bach qui a indiqué que le nombre de contrôles antidopage devrait être de 4500 à Pékin, contre 3667 à Athènes en 2004, a expliqué que le CIO "allait affiner sa politique 'intelligente' de contrôles" mise en place depuis 2002.
"Nous allons regarder très précisément les résultats des contrôles antidopage de certains athlètes avant les compétitions olympiques (...) Cela sera en particulier le cas de ceux qui se sont mis en évidence avec une brutale amélioration de leurs performances", a souligné le vice-président du CIO.
"Nous voulons que les athlètes qui ont recours au dopage soient dans le flou. Nous n'allons pas dire ce que nous recherchons, ce que nous pouvons identifier et quels sont nos progrès scientifiques en matière de détection", a-t-il expliqué.
En ce qui concerne les performances de la Chine et le spectre du dopage systématique, M. Bach a estimé que "les Chinois ne vont pas courir ce risque".
"Il ont augmenté le nombre de contrôles pour leurs équipes olympiques à 10000 contre 9000 précédemment. Dick Pound (le président de l'Agence mondiale antidopage, NDLR) sera à Pékin pour suivre spécifiquement ce dossier", a-t-il indiqué.
"Le patron du laboratoire de Pékin est quelqu'un de reconnu au niveau mondial, mais tout serait remis en question si on devait voir de nouveaux visages l'année prochaine en charge des contrôles", a-t-il conclu.
"L'argent ne jouera aucun rôle", a assuré M. Bach dans un entretien à l'édition dominicale du quotidien Die Welt.
M. Bach qui a indiqué que le nombre de contrôles antidopage devrait être de 4500 à Pékin, contre 3667 à Athènes en 2004, a expliqué que le CIO "allait affiner sa politique 'intelligente' de contrôles" mise en place depuis 2002.
"Nous allons regarder très précisément les résultats des contrôles antidopage de certains athlètes avant les compétitions olympiques (...) Cela sera en particulier le cas de ceux qui se sont mis en évidence avec une brutale amélioration de leurs performances", a souligné le vice-président du CIO.
"Nous voulons que les athlètes qui ont recours au dopage soient dans le flou. Nous n'allons pas dire ce que nous recherchons, ce que nous pouvons identifier et quels sont nos progrès scientifiques en matière de détection", a-t-il expliqué.
En ce qui concerne les performances de la Chine et le spectre du dopage systématique, M. Bach a estimé que "les Chinois ne vont pas courir ce risque".
"Il ont augmenté le nombre de contrôles pour leurs équipes olympiques à 10000 contre 9000 précédemment. Dick Pound (le président de l'Agence mondiale antidopage, NDLR) sera à Pékin pour suivre spécifiquement ce dossier", a-t-il indiqué.
"Le patron du laboratoire de Pékin est quelqu'un de reconnu au niveau mondial, mais tout serait remis en question si on devait voir de nouveaux visages l'année prochaine en charge des contrôles", a-t-il conclu.