Le gouvernement n'achetera pas de billets pour remplir les stades
Jeux olympiques mardi, 17 août 2004. 11:51 dimanche, 15 déc. 2024. 14:52
ATHENES (AFP) - Les autorités grecques n'ont "pas l'intention" d'acheter des billets, alors que les stades présentent des gradins vides, a affirmé mardi le porte-parole du gouvernement, Théodoros Roussopoulos.
"Je ne crois pas que les aspects positifs ou négatifs se mesurent seulement au nombre de places vides dans les stades", a ajouté M. Roussopoulos au cours de son point de presse quotidien.
Depuis le début des épreuves olympiques, samedi, les stades ont présenté de nombreuses places vides.
Le gouvernement avait déjà minimisé lundi le phénomène. "D'habitude, et selon mon expérience, les stades ne sont pas pleins lors des compétitions disputées avant les finales (...). Ca dépend aussi des compétitions", avait affirmé M. Roussopoulos.
Les organisateurs des Jeux olympiques d'Athènes ont annoncé mardi que plus de trois millions de billets avaient été vendus et que les recettes s'élevaient désormais à 181 millions d'euros.
Selon Marton Simitsek, directeur exécutif du comité d'organisation (ATHOC), les ventes s'établissaient au 16 août à 3 285 000 et devraient atteindre les 3,5 millions (pour un total de 5,4 millions de billets émis) d'ici la fin des compétitions le 29 août.
Sur le strict plan financier, M. Simitsek a estimé que, avec déjà 181 millions d'euros encaissés, "l'objectif fixé au moment des préparatifs, soit 183 millions, est atteint à 99%".
Interrogé sur l'apparente contradiction entre ces résultats et le fait que, sur le terrain, de grands vides apparaissent dans les tribunes réservées aux spectateurs, M. Simitsek a déclaré: "on n'explique pas que les gens ne viennent pas".
"Ils ont payé, et c'est leur droit. Ce que nous savons, c'est que nous ne pouvons pas vendre la même place deux fois. Mais je suis sûr qu'avec l'importance croissante des compétitions, les stades vont être de plus en plus pleins. Ca va aller de mieux en mieux, de jour en jour", a-t-il ajouté."
"Je ne crois pas que les aspects positifs ou négatifs se mesurent seulement au nombre de places vides dans les stades", a ajouté M. Roussopoulos au cours de son point de presse quotidien.
Depuis le début des épreuves olympiques, samedi, les stades ont présenté de nombreuses places vides.
Le gouvernement avait déjà minimisé lundi le phénomène. "D'habitude, et selon mon expérience, les stades ne sont pas pleins lors des compétitions disputées avant les finales (...). Ca dépend aussi des compétitions", avait affirmé M. Roussopoulos.
Les organisateurs des Jeux olympiques d'Athènes ont annoncé mardi que plus de trois millions de billets avaient été vendus et que les recettes s'élevaient désormais à 181 millions d'euros.
Selon Marton Simitsek, directeur exécutif du comité d'organisation (ATHOC), les ventes s'établissaient au 16 août à 3 285 000 et devraient atteindre les 3,5 millions (pour un total de 5,4 millions de billets émis) d'ici la fin des compétitions le 29 août.
Sur le strict plan financier, M. Simitsek a estimé que, avec déjà 181 millions d'euros encaissés, "l'objectif fixé au moment des préparatifs, soit 183 millions, est atteint à 99%".
Interrogé sur l'apparente contradiction entre ces résultats et le fait que, sur le terrain, de grands vides apparaissent dans les tribunes réservées aux spectateurs, M. Simitsek a déclaré: "on n'explique pas que les gens ne viennent pas".
"Ils ont payé, et c'est leur droit. Ce que nous savons, c'est que nous ne pouvons pas vendre la même place deux fois. Mais je suis sûr qu'avec l'importance croissante des compétitions, les stades vont être de plus en plus pleins. Ca va aller de mieux en mieux, de jour en jour", a-t-il ajouté."