Dossier Pic et Pouf, volume 1
Lutte jeudi, 1 nov. 2007. 09:58 dimanche, 15 déc. 2024. 13:31
Par Pic et Pouf - Voici un courriel reçu de la part de Martin: «Dans un autre ordre d'idée, j'ai une suggestion pour une chronique spéciale. Elle s'intitule Pic et Pouf, une journée à la place de Vince McMahon. Il y a beaucoup de choses à parler. Mais moi j'aimerais savoir vos décisions concernant les 3 brands de la WWE qu'est-ce qu'on fait avec ca et avec les GMs, les ceintures et les divisions, et aussi sur quels lutteurs vous metteriez l'accent en leur donnant le titre. Bref, pour le temps d'une chronique vous avez à nous dire et expliquez ce que vous feriez à la place de McMahon.»
C'est avec cette excellente idée que nous allons vous présenter notre première chronique mensuelle que nous appellerons tout simplement Dossier Pic & Pouf. Comme vous avez pu le voir, nous allons simuler que nous, Pic & Pouf, sommes au poste de Vincent Kennedy McMahon à la tête de la plus grosse entreprise de lutte toujours active en 2007. Embarquez avec nous dans ce jeu et bonne lecture!
- ECW ???
Nous allons commencer avec nos actions dans la troisième division, celle dite extrême, la ECW. On est d'accord avec l'ajout d'un autre « brand », car, tout comme la séparation définie entre Raw et SmackDown il y a déjà quelques années, il a permis l'expansion du « roster » de la WWE, donc, de nouveaux visages ont pu faire leur entrée dans les « grandes ligues », ce qui n'est jamais mauvais dans les circonstances actuelles où la compagnie n'a pas réellement de compétition comme à l'époque de la NWA, WCW, AWA, etc Par contre, là où on a beaucoup de difficultés, c'est la mauvaise utilisation du « dernier né » de la fédération. Oui, initialement, c'était très vendeur de faire revivre la ECW, le fameux projet extrême « underground » qu'avait bâti sans tambour ni trompette le « Evil Genius » Paul Heyman, mieux connu sous le nom Paul E. Dangerously à la fin des années 80 ainsi que dans la décennie 90. Il avait su tirer son épingle du jeu durant la guerre des cotes d'écoute du lundi soir avec son produit axé particulièrement sur la lutte hardcore, mais, surtout, par l'entrée en scène en sol américain de talents qui avaient fait leur renommée du côté de l'Asie. C'est probablement là, le problème avec la résurrection de la division extrême : les attentes étaient énormes de la part des inconditionnelles de la ECW lors de son retour et, encore aujourd'hui, pour ceux qui n'ont pas jeté la serviette, ils sont toujours sur leur appétit. Initialement, le contrôle aurait dû être totalement légué à Paul Heyman. Ainsi, la ECW aurait repris ses lettres de noblesses et le spectacle s'en porterait beaucoup mieux. Malheureusement, M. McMahon a constamment mis son nez dans les dossiers et, quand ça ne faisait pas son affaire, il utilisait son droit de veto. Si ce n'était pas lui, c'était sa fille Stephanie. On connaît la suite de l'histoire Tant qu'à avoir souillé l'âme de l'ancienne fédération extrême, le changement majeur que l'on ferait avec le troisième « brand » si nous avions les guides de la compagnie de Stamford, ce serait tout simplement d'effacer les lettres E C W pour les remplacer par d'autres. De cette façon, le fantôme de la création originale de Heyman ne planerait plus au-dessus de celle que l'on a fait renaître, les attentes seraient moins touchées puisqu'il s'agirait d'une simple troisième division au même type que l'est Raw et SmackDown. Parce qu'il ne faut pas se le cacher, si ce n'était pas du nom, le potentiel est là! Regardez les CM Punk, Elijah Burke, Kevin Thorn, qui effectuent du très bon travail sur le ring, combinés aux Big Daddy V, Boogeyman, John Morrison, The Miz, qui connaissent tous un regain de vie depuis leur arrivée dans la troisième division. Évidemment que le deuxième geste d'importance posé serait de grossir le « roster » qui se résume pratiquement aux noms que l'on vient tout juste de parler. Nous sommes à 100% d'accord avec le choix d'ARMANDO ALEJANDRO ESTRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRADA comme GM. Son charisme et ses performances au micro font en sorte qu'un talent n'est pas tombé aux oubliettes pour rien. La présence de Dusty Rhodes comme principal scripteur attitré à la division n'est pas à prendre à la légère non plus, lui qui a toujours eu des idées visionnaires. Il ne manquerait plus que quelques vétérans qui seraient là pour « monter » les jeunes un peu comme aurait dû faire Chris Benoit s'il était toujours vivant. Un gars comme Val Venis ou même Tommy Dreamer pourrait faire l'affaire. Bref, tout ne serait pas perdu, mais la patience serait de mise
- SmackDown
Tout le monde le sait, niveau lutte, SmackDown clanche Raw à 100 miles à l'heure. L'émission du vendredi soir embarque moins dans les romans-savon, ce qui accorde plus de temps aux lutteurs pour bien performer sans surexposition. On poursuivrait dans la même voie, mais on donnerait beaucoup plus de visibilité à une catégorie qui vaut son pesant d'or à chaque fois qu'elle a l'occasion de démontrer ses talents, celle des poids légers. Super Crazy, Daiviri, Brian Kendrick et Paul London retourneraient où ils appartiennent, on tenterait de remettre sous contrats des gars comme Sean « X Pac » Waltman, Tajiri, Billy Kidman et peut-être même les Mexicool Juventud Guerrera et Psicosis, bref, on bâtirait quelque chose de solide avec ces gars qui n'ont pratiquement peur de rien. Ils font le « show », pourquoi s'en passer? Autre titre sur lequel on mettrait un peu plus d'accent, c'est le championnat des États-Unis. Oui, c'est une très bonne chose dans la rivalité Matt Hardy/M.V.P. qu'ils soient Champions par équipe, mais la ceinture U.S. est plutôt en veilleuse et c'est dommage. Avec les Kenny Dykstra, Chris Masters, entre autres, qui sont plus ou moins utilisés, et les vétérans comme Finlay et même Ric Flair, bien qu'une retraite pour ce dernier ne ferait pas de tort, la compétition serait bonne pour donner de la valeur au titre américain. Pour ce qui est du championnat par équipe, tout comme à Raw, encore une fois, il faut simplement s'armer de patience remarquer que la possibilité d'unifier toutes les paires pour en faire une seule et même catégorie « tag team » que l'on verrait peu importe l'émission serait envisageable également. Tant qu'à avoir deux divisions avec deux-trois équipes, aussi bien les réunir et les utiliser quand bon nous semble où bon nous semble, non? Out Vickie Guerrero, out Krystal! Gardons-les gérantes, pourquoi pas, mais plus question de les laisser faire ce qu'elles font présentement. Teddy Long, bien qu'il n'inspire pas nécessairement la crainte chez les lutteurs, a une gueule bien sympathique auprès des fans et c'est très suffisant. Il n'a pas besoin de ces deux femmes pour faire son travail de GM. D'autres noms qu'on utiliserait également pas mal moins, Mark Henry et The Great Khali. N'ayant pas la même fixation que M. McMahon sur les gros lutteurs, on saurait se passer d'eux, surtout avec les VRAIS « main eventers » que l'on aurait sous la main : Batista, Kane, Edge, Undertaker, Mysterio, etc Bref, Henry et Khali en équipe, merci, bonsoir!
- Raw
Autant on voudrait une meilleure promotion de la catégorie Cruiserweight à SmackDown, autant nos intentions seraient de bâtir une solide division féminine à Raw. On ramènerait les LUTTEUSES de l'émission du vendredi soir pour combiner leurs talents à celles du programme du lundi soir. Pour ce qui est des Divas, bah!... Il n'y aurait peut-être pas des combats féminins à toutes les semaines, mais il y aurait un meilleur encadrement, donc, un meilleur spectacle de leur part. Si John Cena est Champion, ça passe, mais s'il ne l'est pas, au Diable sa ceinture laide, on voudrait de la ceinture originale, un titre représentatif de l'ENSEMBLE de la compagnie, pas juste d'un Champ en particulier! On ferait d'ailleurs un meilleur mélange des éléments sous la main dans cette division de début de semaine. D'accord, les gens aiment le Doctor of Thuganomics, Triple H, Shawn Michaels, etc, mais on ne miserait pas uniquement sur eux et on n'investirait pas autant de temps sur les Ron Simmons, Sgt. Slaughter, « Hacksaw » Jim Duggan et autres Une fois de temps en temps, peut-être, question de capter l'attention des nostalgiques des années 70 et 80, mais pas aussi souvent que présentement. Si on veut donner plus de visibilité à de jeunes talents tout en continuant de faire confiance aux vétérans, ça voudrait donc dire qu'il faudrait couper dans le gras quant aux « romans à l'eau de rose ». Il s'agit d'une soirée de lutte, pas des téléromans Santa Barbara ou Top Model à n'en plus finir! Oui, il y aurait des histoires à petite et longue haleine, après tout, ça garde l'intérêt des spectateurs bien plus qu'un enchaînement d'affrontements, mais jamais des horreurs comme on a eu droit au cours des derniers mois. De plus, nous, en tant que proprio de la compagnie, on ne se sentirait pas obligé de s'impliquer dans les moindres « feuds » importantes à la télévision. Possiblement que, par amour du spectacle, on s'embarquerait dans quelque chose, mais on ne serait certes pas plus gros que les lutteurs, les vrais vendeurs du produit WWE.
Comme nous l'avons mentionné plus haut, il nous importerait peu à nous que l'athlète soit gros, grand et bourré de muscles. Tout ce qui compterait pour nous, c'est la qualité du spectacle qu'il pourrait nous donner et l'effort qu'il y mettrait à le faire. Automatiquement, probablement que tous ces scandales de drogues et stéroïdes seraient moins présents dans l'entourage de la compagnie parce que les lutteurs ne vivraient pas avec un stress de performance constamment. Employés heureux, clients heureux, clients heureux, employeur heureux, employeur heureux, employés heureux c'est une roue qui tourne! Il est clair qu'on « prêcherait pour notre paroisse » en ce sens où nous prétendons, nous, Pic & Pouf, que la meilleure lutte qui soit, ce sont les « gimmicks » des années 80 agencées à la technique des années 2000, mais on n'écoeurerait pas le peuple avec ça n'empêche que ça donnerait peut-être un second souffle à certains membres de la WWE d'aujourd'hui
* Alors, voilà! C'est ainsi que nous vous présentons notre vision de l'emploi que nous occuperions à la place de Vince McMahon. Évidemment qu'il faut respecter le fait qu'il a construit cet empire quasi-indestructible, mais la non-compétition à laquelle il fait présentement face lui donne un peu trop d'aisance dans ses idées souvent quelque peu perverses, ce qui pourrait faire mal à l'image de sa compagnie un jour ou l'autre D'ici là, longue vie à la WWE, longue vie à la lutte spectacle et longue vie aux Dossiers Pic & Pouf!:P
C'est avec cette excellente idée que nous allons vous présenter notre première chronique mensuelle que nous appellerons tout simplement Dossier Pic & Pouf. Comme vous avez pu le voir, nous allons simuler que nous, Pic & Pouf, sommes au poste de Vincent Kennedy McMahon à la tête de la plus grosse entreprise de lutte toujours active en 2007. Embarquez avec nous dans ce jeu et bonne lecture!
- ECW ???
Nous allons commencer avec nos actions dans la troisième division, celle dite extrême, la ECW. On est d'accord avec l'ajout d'un autre « brand », car, tout comme la séparation définie entre Raw et SmackDown il y a déjà quelques années, il a permis l'expansion du « roster » de la WWE, donc, de nouveaux visages ont pu faire leur entrée dans les « grandes ligues », ce qui n'est jamais mauvais dans les circonstances actuelles où la compagnie n'a pas réellement de compétition comme à l'époque de la NWA, WCW, AWA, etc Par contre, là où on a beaucoup de difficultés, c'est la mauvaise utilisation du « dernier né » de la fédération. Oui, initialement, c'était très vendeur de faire revivre la ECW, le fameux projet extrême « underground » qu'avait bâti sans tambour ni trompette le « Evil Genius » Paul Heyman, mieux connu sous le nom Paul E. Dangerously à la fin des années 80 ainsi que dans la décennie 90. Il avait su tirer son épingle du jeu durant la guerre des cotes d'écoute du lundi soir avec son produit axé particulièrement sur la lutte hardcore, mais, surtout, par l'entrée en scène en sol américain de talents qui avaient fait leur renommée du côté de l'Asie. C'est probablement là, le problème avec la résurrection de la division extrême : les attentes étaient énormes de la part des inconditionnelles de la ECW lors de son retour et, encore aujourd'hui, pour ceux qui n'ont pas jeté la serviette, ils sont toujours sur leur appétit. Initialement, le contrôle aurait dû être totalement légué à Paul Heyman. Ainsi, la ECW aurait repris ses lettres de noblesses et le spectacle s'en porterait beaucoup mieux. Malheureusement, M. McMahon a constamment mis son nez dans les dossiers et, quand ça ne faisait pas son affaire, il utilisait son droit de veto. Si ce n'était pas lui, c'était sa fille Stephanie. On connaît la suite de l'histoire Tant qu'à avoir souillé l'âme de l'ancienne fédération extrême, le changement majeur que l'on ferait avec le troisième « brand » si nous avions les guides de la compagnie de Stamford, ce serait tout simplement d'effacer les lettres E C W pour les remplacer par d'autres. De cette façon, le fantôme de la création originale de Heyman ne planerait plus au-dessus de celle que l'on a fait renaître, les attentes seraient moins touchées puisqu'il s'agirait d'une simple troisième division au même type que l'est Raw et SmackDown. Parce qu'il ne faut pas se le cacher, si ce n'était pas du nom, le potentiel est là! Regardez les CM Punk, Elijah Burke, Kevin Thorn, qui effectuent du très bon travail sur le ring, combinés aux Big Daddy V, Boogeyman, John Morrison, The Miz, qui connaissent tous un regain de vie depuis leur arrivée dans la troisième division. Évidemment que le deuxième geste d'importance posé serait de grossir le « roster » qui se résume pratiquement aux noms que l'on vient tout juste de parler. Nous sommes à 100% d'accord avec le choix d'ARMANDO ALEJANDRO ESTRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRADA comme GM. Son charisme et ses performances au micro font en sorte qu'un talent n'est pas tombé aux oubliettes pour rien. La présence de Dusty Rhodes comme principal scripteur attitré à la division n'est pas à prendre à la légère non plus, lui qui a toujours eu des idées visionnaires. Il ne manquerait plus que quelques vétérans qui seraient là pour « monter » les jeunes un peu comme aurait dû faire Chris Benoit s'il était toujours vivant. Un gars comme Val Venis ou même Tommy Dreamer pourrait faire l'affaire. Bref, tout ne serait pas perdu, mais la patience serait de mise
- SmackDown
Tout le monde le sait, niveau lutte, SmackDown clanche Raw à 100 miles à l'heure. L'émission du vendredi soir embarque moins dans les romans-savon, ce qui accorde plus de temps aux lutteurs pour bien performer sans surexposition. On poursuivrait dans la même voie, mais on donnerait beaucoup plus de visibilité à une catégorie qui vaut son pesant d'or à chaque fois qu'elle a l'occasion de démontrer ses talents, celle des poids légers. Super Crazy, Daiviri, Brian Kendrick et Paul London retourneraient où ils appartiennent, on tenterait de remettre sous contrats des gars comme Sean « X Pac » Waltman, Tajiri, Billy Kidman et peut-être même les Mexicool Juventud Guerrera et Psicosis, bref, on bâtirait quelque chose de solide avec ces gars qui n'ont pratiquement peur de rien. Ils font le « show », pourquoi s'en passer? Autre titre sur lequel on mettrait un peu plus d'accent, c'est le championnat des États-Unis. Oui, c'est une très bonne chose dans la rivalité Matt Hardy/M.V.P. qu'ils soient Champions par équipe, mais la ceinture U.S. est plutôt en veilleuse et c'est dommage. Avec les Kenny Dykstra, Chris Masters, entre autres, qui sont plus ou moins utilisés, et les vétérans comme Finlay et même Ric Flair, bien qu'une retraite pour ce dernier ne ferait pas de tort, la compétition serait bonne pour donner de la valeur au titre américain. Pour ce qui est du championnat par équipe, tout comme à Raw, encore une fois, il faut simplement s'armer de patience remarquer que la possibilité d'unifier toutes les paires pour en faire une seule et même catégorie « tag team » que l'on verrait peu importe l'émission serait envisageable également. Tant qu'à avoir deux divisions avec deux-trois équipes, aussi bien les réunir et les utiliser quand bon nous semble où bon nous semble, non? Out Vickie Guerrero, out Krystal! Gardons-les gérantes, pourquoi pas, mais plus question de les laisser faire ce qu'elles font présentement. Teddy Long, bien qu'il n'inspire pas nécessairement la crainte chez les lutteurs, a une gueule bien sympathique auprès des fans et c'est très suffisant. Il n'a pas besoin de ces deux femmes pour faire son travail de GM. D'autres noms qu'on utiliserait également pas mal moins, Mark Henry et The Great Khali. N'ayant pas la même fixation que M. McMahon sur les gros lutteurs, on saurait se passer d'eux, surtout avec les VRAIS « main eventers » que l'on aurait sous la main : Batista, Kane, Edge, Undertaker, Mysterio, etc Bref, Henry et Khali en équipe, merci, bonsoir!
- Raw
Autant on voudrait une meilleure promotion de la catégorie Cruiserweight à SmackDown, autant nos intentions seraient de bâtir une solide division féminine à Raw. On ramènerait les LUTTEUSES de l'émission du vendredi soir pour combiner leurs talents à celles du programme du lundi soir. Pour ce qui est des Divas, bah!... Il n'y aurait peut-être pas des combats féminins à toutes les semaines, mais il y aurait un meilleur encadrement, donc, un meilleur spectacle de leur part. Si John Cena est Champion, ça passe, mais s'il ne l'est pas, au Diable sa ceinture laide, on voudrait de la ceinture originale, un titre représentatif de l'ENSEMBLE de la compagnie, pas juste d'un Champ en particulier! On ferait d'ailleurs un meilleur mélange des éléments sous la main dans cette division de début de semaine. D'accord, les gens aiment le Doctor of Thuganomics, Triple H, Shawn Michaels, etc, mais on ne miserait pas uniquement sur eux et on n'investirait pas autant de temps sur les Ron Simmons, Sgt. Slaughter, « Hacksaw » Jim Duggan et autres Une fois de temps en temps, peut-être, question de capter l'attention des nostalgiques des années 70 et 80, mais pas aussi souvent que présentement. Si on veut donner plus de visibilité à de jeunes talents tout en continuant de faire confiance aux vétérans, ça voudrait donc dire qu'il faudrait couper dans le gras quant aux « romans à l'eau de rose ». Il s'agit d'une soirée de lutte, pas des téléromans Santa Barbara ou Top Model à n'en plus finir! Oui, il y aurait des histoires à petite et longue haleine, après tout, ça garde l'intérêt des spectateurs bien plus qu'un enchaînement d'affrontements, mais jamais des horreurs comme on a eu droit au cours des derniers mois. De plus, nous, en tant que proprio de la compagnie, on ne se sentirait pas obligé de s'impliquer dans les moindres « feuds » importantes à la télévision. Possiblement que, par amour du spectacle, on s'embarquerait dans quelque chose, mais on ne serait certes pas plus gros que les lutteurs, les vrais vendeurs du produit WWE.
Comme nous l'avons mentionné plus haut, il nous importerait peu à nous que l'athlète soit gros, grand et bourré de muscles. Tout ce qui compterait pour nous, c'est la qualité du spectacle qu'il pourrait nous donner et l'effort qu'il y mettrait à le faire. Automatiquement, probablement que tous ces scandales de drogues et stéroïdes seraient moins présents dans l'entourage de la compagnie parce que les lutteurs ne vivraient pas avec un stress de performance constamment. Employés heureux, clients heureux, clients heureux, employeur heureux, employeur heureux, employés heureux c'est une roue qui tourne! Il est clair qu'on « prêcherait pour notre paroisse » en ce sens où nous prétendons, nous, Pic & Pouf, que la meilleure lutte qui soit, ce sont les « gimmicks » des années 80 agencées à la technique des années 2000, mais on n'écoeurerait pas le peuple avec ça n'empêche que ça donnerait peut-être un second souffle à certains membres de la WWE d'aujourd'hui
* Alors, voilà! C'est ainsi que nous vous présentons notre vision de l'emploi que nous occuperions à la place de Vince McMahon. Évidemment qu'il faut respecter le fait qu'il a construit cet empire quasi-indestructible, mais la non-compétition à laquelle il fait présentement face lui donne un peu trop d'aisance dans ses idées souvent quelque peu perverses, ce qui pourrait faire mal à l'image de sa compagnie un jour ou l'autre D'ici là, longue vie à la WWE, longue vie à la lutte spectacle et longue vie aux Dossiers Pic & Pouf!:P