L'ancien médecin de la sélection brésilienne de soccer, Lidio Toledo, a formellement démenti mardi avoir fait des infiltrations de xylocaïne au genou droit de Ronaldo, qui auraient provoqué ses convulsions, quelques heures avant la finale Brésil-France (0-3) du Mondial-1998.

Le magazine spécialisé de soccer Lance! avait affirmé, dimanche, qu'une infiltration à base de xylocaïne et d'anti-inflammatoires serait à l'origine des convulsions dont Ronaldo fut victime à son hôtel, quelques heures avant cette finale, le 12 juillet 1998, au stade de France à Saint-Denis (nord de Paris).

Selon cette publication, qui affirme tenir cette révélation d'une personne "absolument fiable" l'ayant appris de la bouche même du joueur, Ronaldo s'est fait faire une infiltration au genou droit, dont il avait souffert pendant tout le Mondial, sept heures avant la finale.

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