Ecosse-Pays de Galles: le rappel de l'histoire
Rugby vendredi, 11 mars 2005. 11:52 jeudi, 12 déc. 2024. 05:28
EDIMBOURG (AFP) - Le pays de Galles espère s'approcher un peu plus d'un éventuel Grand Chelem avec un succès dimanche en Ecosse, lors de la 4e journée du Tournoi des six nations de rugby, mais conservera à l'esprit que l'histoire ne lui a pas toujours donné raison dans ces oppositions.
Bien souvent, de talentueux Diables rouges ont vu se rompre leurs espérances sur la pelouse de leur voisin du nord. En quinze occasions, les Gallois sont arrivés invaincus à Edimbourg et en sont repartis avec une défaite en poche.
Certes, le XV du chardon ne présente plus depuis plusieurs années les mêmes dispositions. Mais il faut tout de même remonter à l'année 1997 pour trouver trace du dernier succès gallois en terre écossaise (34-19).
Et le retour de fortune gallois est bien trop récent pour que les hommes de Mike Ruddock abordent cette rencontre sans une prudence de bon aloi.
"Beaucoup d'équipes galloises sont venues en Ecosse avec énormément d'espoirs dans le passé et sont rentrées à la maison les mains vides, et nous devrons être à notre top si nous voulons être sûr que la même chose ne nous arrive pas", a prévenu l'entraîneur gallois.
Frères
Rien de ce qu'a présenté l'Ecosse lors de son difficile succès sur l'Italie (18-10) lors de la 3e journée du Tournoi ne semble pourtant devoir vraiment inquiéter les invaincus Gallois, courageux vainqueurs de l'Angleterre (11-9), exemplaires en Italie (38-8) et brillants en France (24-18).
Mais débarrassés de la crainte d'accrocher une nouvelle "cuillère de bois", comme l'an passé, les Ecossais pourraient se montrer plus gênants qu'attendus pour un XV du poireau en quête d'un premier Grand Chelem depuis 1978.
Les Gallois espèrent que l'absence de l'arrière et capitaine Gareth Thomas, opéré d'une fracture d'un pouce et forfait pour les deux derniers matches du Tournoi dont la finale attendue contre l'Irlande samedi prochain à Cardiff, n'affectera pas trop le rendement de leurs lignes arrières ni leur confiance.
Matt Williams, l'entraîneur écossais, a effectué vendredi un changement dans son équipe par rapport à celle qui était venue à bout de l'Italie. L'ailier Rory Lamont, 22 ans, prend la place de Simon Webster.
Rory Lamont, qui ne compte derrière lui qu'une dizaine de matches professionnels - il a commencé en Ligue celtique en novembre -, occupera l'aile droite, quand son frère Sean, 24 ans, restera positionné à gauche. Les Lamont deviennent ainsi la 45e paire de frères à évoluer sous le maillot écossais.
Bien souvent, de talentueux Diables rouges ont vu se rompre leurs espérances sur la pelouse de leur voisin du nord. En quinze occasions, les Gallois sont arrivés invaincus à Edimbourg et en sont repartis avec une défaite en poche.
Certes, le XV du chardon ne présente plus depuis plusieurs années les mêmes dispositions. Mais il faut tout de même remonter à l'année 1997 pour trouver trace du dernier succès gallois en terre écossaise (34-19).
Et le retour de fortune gallois est bien trop récent pour que les hommes de Mike Ruddock abordent cette rencontre sans une prudence de bon aloi.
"Beaucoup d'équipes galloises sont venues en Ecosse avec énormément d'espoirs dans le passé et sont rentrées à la maison les mains vides, et nous devrons être à notre top si nous voulons être sûr que la même chose ne nous arrive pas", a prévenu l'entraîneur gallois.
Frères
Rien de ce qu'a présenté l'Ecosse lors de son difficile succès sur l'Italie (18-10) lors de la 3e journée du Tournoi ne semble pourtant devoir vraiment inquiéter les invaincus Gallois, courageux vainqueurs de l'Angleterre (11-9), exemplaires en Italie (38-8) et brillants en France (24-18).
Mais débarrassés de la crainte d'accrocher une nouvelle "cuillère de bois", comme l'an passé, les Ecossais pourraient se montrer plus gênants qu'attendus pour un XV du poireau en quête d'un premier Grand Chelem depuis 1978.
Les Gallois espèrent que l'absence de l'arrière et capitaine Gareth Thomas, opéré d'une fracture d'un pouce et forfait pour les deux derniers matches du Tournoi dont la finale attendue contre l'Irlande samedi prochain à Cardiff, n'affectera pas trop le rendement de leurs lignes arrières ni leur confiance.
Matt Williams, l'entraîneur écossais, a effectué vendredi un changement dans son équipe par rapport à celle qui était venue à bout de l'Italie. L'ailier Rory Lamont, 22 ans, prend la place de Simon Webster.
Rory Lamont, qui ne compte derrière lui qu'une dizaine de matches professionnels - il a commencé en Ligue celtique en novembre -, occupera l'aile droite, quand son frère Sean, 24 ans, restera positionné à gauche. Les Lamont deviennent ainsi la 45e paire de frères à évoluer sous le maillot écossais.