François Pienaar voudrait bien diriger les Springboks
Rugby jeudi, 24 janv. 2002. 16:28 dimanche, 15 déc. 2024. 05:50
LONDRES, AFP - François Pienaar, ancien capitaine de l'équipe nationale d'Afrique du Sud de rugby, a déclaré jeudi qu'il aimerait beaucoup devenir l'entraîneur des Springboks, toujours à la recherche d'un technicien après la démission d'Harry Viljoen samedi dernier.
"Il y a eu beaucoup de discussions au sujet de ce poste, mais quoi qu'il en soit, je n'ai pas été contacté", a-t-il affirmé à l'agence de presse PA.
Pienaar, actuel directeur exécutif du club anglais des Saracens, a précisé qu'il ne s'attendait pas à recevoir un coup de fil de la Fédération sud-africaine de rugby (SARFU).
"Je ne pense pas que ça puisse arriver un jour. En ce moment, en tous les cas, je n'ai rien entendu de la sorte", a-t-il confié, lui qui avait mené les Springboks au titre mondial en 1995.
François Pienaar a également manifesté sa sympathie envers Harry Viljoen, démissionnaire samedi, quinze mois après sa nomination, à cause de la pression des médias et de l'accumulation des mauvais résultats enregistrés par l'équipe nationale sud-africaine.
"J'ai apprécié le fait qu'il ait démissionné suite à la demande de sa famille, qui avait à subir la pression autant que lui, a-t-il expliqué. Mais vous savez, quand vous acceptez un tel poste, vous en connaissez les conséquences. C'est pareil pour tous les sports, dans tous les pays où la passion et le désir de gagner l'emportent sur tout le reste", a-t-il conclu.
"Il y a eu beaucoup de discussions au sujet de ce poste, mais quoi qu'il en soit, je n'ai pas été contacté", a-t-il affirmé à l'agence de presse PA.
Pienaar, actuel directeur exécutif du club anglais des Saracens, a précisé qu'il ne s'attendait pas à recevoir un coup de fil de la Fédération sud-africaine de rugby (SARFU).
"Je ne pense pas que ça puisse arriver un jour. En ce moment, en tous les cas, je n'ai rien entendu de la sorte", a-t-il confié, lui qui avait mené les Springboks au titre mondial en 1995.
François Pienaar a également manifesté sa sympathie envers Harry Viljoen, démissionnaire samedi, quinze mois après sa nomination, à cause de la pression des médias et de l'accumulation des mauvais résultats enregistrés par l'équipe nationale sud-africaine.
"J'ai apprécié le fait qu'il ait démissionné suite à la demande de sa famille, qui avait à subir la pression autant que lui, a-t-il expliqué. Mais vous savez, quand vous acceptez un tel poste, vous en connaissez les conséquences. C'est pareil pour tous les sports, dans tous les pays où la passion et le désir de gagner l'emportent sur tout le reste", a-t-il conclu.