L'Irlande trop forte pour l'Italie
Rugby dimanche, 15 févr. 2009. 13:56 jeudi, 12 déc. 2024. 06:36
ROME - Une semaine après un succès convaincant face à la France (31-20), l'Irlande n'a pas fait de détail face à l'Italie, balayée 38 à 9 dimanche au Stade Flaminio, affirmant un peu plus encore ses ambitions de victoire dans le Tournoi des six nations après les deux premières journées.
Cinq essais inscrits, seulement quatre pénalités concédées à un adversaire qui n'a de surcroît pratiquement jamais approché la ligne d'en-but : le bilan est on ne peut plus positif pour le XV irlandais.
Comme face aux Français à Croke Park, les Irlandais ont habilement profité des erreurs de l'adversaire: deux essais ont été marqués à la suite d'interceptions par Bowe (19) et O'Driscoll (79) et un autre après une touche vite jouée qui a permis à l'ailier Fitzgerald de filer seul aplatir son second essai de l'après-midi (77).
Entre temps, Luke Fitzgerald, déjà, avait été à la conclusion d'un très long siège (19 temps de jeu !) devant la ligne d'en-but italienne à la dernière minute de la première période (40), permettant à son équipe de mener à la pause (14-9). Enfin, au début de la seconde période, c'est le 3e ligne David Wallace qui avait profité d'un trou dans la défense élastique pour aplatir (48).
"Quand on prend 30 points, on se tait!"
L'Italie, elle, qui avait à coeur de se montrer après sa pâle performance en Angleterre (36-11), a lutté courageusement en première période. Et le pied de l'ouvreur McLean (3 pénalités sur 4) a permis à la Squadra Azzurra de ne pas décrocher durant les quarante premières minutes.
Mais les étourderies, conjuguées à la fatigue, aux blessures (la talonneur Ongaro, les trois quarts Robertson et Canale) et à son indiscipline globale - deux cartons jaunes en première période, seize pénalités concédées en 80 minutes -, lui ont été fatales en seconde période.
"La première période, l'équipe en voulait et a joué courageusement. Mais on ne gagne pas quand on a des joueurs exclus et qu'on concède seize pénalités. Il y a eu trop d'indiscipline", a regretté Nick Mallett.
"Je ne peux pas comparer les matches contre l'Angleterre et l'Irlande: quand on prend plus de 30 points comme aujourd'hui et la semaine dernière, on se tait, on ne fait pas de commentaires", a conclu l'entraîneur de l'Italie, qui devra trouver des remèdes avant le déplacement en Écosse dans deux semaines, tant son équipe a semblé parfois dépassée.
Cinq essais inscrits, seulement quatre pénalités concédées à un adversaire qui n'a de surcroît pratiquement jamais approché la ligne d'en-but : le bilan est on ne peut plus positif pour le XV irlandais.
Comme face aux Français à Croke Park, les Irlandais ont habilement profité des erreurs de l'adversaire: deux essais ont été marqués à la suite d'interceptions par Bowe (19) et O'Driscoll (79) et un autre après une touche vite jouée qui a permis à l'ailier Fitzgerald de filer seul aplatir son second essai de l'après-midi (77).
Entre temps, Luke Fitzgerald, déjà, avait été à la conclusion d'un très long siège (19 temps de jeu !) devant la ligne d'en-but italienne à la dernière minute de la première période (40), permettant à son équipe de mener à la pause (14-9). Enfin, au début de la seconde période, c'est le 3e ligne David Wallace qui avait profité d'un trou dans la défense élastique pour aplatir (48).
"Quand on prend 30 points, on se tait!"
L'Italie, elle, qui avait à coeur de se montrer après sa pâle performance en Angleterre (36-11), a lutté courageusement en première période. Et le pied de l'ouvreur McLean (3 pénalités sur 4) a permis à la Squadra Azzurra de ne pas décrocher durant les quarante premières minutes.
Mais les étourderies, conjuguées à la fatigue, aux blessures (la talonneur Ongaro, les trois quarts Robertson et Canale) et à son indiscipline globale - deux cartons jaunes en première période, seize pénalités concédées en 80 minutes -, lui ont été fatales en seconde période.
"La première période, l'équipe en voulait et a joué courageusement. Mais on ne gagne pas quand on a des joueurs exclus et qu'on concède seize pénalités. Il y a eu trop d'indiscipline", a regretté Nick Mallett.
"Je ne peux pas comparer les matches contre l'Angleterre et l'Irlande: quand on prend plus de 30 points comme aujourd'hui et la semaine dernière, on se tait, on ne fait pas de commentaires", a conclu l'entraîneur de l'Italie, qui devra trouver des remèdes avant le déplacement en Écosse dans deux semaines, tant son équipe a semblé parfois dépassée.