Schröcksnadel démissionne
Jeux olympiques mardi, 29 mai 2007. 11:40 vendredi, 13 déc. 2024. 23:53
VIENNE - Le président de la Fédération autrichienne de ski, Peter Schröcksnadel, a annoncé mardi sa démission du poste de vice-président du Comité olympique autrichien (ÖOC) après les sanctions internationales contre des athlètes autrichiens à la suite d'un scandale de dopage.
"J'ai reconnu que je ne pouvais pas faire un bon fonctionnaire de l'ÖOC parce que je ne peux pas défendre les intérêts de la Fédération autrichienne de ski et de ses athlètes comme on l'attend de moi", a expliqué M. Schröcksnadel dans un communiqué. "C'est la raison pour laquelle j'ai décidé de démissionner de mon poste de vice-président de l'ÖOC", a-t-il ajouté.
Le scandale du dopage (fond et biathlon) remonte aux jeux Olympiques d'hiver de Turin en 2006, lors desquels la police italienne avait trouvé du matériel de transfusion sanguine, des seringues usagées, des poches de sang et des médicaments dans le chalet des athlètes autrichiens.
Six sportifs ont été bannis à vie des JO ce mois-ci par le Comité international olympique (CIO) et le Comité national autrichien a été privé d'une subvention d'1 million de dollars (743.000 euros).
Le président du Comité national, Leo Wallner, a, de son côté, annoncé mardi devant la presse qu'il entérinait les décisions du CIO. "La direction de l'ÖOC a accepté les sanctions à l'unanimité", a-t-il indiqué.
Il a ajouté que 13 membres de la Fédération autrichienne de ski et qui avaient fait partie de l'encadrement de l'équipe des sportifs autrichiens aux Jeux de Turin ont été interdits à vie par l'ÖOC de participer à des jeux Olympiques. Parmi eux, Markus Gandler, le directeur sportif pour les épreuves de fond et de biathlon.
M. Wallner a précisé que les décisions du CIO "ne frappent que des personnes et non pas des fédérations". "Je suis persuadé que cette affaire de dopage n'aura pas de conséquences pour la candidature de la ville de Salzbourg à l'organisation des JO d'hiver 2014", a-t-il conclu.
Cette ville du nord de l'Autriche est candidate, à l'instar de Pyeongchang (Corée du Sud) et Sotchi (Russie). Le nom du vainqueur sera annoncé le 4 juillet à Guatemala-City par le CIO.
"J'ai reconnu que je ne pouvais pas faire un bon fonctionnaire de l'ÖOC parce que je ne peux pas défendre les intérêts de la Fédération autrichienne de ski et de ses athlètes comme on l'attend de moi", a expliqué M. Schröcksnadel dans un communiqué. "C'est la raison pour laquelle j'ai décidé de démissionner de mon poste de vice-président de l'ÖOC", a-t-il ajouté.
Le scandale du dopage (fond et biathlon) remonte aux jeux Olympiques d'hiver de Turin en 2006, lors desquels la police italienne avait trouvé du matériel de transfusion sanguine, des seringues usagées, des poches de sang et des médicaments dans le chalet des athlètes autrichiens.
Six sportifs ont été bannis à vie des JO ce mois-ci par le Comité international olympique (CIO) et le Comité national autrichien a été privé d'une subvention d'1 million de dollars (743.000 euros).
Le président du Comité national, Leo Wallner, a, de son côté, annoncé mardi devant la presse qu'il entérinait les décisions du CIO. "La direction de l'ÖOC a accepté les sanctions à l'unanimité", a-t-il indiqué.
Il a ajouté que 13 membres de la Fédération autrichienne de ski et qui avaient fait partie de l'encadrement de l'équipe des sportifs autrichiens aux Jeux de Turin ont été interdits à vie par l'ÖOC de participer à des jeux Olympiques. Parmi eux, Markus Gandler, le directeur sportif pour les épreuves de fond et de biathlon.
M. Wallner a précisé que les décisions du CIO "ne frappent que des personnes et non pas des fédérations". "Je suis persuadé que cette affaire de dopage n'aura pas de conséquences pour la candidature de la ville de Salzbourg à l'organisation des JO d'hiver 2014", a-t-il conclu.
Cette ville du nord de l'Autriche est candidate, à l'instar de Pyeongchang (Corée du Sud) et Sotchi (Russie). Le nom du vainqueur sera annoncé le 4 juillet à Guatemala-City par le CIO.