15e place pour le relais canadien
Ski vendredi, 11 mars 2005. 16:34 dimanche, 15 déc. 2024. 12:37
(Sportcom) - L'équipe canadienne a pris le 15e rang du relais féminin (4 x 6 km) des championnats du monde de biathlon, vendredi, à Hochfilzen, en Autriche. Le quatuor canadien formé de Martine Albert, de Rimouski, Marie-Pierre Parent, de St-Paul-de-Joliette, et des Albertaines Zina Kocher et Sandra Keith a franchi le parcours en 1 h 20 min 54,7 s, pour terminer à 7 min 10,3 s des Russes, qui ont remporté le titre mondial. Les Allemandes (+41,4 s) ont mérité l'argent, tandis que les Bélarusses (+53,2 s) ont décroché le bronze.
« Nous avons terminé à sept minutes de la tête, ce qui est tout de même mieux qu'à notre dernier relais, a admis Albert. Nous avons essayé un autre ordre de départ. Sandra est partie la première, suivie de Zina, moi et Marie-Pierre, et cela a très bien été. Nous avons toutes connu une bonne course. Nous n'avons pas eu de pénalité et nous avions de bons skis. Nous sommes quand même contentes de notre course, car nous avons battu certaines équipes qui sont assez fortes. C'est certain que nous visions un autre top-12, mais nous avons senti une amélioration et ça, c'est positif », a ajouté la biathlonienne.
À chaque pas de tir, les biathloniennes ont droit à trois balles supplémentaires afin d'atteindre leurs cinq cibles. Si elles n'y arrivent pas, elles doivent parcourir une boucle de pénalité. Le Canada a été l'une des six nations qui ont évité la boucle de pénalité. Elles n'ont eu besoin que de sept balles supplémentaires pour atteindre toutes les cibles, soit le même nombre que les Russes.
« Nous savons que nous devons bien tirer, a souligné Albert. Nous ne pouvons pas nous permettre de faire des boucles de plus. Déjà que cela nous prend environ une quinzaine de secondes à pour charger chacune des balles supplémentaires. Sandra (Keith) et moi en avons pris trois chacune, Zina, une seule, et Marie-Pierre a été notre lance-roquette ne ratant aucune cible ! »
« Cela a bien été au tir. J'ai réussi un beau tir parfait, a renchéri Parent. Pourtant, avant d'effectuer mes tirs debout, j'avais les jambes molles, parce que je venais de pousser pas mal (en ski). Je ne savais pas ce que ça allait donner, mais cela s'est bien déroulé en fin de compte. Les conditions étaient presque parfaites aujourd'hui (vendredi). Il ventait un petit peu, mais pas assez pour affecter le tir. »
Il s'agissait de la dernière épreuve internationale cette saison, pour les deux biathloniennes. Samedi, l'équipe canadienne prendra part au relais masculin (4 x 7,5 km).
« Nous avons terminé à sept minutes de la tête, ce qui est tout de même mieux qu'à notre dernier relais, a admis Albert. Nous avons essayé un autre ordre de départ. Sandra est partie la première, suivie de Zina, moi et Marie-Pierre, et cela a très bien été. Nous avons toutes connu une bonne course. Nous n'avons pas eu de pénalité et nous avions de bons skis. Nous sommes quand même contentes de notre course, car nous avons battu certaines équipes qui sont assez fortes. C'est certain que nous visions un autre top-12, mais nous avons senti une amélioration et ça, c'est positif », a ajouté la biathlonienne.
À chaque pas de tir, les biathloniennes ont droit à trois balles supplémentaires afin d'atteindre leurs cinq cibles. Si elles n'y arrivent pas, elles doivent parcourir une boucle de pénalité. Le Canada a été l'une des six nations qui ont évité la boucle de pénalité. Elles n'ont eu besoin que de sept balles supplémentaires pour atteindre toutes les cibles, soit le même nombre que les Russes.
« Nous savons que nous devons bien tirer, a souligné Albert. Nous ne pouvons pas nous permettre de faire des boucles de plus. Déjà que cela nous prend environ une quinzaine de secondes à pour charger chacune des balles supplémentaires. Sandra (Keith) et moi en avons pris trois chacune, Zina, une seule, et Marie-Pierre a été notre lance-roquette ne ratant aucune cible ! »
« Cela a bien été au tir. J'ai réussi un beau tir parfait, a renchéri Parent. Pourtant, avant d'effectuer mes tirs debout, j'avais les jambes molles, parce que je venais de pousser pas mal (en ski). Je ne savais pas ce que ça allait donner, mais cela s'est bien déroulé en fin de compte. Les conditions étaient presque parfaites aujourd'hui (vendredi). Il ventait un petit peu, mais pas assez pour affecter le tir. »
Il s'agissait de la dernière épreuve internationale cette saison, pour les deux biathloniennes. Samedi, l'équipe canadienne prendra part au relais masculin (4 x 7,5 km).