Aamodt retrouve ses médailles
Ski mardi, 27 nov. 2007. 13:29 mercredi, 11 déc. 2024. 19:46
OSLO - Le skieur alpin le plus titré de l'histoire, le Norvégien Kjetil Andre Aamodt, a annoncé mardi avoir retrouvé son impressionnante collection de médailles dérobée chez son père il y a quatre ans.
"C'est bien parce que je croyais vraiment qu'elles étaient perdues pour toujours", a déclaré Aamodt, qui a pris sa retraite au début de l'année, à la radio-télévision NRK.
En août 2003, des voleurs particulièrement indélicats avaient subtilisé 19 médailles remportées aux Jeux olympiques et en Championnat du monde et entreposées dans un coffre-fort au domicile du père du sportif.
Aamodt a expliqué avoir reçu cet été un coup de téléphone d'une personne anonyme qui avait vu les médailles sur internet. Les précieux objets, dont huit en or, lui ont depuis été restitués.
"Quand elles ont été volées, j'ai été déprimé pendant une bonne journée. Mais ce sont les souvenirs qui comptent le plus. Les médailles n'ont pas de réelle valeur, à part la valeur affective pour moi", a indiqué Aamodt.
La collection, enrichie entre-temps par une 20e médaille également en or décrochée en super-G aux JO de Turin en 2006, est maintenant exposée dans un musée de Lillehammer (sud-est de la Norvège).
"Elle y est certainement plus en sécurité que chez mon père", a expliqué le jeune retraité de 36 ans.
"C'est bien parce que je croyais vraiment qu'elles étaient perdues pour toujours", a déclaré Aamodt, qui a pris sa retraite au début de l'année, à la radio-télévision NRK.
En août 2003, des voleurs particulièrement indélicats avaient subtilisé 19 médailles remportées aux Jeux olympiques et en Championnat du monde et entreposées dans un coffre-fort au domicile du père du sportif.
Aamodt a expliqué avoir reçu cet été un coup de téléphone d'une personne anonyme qui avait vu les médailles sur internet. Les précieux objets, dont huit en or, lui ont depuis été restitués.
"Quand elles ont été volées, j'ai été déprimé pendant une bonne journée. Mais ce sont les souvenirs qui comptent le plus. Les médailles n'ont pas de réelle valeur, à part la valeur affective pour moi", a indiqué Aamodt.
La collection, enrichie entre-temps par une 20e médaille également en or décrochée en super-G aux JO de Turin en 2006, est maintenant exposée dans un musée de Lillehammer (sud-est de la Norvège).
"Elle y est certainement plus en sécurité que chez mon père", a expliqué le jeune retraité de 36 ans.