Dominique Maltais débute du bon pied
Ski mercredi, 14 déc. 2011. 17:29 mercredi, 11 déc. 2024. 14:34
Montréal - Fidèle à son habitude, Dominique Maltais a faim à l'aube de sa neuvième saison de la Coupe du monde de surf des neiges. D'ailleurs, mercredi, elle a fini première des qualifications du premier snowboard cross, à Telluride, au Colorado.
« Oui, le Globe de cristal est l'un de mes objectifs. Comme les saisons précédentes, si je prends le départ, ce n'est pas pour arriver troisième ou quatrième, c'est pour arriver première », a rappelé la championne de la Coupe du monde en 2010-2011 avant de quitter pour Telluride.
En même temps, l'athlète de Petite-Rivière-Saint-François, qui a prolongé son congé sans solde auprès du Service de sécurité incendie de Montréal, a officialisé une nouvelle association qui l'amène à regarder loin.
« La grosse différence pour moi cette année, c'est que je fais officiellement partie de l'équipe de B2dix. Je vais prendre énormément de notes et identifier mes besoins, pour augmenter mon niveau de compétition. Je crois énormément à ce que B2dix peut m'apporter. »
Dans sa mire, se retrouvent les Jeux olympiques de Sotchi, en 2014. Maltais espère y être à son meilleur, question d'oublier sa difficile expérience des Jeux de Vancouver. « Je prévois me préparer deux fois plus, même cinq fois plus pour les Jeux de Sotchi. Avec B2dix, je suis confiante. Je n'ai aucun doute. »
Chose certaine, la surfeuse de 31 ans a toujours la passion. « J'aime encore énormément ce que je fais. Avec le nouvel entraînement que je suis depuis l'année dernière, je démontre beaucoup de potentiel avec mes bons résultats. Je veux pousser encore plus la machine et voir jusqu'où ça peut m'amener. »
Le vélo, l'autre passion
Celle qui est montée sur le podium quatre fois en sept Coupes du monde la saison dernière se concentre maintenant sur l'entraînement physique l'été venu, gardant l'entraînement sur neige pour l'automne. Sous l'égide du réputé entraîneur Chris Rozdilsky, elle se mesure du coup au relief de son coin de pays.
« Mon entraîneur aime beaucoup le vélo de route. J'ai donc roulé pas mal dans Charlevoix l'été passé. J'ai également fait le Grand défi Pierre Lavoie et j'ai adoré. Je me découvre une autre passion », a indiqué la médaillée de bronze des Jeux de Turin à propos de sa saison estivale.
Se tenir un peu à l'écart des pentes permet à Maltais de savourer pleinement ses retours sur la neige, comme ce fut le cas en octobre, lors d'un camp d'entraînement en Autriche, et en novembre, quand elle s'est entraînée dans le nord de la Colombie-Britannique.
« J'ai connu d'excellents camps, mais il faut que je garde la tête froide et que je reste bien concentrée », a souligné la Québécoise, par ailleurs heureuse de renouer avec sa coéquipière et championne olympique, Maelle Ricker, qui s'était blessée aux mondiaux de janvier dernier.
« Nous avons toujours entretenu une belle complicité. Nous nous sommes poussées l'une et l'autre lors des camps. Nous sommes deux compétitrices très féroces. Nous étions contentes de nous retrouver. »
Quatrième des qualifications mercredi, Ricker sera vraisemblablement encore une fois cette saison l'une des principales rivales de Maltais, tout comme l'Américaine Lindsey Jacobellis, championne mondiale.
« Oui, le Globe de cristal est l'un de mes objectifs. Comme les saisons précédentes, si je prends le départ, ce n'est pas pour arriver troisième ou quatrième, c'est pour arriver première », a rappelé la championne de la Coupe du monde en 2010-2011 avant de quitter pour Telluride.
En même temps, l'athlète de Petite-Rivière-Saint-François, qui a prolongé son congé sans solde auprès du Service de sécurité incendie de Montréal, a officialisé une nouvelle association qui l'amène à regarder loin.
« La grosse différence pour moi cette année, c'est que je fais officiellement partie de l'équipe de B2dix. Je vais prendre énormément de notes et identifier mes besoins, pour augmenter mon niveau de compétition. Je crois énormément à ce que B2dix peut m'apporter. »
Dans sa mire, se retrouvent les Jeux olympiques de Sotchi, en 2014. Maltais espère y être à son meilleur, question d'oublier sa difficile expérience des Jeux de Vancouver. « Je prévois me préparer deux fois plus, même cinq fois plus pour les Jeux de Sotchi. Avec B2dix, je suis confiante. Je n'ai aucun doute. »
Chose certaine, la surfeuse de 31 ans a toujours la passion. « J'aime encore énormément ce que je fais. Avec le nouvel entraînement que je suis depuis l'année dernière, je démontre beaucoup de potentiel avec mes bons résultats. Je veux pousser encore plus la machine et voir jusqu'où ça peut m'amener. »
Le vélo, l'autre passion
Celle qui est montée sur le podium quatre fois en sept Coupes du monde la saison dernière se concentre maintenant sur l'entraînement physique l'été venu, gardant l'entraînement sur neige pour l'automne. Sous l'égide du réputé entraîneur Chris Rozdilsky, elle se mesure du coup au relief de son coin de pays.
« Mon entraîneur aime beaucoup le vélo de route. J'ai donc roulé pas mal dans Charlevoix l'été passé. J'ai également fait le Grand défi Pierre Lavoie et j'ai adoré. Je me découvre une autre passion », a indiqué la médaillée de bronze des Jeux de Turin à propos de sa saison estivale.
Se tenir un peu à l'écart des pentes permet à Maltais de savourer pleinement ses retours sur la neige, comme ce fut le cas en octobre, lors d'un camp d'entraînement en Autriche, et en novembre, quand elle s'est entraînée dans le nord de la Colombie-Britannique.
« J'ai connu d'excellents camps, mais il faut que je garde la tête froide et que je reste bien concentrée », a souligné la Québécoise, par ailleurs heureuse de renouer avec sa coéquipière et championne olympique, Maelle Ricker, qui s'était blessée aux mondiaux de janvier dernier.
« Nous avons toujours entretenu une belle complicité. Nous nous sommes poussées l'une et l'autre lors des camps. Nous sommes deux compétitrices très féroces. Nous étions contentes de nous retrouver. »
Quatrième des qualifications mercredi, Ricker sera vraisemblablement encore une fois cette saison l'une des principales rivales de Maltais, tout comme l'Américaine Lindsey Jacobellis, championne mondiale.