Grandi prend sa retraite
Ski dimanche, 25 mars 2007. 14:01 samedi, 14 déc. 2024. 00:06
WHISTLER, Colombie-Britannique - Plus jeune, Thomas Grandi s'emportait et fracassait ses bâtons si sa soeur Astrid le devançait lors d'une course.
C'est ce feu sacré et cette passion de ne pas finir deuxième qui a fait de Grandi un skieur de compétition. C'est cette même détermination qui a alimenté son désir de devenir le premier skieur canadien à remporter une épreuve technique sur le circuit de la Coupe du monde.
Mais quand ce feu sacré qui l'a motivé pendant toute sa carrière a commencé à faiblir, Grandi a su qu'il était temps de mettre un terme à sa carrière de 14 ans dans l'équipe nationale de ski alpin.
Grandi, le seul membre de l'équipe masculine canadienne à avoir remporté un slalom géant de la Coupe du monde, a annoncé sa retraite dimanche, précisant qu'il voulait désormais se concentrer sur son rôle de père, lui qui a une fille de sept semaines.
"Tu as besoin de ce feu sacré pour être un skieur de compétition et être à ton mieux en compétition, a mentionné le skieur de 34 ans lors d'une conférence de presse en marge des championnats canadiens de ski alpin. Si tu lèves le pied le moindrement, tu perds du temps à chaque virage.
"Je n'avais plus l'impression d'être animé par la même détermination à la fin de la saison. Pour moi, c'était le signe évident qu'il était temps d'arrêter."
Grandi est né à Bolzano, en Italie, et il est arrivé au Canada à l'âge de deux ans. Il est devenu un spécialiste des épreuves techniques à une époque où la majorité des meilleurs skieurs canadiens se concentraient sur les épreuves de vitesse. En 198 départs en Coupe du monde, il a récolté cinq podiums en slalom et quatre autres en slalom géant.
Son rêve de toujours est devenu réalité lorsqu'il a remporté un slalom géant à Alta Badia, en Italie, en décembre 2004. Deux jours plus tard, il enlevait les honneurs d'un deuxième slalom géant à Flachau, en Autriche.
"J'ai toujours eu le rêve de devenir un skieur de compétition et de gagner sur le circuit de la Coupe du monde, a poursuivi Grandi, détendu et blagueur pendant son point de presse. C'est ce qui m'a motivé au fil des années.
"Quand ça s'est matérialisé, c'était un rêve devenu réalité. Je me suis alors fait la réflexion que même si ma carrière se termine maintenant, je suis le plus heureux des hommes."
C'est ce feu sacré et cette passion de ne pas finir deuxième qui a fait de Grandi un skieur de compétition. C'est cette même détermination qui a alimenté son désir de devenir le premier skieur canadien à remporter une épreuve technique sur le circuit de la Coupe du monde.
Mais quand ce feu sacré qui l'a motivé pendant toute sa carrière a commencé à faiblir, Grandi a su qu'il était temps de mettre un terme à sa carrière de 14 ans dans l'équipe nationale de ski alpin.
Grandi, le seul membre de l'équipe masculine canadienne à avoir remporté un slalom géant de la Coupe du monde, a annoncé sa retraite dimanche, précisant qu'il voulait désormais se concentrer sur son rôle de père, lui qui a une fille de sept semaines.
"Tu as besoin de ce feu sacré pour être un skieur de compétition et être à ton mieux en compétition, a mentionné le skieur de 34 ans lors d'une conférence de presse en marge des championnats canadiens de ski alpin. Si tu lèves le pied le moindrement, tu perds du temps à chaque virage.
"Je n'avais plus l'impression d'être animé par la même détermination à la fin de la saison. Pour moi, c'était le signe évident qu'il était temps d'arrêter."
Grandi est né à Bolzano, en Italie, et il est arrivé au Canada à l'âge de deux ans. Il est devenu un spécialiste des épreuves techniques à une époque où la majorité des meilleurs skieurs canadiens se concentraient sur les épreuves de vitesse. En 198 départs en Coupe du monde, il a récolté cinq podiums en slalom et quatre autres en slalom géant.
Son rêve de toujours est devenu réalité lorsqu'il a remporté un slalom géant à Alta Badia, en Italie, en décembre 2004. Deux jours plus tard, il enlevait les honneurs d'un deuxième slalom géant à Flachau, en Autriche.
"J'ai toujours eu le rêve de devenir un skieur de compétition et de gagner sur le circuit de la Coupe du monde, a poursuivi Grandi, détendu et blagueur pendant son point de presse. C'est ce qui m'a motivé au fil des années.
"Quand ça s'est matérialisé, c'était un rêve devenu réalité. Je me suis alors fait la réflexion que même si ma carrière se termine maintenant, je suis le plus heureux des hommes."