La suspension de Mayer réduite
Ski dimanche, 13 févr. 2005. 12:08 dimanche, 15 déc. 2024. 07:31
VIENNE (AP) - La Fédération internationale de ski (FIS) a réduit à 10 ans la suspension à vie infligée à l'entraîneur autrichien du fond Walter Mayer après le scandale du dopage des JO de Salt Lake City en 2002, a annoncé dimanche l'agence de presse autrichienne APA.
La FIS avait banni à vie Mayer après la découverte d'un attirail supposé de dopage sanguin dans une maison occupée par les skieurs autrichiens à Salt Lake City.
Mayer a ensuite eu recours à la justice avec succès quand l'équipe autrichienne avait prouvé que ces traitements sanguins n'étaient en rien dopants. La FIS a fait appel de cet arrêt.
Mayer avait été réintroduit entraîneur en chef du ski autrichien en avril.
Mayer continue d'affirmer qu'il est innocent, selon l'APA.
"En réalité, je n'aurais pas dû être suspendu, car rien n'a été prouvé contre moi", a-t-il dit.
Peter Schroecksnadel, le président de la Fédération autrichienne de ski, estime que la réduction de la suspension prouve que la FIS a commis un faute en radiant Mayer. "L'important, c'est que la FIS a tort, autrement elle n'aurait pas réduit la sentence", a-t-il dit, cité par l'APA.
La FIS avait banni à vie Mayer après la découverte d'un attirail supposé de dopage sanguin dans une maison occupée par les skieurs autrichiens à Salt Lake City.
Mayer a ensuite eu recours à la justice avec succès quand l'équipe autrichienne avait prouvé que ces traitements sanguins n'étaient en rien dopants. La FIS a fait appel de cet arrêt.
Mayer avait été réintroduit entraîneur en chef du ski autrichien en avril.
Mayer continue d'affirmer qu'il est innocent, selon l'APA.
"En réalité, je n'aurais pas dû être suspendu, car rien n'a été prouvé contre moi", a-t-il dit.
Peter Schroecksnadel, le président de la Fédération autrichienne de ski, estime que la réduction de la suspension prouve que la FIS a commis un faute en radiant Mayer. "L'important, c'est que la FIS a tort, autrement elle n'aurait pas réduit la sentence", a-t-il dit, cité par l'APA.