"Le rêve a tourné en cauchemar"
Ski dimanche, 25 févr. 2001. 14:34 dimanche, 15 déc. 2024. 10:41
LAHTI (AFP) - "Le rêve a tourné en cauchemar", a déclaré le président de la Fédération finlandaise de ski, Paavo Petaejae, après le nouveau soupçon de dopage qui pesait dimanche sur un skieur de fond finlandais après le cas confirmé d'un autre finlandais Jari Isometsae.
"Nous étions venus avec une grande attente de jeux propres", a ajouté M. Petaejae, un avocat, qui a refusé de divulguer le nom de l'athlète soupçonné. "Tant que le résultat de l'analyse de l'échantillon B (contre-expertise) n'est pas connu, il n'est pas coupable", a-t-il souligné.
"Nous allons publier une information dès que les résultats seront connus", a ajouté M. Petaejae lors d'une conférence de presse, indiquant qu'une annonce serait faite au plus tard lundi.
Il a affirmé qu'en cas de résultat positif de la contre-expertise, des têtes vont tomber. "L'athlète serait suspendu. Et si un employé de la Fédération est impliqué d'une façon ou d'une autre, il perdra son travail", a souligné M. Petaejae.
Le chef de l'équipe finlandaise, Jorma Hyytiae a déclaré pour sa part lors de cette conférence de presse que "ce qu'on retiendra de ces Mondiaux, ce sont ces événements malheureux".
"Après le résultat de la contre-expertise, le moment sera venu d'analyser définitivement la situation", a ajouté M. Hyytiae, qui n'a pas encore officiellement décidé s'il allait démissionner.
L'entraîneur en chef de l'équipe de ski de fond de la Finlande, Kari-Pekka Kyroe, a pris "l'entière responsabilité" pour cette affaire, a-t-il indiqué lors d'une autre conférence de presse. Il a affirmé que, contrairement aux informations divulguées précédemment, aucune décision n'a déjà été prise concernant le licenciement de membres de l'encadrement.
Il s'est donné 24 heures de réflexion pour décider s'il va démissionner ou non. "Il n'y a pas de +culture du dopage+ au sein de l'équipe finlandaise", a-t-il conclu.
"Nous étions venus avec une grande attente de jeux propres", a ajouté M. Petaejae, un avocat, qui a refusé de divulguer le nom de l'athlète soupçonné. "Tant que le résultat de l'analyse de l'échantillon B (contre-expertise) n'est pas connu, il n'est pas coupable", a-t-il souligné.
"Nous allons publier une information dès que les résultats seront connus", a ajouté M. Petaejae lors d'une conférence de presse, indiquant qu'une annonce serait faite au plus tard lundi.
Il a affirmé qu'en cas de résultat positif de la contre-expertise, des têtes vont tomber. "L'athlète serait suspendu. Et si un employé de la Fédération est impliqué d'une façon ou d'une autre, il perdra son travail", a souligné M. Petaejae.
Le chef de l'équipe finlandaise, Jorma Hyytiae a déclaré pour sa part lors de cette conférence de presse que "ce qu'on retiendra de ces Mondiaux, ce sont ces événements malheureux".
"Après le résultat de la contre-expertise, le moment sera venu d'analyser définitivement la situation", a ajouté M. Hyytiae, qui n'a pas encore officiellement décidé s'il allait démissionner.
L'entraîneur en chef de l'équipe de ski de fond de la Finlande, Kari-Pekka Kyroe, a pris "l'entière responsabilité" pour cette affaire, a-t-il indiqué lors d'une autre conférence de presse. Il a affirmé que, contrairement aux informations divulguées précédemment, aucune décision n'a déjà été prise concernant le licenciement de membres de l'encadrement.
Il s'est donné 24 heures de réflexion pour décider s'il va démissionner ou non. "Il n'y a pas de +culture du dopage+ au sein de l'équipe finlandaise", a-t-il conclu.