Marek accepte le blâme, mais...
Ski mercredi, 24 mars 2010. 11:54 samedi, 14 déc. 2024. 22:41
La skieuse polonaise Kornelia Marek, contrôlée positive à l'EPO lors des JO de Vancouver, a indiqué, mercredi, qu'elle et son docteur peuvent être blâmés mais affirmé qu'elle n'a pas pris volontairement ce produit interdit.
Marek a expliqué à la presse mercredi qu'elle croit que les piqûres administrées à Vancouver par son docteur Vitali Trypolski ne contenaient pas de produits interdits. Ils devaient l'aider à récupérer plus vite des efforts consentis.
"Je n'ai jamais eu le moindre problème avec mon docteur, donc pourquoi n'aurais-je pas eu confiance en lui ?, a dit Marek. Je croyais qu'il s'agissait seulement de produits pour la récupération. Je n'avais pas la possibilité de vérifier le contenu des seringues."
Les deux échantillons prélevés sur Marek, à l'issue du relais 20 kilomètres où les Polonaises ont obtenu la sixième place aux Jeux olympiques canadiens, contenaient de l'EPO, une hormone qui prise de façon exogène augmente artificiellement l'oxygénation du sang.
"Je me sens coupable car de l'EPO a été découverte dans mes échantillons. Je me sens coupable d'avoir accepté ces injections, a souligné Marek. Nous sommes tous deux coupables, pas seulement lui (Trypolski)."
Le Comité international olympique (CIO) a diligenté une enquête et pourrait disqualifier Marek rétroactivement, la privant ainsi que le relais polonais de leur place dans l'épreuve.
"Je me soumettrai à toute sanction décidée par le CIO et je retournerai à la compétition, car le sport est ce que j'aime faire", a ajouté Marek.
Un peu plus tôt, Marek avait été entendue par une commission disciplinaire de la Fédération polonaise, qui n'a pas accepté ses explications.
"Elle a indiqué avec conviction n'avoir pris sciemment aucun produit interdit, mais nous avons été étonnés du manque de logique de ses explications", a déclaré Zbigniew Waskiewicz, l'un des membres de la commission.
La commission doit encore interroger Trypolski, le docteur de l'équipe et d'autres skieurs et espère pouvoir remettre ses conclusions à la Fédération lundi.
La Fédération a déjà suspendu et limogé Trypolski.
Outre sa sixième place dans le relais, la Pologne a aussi fini neuvième du sprint par équipe et Mark s'est placée 11e dans le départ groupé de 30 kilomètres, 39e dans le 10 kilomètres style libre et 35e dans la poursuite 15 kilomètres.
Marek a expliqué à la presse mercredi qu'elle croit que les piqûres administrées à Vancouver par son docteur Vitali Trypolski ne contenaient pas de produits interdits. Ils devaient l'aider à récupérer plus vite des efforts consentis.
"Je n'ai jamais eu le moindre problème avec mon docteur, donc pourquoi n'aurais-je pas eu confiance en lui ?, a dit Marek. Je croyais qu'il s'agissait seulement de produits pour la récupération. Je n'avais pas la possibilité de vérifier le contenu des seringues."
Les deux échantillons prélevés sur Marek, à l'issue du relais 20 kilomètres où les Polonaises ont obtenu la sixième place aux Jeux olympiques canadiens, contenaient de l'EPO, une hormone qui prise de façon exogène augmente artificiellement l'oxygénation du sang.
"Je me sens coupable car de l'EPO a été découverte dans mes échantillons. Je me sens coupable d'avoir accepté ces injections, a souligné Marek. Nous sommes tous deux coupables, pas seulement lui (Trypolski)."
Le Comité international olympique (CIO) a diligenté une enquête et pourrait disqualifier Marek rétroactivement, la privant ainsi que le relais polonais de leur place dans l'épreuve.
"Je me soumettrai à toute sanction décidée par le CIO et je retournerai à la compétition, car le sport est ce que j'aime faire", a ajouté Marek.
Un peu plus tôt, Marek avait été entendue par une commission disciplinaire de la Fédération polonaise, qui n'a pas accepté ses explications.
"Elle a indiqué avec conviction n'avoir pris sciemment aucun produit interdit, mais nous avons été étonnés du manque de logique de ses explications", a déclaré Zbigniew Waskiewicz, l'un des membres de la commission.
La commission doit encore interroger Trypolski, le docteur de l'équipe et d'autres skieurs et espère pouvoir remettre ses conclusions à la Fédération lundi.
La Fédération a déjà suspendu et limogé Trypolski.
Outre sa sixième place dans le relais, la Pologne a aussi fini neuvième du sprint par équipe et Mark s'est placée 11e dans le départ groupé de 30 kilomètres, 39e dans le 10 kilomètres style libre et 35e dans la poursuite 15 kilomètres.